Discours Contre Le Veto Royal Robespierre

de lois et de principes non écrits, mais considérés comme absolument inviolables. Les deux piliers de l’ancien régime sont d’une part l’absolutisme et d’autre part, les lois fondamentales du Royaume. L’absolutisme correspond au fait que l’autorité royale ne se partage pas, le Roi gouverne et décide seul. Louis XV, 3 mars 1756, lors de la séance de Flagellation « C’est en ma personne seule que réside la puissance souveraine dont le caractère propre est l’esprit de conseil, de justice et de raison.

monarchiens, monarchie tempéré avec à leur tête Mounier élu du dauphiné de Grenoble qui mettent en avant les idées de Montesquieu et il propose de prendre pour modèle la C° anglaise et d’établir un parlement bicaméral, deux chambres avec un roi doté d’un veto en matière législative projet très vite rejeter par l’immense majorité de l’assemblée qui voit dans l’instauration d’une chambre haute, d’un sénat un risque de renaissance de l’aristocratie. Donc rejeter en 89, pour la raison de l’unité de la nation

populaire * 4.4.1 Le gouvernement révolutionnaire * 4.4.2 La déchristianisation * 4.4.3 La lutte des factions [199] * 4.4.4 Le drame de germinal * 4.4.4.1 Aboutissement et conséquences * 4.5 Robespierre et la Grande Terreur * 4.6 Le Directoire (26 octobre 1795 - 9 novembre 1799) * 5 Notes et références * 6 Bibliographie * 6.1 Pour se familiariser avec la période * 6.2 Instruments de travail * 6.3 Grandes problématiques

l’Etat et de son organisation : Plus rationnelle. L’adm étatique : Trop complexe + Souffre de nombreux disfonctionnements. En effet : Dans l’adm royale, on constate la juxtaposition de 2 catégories de fonctionnaires : 8 Fonctionnaires du passé = Les officiers (propriétaires de leur charge, c'est à dire qu’ils l’ont

les répressions les plus terribles par la nécessité de juguler une « contre-révolution » toujours renaissante et toujours plus dangereuse, voire féroce. Le rejet de la Révolution n'a pas été moins fort de la part de nombreux Français « émigrés » de l'intérieur ou de l'étranger : nobles et membres du clergé, mais aussi toute une partie de la population qui a pris peur ou s'est sentie persécutée. Certains ont lutté ouvertement contre la Révolution, dans les « armées des princes » et dans les journaux

le régime disparaît, cette mise à mort se constate sur tout les plans : social, juridique et politique. La réunion débouche sur un changement de souveraineté (mise à mort pol de l’ancien régime royale et la mort social de l’ancien régime). Le contrôleur général des finances Mr. NECKER fait un discours mais ne répond pas aux contestations des députés, la question du vote par ordre ou par tête reste muette et cela provoque la crise. A la fin de la séance le maître des cérémonies invite les députés

de présenter la forme politique . De l'ancien régime à la révolution Grandeur et décadence de la monarchie absolue Du grand siècle au siècle des lumières Chapitre I : Puissance et stabilité (fin du 17eme siècle) Fait référence au pouvoir royal, monarque, avec son administration centralisée. On a une apparente stabilité sociale qui assure ... Section I / Une société figée: le carcan des privilèges C'est une société très ancienne, qu'on a pas vu évoluer. Les hommes ont du inventer

20 septembre 1792 Bataille de Valmy 21 septembre 1792 Abolition de la royauté. La Convention nationale fonde la Première République. 21 janvier 1793 Exécution de Louis XVI 27 juillet 1794 9 thermidor : fin de la Terreur avec la chute de Robespierre. La Révolution française est la période de l'histoire de France comprise entre l'ouverture des États généraux le 5 mai 1789 et le coup d'État du 18 brumaire le 9 novembre 1799 de Napoléon Bonaparte. Il s'agit d'un moment crucial de l’histoire

exerce une souveraineté absolue, c’est mettre l’accent sur le fait qu’aucune instance ne peut empêcher le roi de décider seul en dernier ressort. La monarchie, dans son état du XVII° siècle et du XVIII° siècle, est absolue. Le pouvoir du roi est sans contre-pouvoir. Pour Charles Loyseau, la puissance absolue est la puissance parfaite et entière en tous points. Elle correspond à ce que les canonistes appellent « la plénitude de puissance ». Cette plénitude de puissance exprime la souveraineté du roi

possibilité de se déplacer au Parlement pour forcer le Parlement concerné à enregistrer la loi. En pratique, les Parlements vont utiliser ce droit de remontrance pour contrarier le pouvoir royal, ils ont donner énormément de fil à retordre à la monarchie, notamment en retardant l’entrée en vigueur des réformes royales et en allant dans certains cas jusqu’à démissionner en masse pour forcer et convaincre le Roi à prendre leur avis (la paralysie du service public est une arme efficace). Rien ne s’oppose