Discours Contre Le Veto Royal Robespierre

jusqu’au 5 avril 1794, le comité de salut public et après 1794, c’est la dictature de Robespierre qui commence. La sanction la plus répandue est la peine de mort, d’où le régime de la terreur. Il prend fin en 1794, en se levant contre la dictature de Robespierre et contre les jacobins. En 1794, on peut dire que c’est la fin de la marche en avant de la Révolution. Il y a eu une réaction religieuse (fin des persécutions contre les catholiques), une réaction morale (relâchement de la liberté de pensée) mais

été réunis mais ne le seront plus jusqu’en 1789. De 1614 jusqu’à la révolution, ce pouvoir de la monarchie a fait monter les tensions contre l’absolutisme de ces états généraux. Tout au long du 18ème : Théorie de la séparation des pouvoirs : « seul le pouvoir arrête le pouvoir ». Si le pouvoir est divisé, il arrêtera l’oppression selon Montesquieu. La lutte contre le dogmatisme ainsi que Rousseau avec le contrat social vantera la démocratie totale. La monarchie absolue génère un contrepouvoir des

(17891804) A. Fin de l’Ancien Régime Séquence 9 – HG20 3 © Cned – Académie en ligne B. De difficiles expériences politiques Monarchie constitutionnelle, Prise des Tuileries, République, Procès du Roi, Montagnards, Terreur, Robespierre, Directoire, plébiscite, Consulat C. Les grands bouleversements Clubs, presse, sans-culottes, en France rôle des femmes, réorganisation administrative, juridique, économique, Constitution civile du clergé, Concordat de 1801 4 Séquence

politique français, Nicolas About affirma dans « le pluralisme politique : une certaine idée de la démocratie » qu’il ne peut avoir de souveraineté sans représentativité, car la représentativité favorise «l’émergence du consensus et des majorités d’idées contre le clivage artificiel gauche-droite et le choc permanent entre une majorité inconditionnelle et une opposition systématique ». 2- Abstention et médiatisation des nouveaux moyens d’expression politique De plus, la démocratie représentative

l’agriculture modernisée, les autres activités qui en dépendent vont elles aussi décoller. Bertin, secrétaire d’Etat qu département de l’agriculture de 1763 à 1780 va essayer de mettre en place une doctrine fondée sur la physiocratie. Il s’élève contre un certain nombre de pratiques agricoles ancestrales qui réduises à néant le dynamisme agricole. En effet, l’agriculture du royaue est caractérisée par une pratique collective (contraintes liées au rythme de l’assolement triennal ou biennal, au choix

sa cohésion pour la 1ère fois, il fait son unité contre l’aristocratie, contre la noblesse. Il y a donc une crise sociale très profonde, le clergé qui perd son unité, la noblesse qui se replie sur elle-même, le tiers-état qui accumule les frustrations. Pour régler cette crise sociale, il aurait sans doute fallu une impulsion, du Roi, qui ne viendra puisque l’autorité royale était elle-même contestée et mise en échec. Section 2 : L’autorité royale dans la 2nde moitié du 18ème s, une autorité paralysée

croyances religieuses mais également, la montée en puissance de nouvelles conceptions de l’Etat et de son organisation. Vien ensuite une organisation étatique trop complexe et souffrant de nombreux disfonctionnement. En effet, dans l’administration royale on constate la juxtaposition de deux catégories de fonctionnaire :ceux du passé : les officiers qui sont propriétaire de leurs charges (qu’ils ont acheté ou hérité) et irrévocable. Se juxtapose à ces officiers, les commissaires, qui comme leurs noms

1870). Le territoire du pays connaît lui même une évolution car la France s’accroît de la Savoie et du comté de Nice mais elle perd l'Alsace Lorraine en 1871. La révolution ouvre donc un siècle d'une extrême instabilité qui alterne révolution et contre révolution, régime autoritaire et régime libéral. Cette alternance entre les régimes autoritaires (consulat, empire, restauration...) et les régimes libéraux (monarchie de juillet, république...) a stimulé des courants d'idées extrêmement divers et

avaient un devoir d’aide : ca peut être une aide militaire, mais c’est surtout l’aide financière, ils donnaient leur autorisation pour créer les impôts. L’institution était placée sous la suggestion royale, chaque ordre avait un nombre égal de députés, cette réunion commencé toujours par un discours du Roi « Os Apertum » ce qui veut dire « ouvrir la bouche » il exposé les motifs de la réunion et l’ordre du jour. Ensuite chacun se retire pour délibérer séparément, chaque ordre va répondre de façon

nationale. Une deuxième conséquence a été de positionner Sieyes contre la démocratie directe voulue par Rousseau et en faveur d’un mandat représentatif alors que Rousseau voulait que les représentants aient un mandat impératif, c'est-à-dire que les électeurs puissent leur donner des ordres et éventuellement les révoquer si les représentants ne respectaient pas leur volonté. Une autre conséquence a été de positionner Sieyes contre le suffrage universel car il considérait que devaient être élus les