Discours De Fulton 1946

de l'autre, avec sa succession de crises, les plus graves de toute la guerre froide : Berlin, Cuba, mais aussi Suez, Budapest et d'autres encore de moindre importance. Cette période est aussi souvent nommée coexistence pacifique par référence au discours de Khrouchtchev lors du XXe congrès du Parti communiste de l'Union soviétique en février 1956, qui n'abandonne pour autant pas l'objectif de la victoire ultime du socialisme. 1963 - 1974 : La détente et l'effritement des Empires aux prises avec

de l'autre, avec sa succession de crises, les plus graves de toute la guerre froide : Berlin, Cuba, mais aussi Suez, Budapest et d'autres encore de moindre importance. Cette période est aussi souvent nommée coexistence pacifique par référence au discours de Khrouchtchev lors du XXe congrès du Parti communiste de l'Union soviétique en février 1956, qui n'abandonne pour autant pas l'objectif de la victoire ultime du socialisme. 1963 - 1974 : La détente et l'effritement des deux blocs aux prises avec

l’Allemagne de l’W, la Grèce avec la GB, le Japon et la Corée du sud ⇨ les 2 camps s’accusent mutuellement d’intentions expansionnistes Document 1 page 32 : le discours de Fulton 1. Présentation du document 2. Situez les lieux évoqués par Churchill. Que dénonce-t-il ? 3. Pourquoi ne peut-on pas encore parler de guerre froide en 1946 ? Le 12 mai 1945, lors d’un télégramme adressé au président Truman, Churchill parle d’un « rideau de fer qui est descendu à travers le continent » européen

1945 Churchill envoi un télégramme à Roosevelt où il observe que Staline ne respect pas les accords et évoque l’idée d’un « rideau de fer » (frontière idéologique qui sépare l’Europe en 2 avec une part soviétique et un pars libre). Dans le discours de Fulton en 1946, Churchill parle du « rideau de fer » à sa manière et dénonce les menées soviétiques. Donc l’Europe de l’Est voit se créer des démocraties populaires ; la Pologne, la Roumanie et la Bulgarie sont des gouvernements communistes et sont frontaliers

protecteur. L’Allemagne a été l’ennemi des deux guerres mondiales. Sous la pression de l’URSS, des communistes aux ordres de Moscou entrent dans les institutions politiques et l’administration dès 1944. Pologne. Roumanie. Bulgarie. Hongrie (à partir de 1946). Les trois pays les plus à l’est et la Hongrie. Staline ne respecte pas ses engagements de 1942 sur le principe des droits des peuples à disposer d'eux-mêmes ni la déclaration de l’Europe libérée de Yalta. Ou malentendu : “élections libres” ne signifient

1959. En Asie du sud-Est, au Moyen Orient en Afrique (b) les positions évolueront tout au long de la guerre froide, faisant de cette partie du "Tiers Monde" le champ clos de l'affrontement des blocs. (a) En Europe entre le discours de Fulton de Winston Churchill (1946) et le coup de Prague (coup d'Etat communiste en Tchécoslovaquie en 1948) les positions se figent et n'évolueront plus jusqu'à la chute du rideau de fer en 1989. Six pays d'Europe de l'Est où l'Armée rouge est présente depuis

barrage aux communistes sont progressivement mis hors jeu.Enthousiasme des populaions de construire un monde démocratique nouveau grâce à l’URSS. Mais un climat de terreur. Aussi, la propagande est-elle intensive : Staline se veut rassurant dans ses discours, parle de démocratie. Les arrestations sont présentées comme justes, car certains menaceraient la démocratie. Ex. : en Hongrie, le parti des petits propriétaires, très populaire, fait de l’ombre au PC. Une vaste purge va l’anéantir. Prétexte : l’arrestation

Hiroshima (Japon) ; une autre, le 9 août, sur Nagasaki. 2 septembre. Vietnam.  Proclamation de l’indépendance du Vietnam par Ho Chi Minh. S’ensuit bientôt la guerre d’Indochine, qui durera jusqu’en juillet 1954. - 1946 – 5 mars. « Rideau de fer ».  Winston Churchill dénonce, dans son discours à Fulton (Missouri), la mainmise soviétique sur l'Europe de l'Est :« Un rideau de fer s’est abattu sur l’Europe. » 4 avril. URSS-Iran.  L’URSS évacue l’Azerbaïdjan iranien. 25 mai. Transjordanie.  Indépendance

Soviétique (PCUS) et dirige le pays de 1922 jusqu’en 1953. 2. La population est encadrée et conditionnée par la pensée unique et la ligne du parti à suivre : la scène 1 montre Staline au Kremlin, résidence du pouvoir soviétique, en train de faire un discours devant le peuple soviétique. Le porte-voix et le panneau « Education » traduisent l’œuvre de propagande permanente menée par le PCUS et par Staline. La galerie de musée, ne montrant que des portraits identiques de Staline (scène 7) symbolise le culte

comme des Américains », et le New York Times, l'année suivante, que « la pensée marxiste a[vait] disparu en Russie » ? On comprend mieux, dans ce contexte, que Roosevelt ait pu faire preuve d'un certain angélisme envers Staline, à Yalta notamment… En 1946, Henry Wallace, alors secrétaire au Commerce, alla jusqu'à proposer de livrer la technologie atomique aux Soviétiques ! En 1945, Staline semblait animé d'une volonté de coopération, pourvu qu'on ne lui contestât point ses gains territoriaux en Europe :