Discours De Gambetta Le 16 Mai 1877

entre gouvernement et le président de la république ? Introduction : « Il ne peut pas y avoir de rivalité entre le président et son Premier ministre parce qu'il en va de la cohérence du gouvernement de la France et donc de l’intérêt national ». Discours de François Fillon apparu dans la dépêche du 28/03/2010. C’est un sujet de dissertation traitant de la relation entre le président de la République et le premier ministre sous la Vème République. Il s’agit de développer cette relation selon trois

déclaration connue sous le nom de Manifeste des 363 dans laquelle il est affirmé que le cabinet doit, avant tout, jouir de la confiance des parlementaires. Gambetta avertit alors le président qu'il lui faudra, une fois que le corps électoral aura tranché, se soumettre ou se démettre. Une majorité républicaine est réélue le 14 octobre 1877. Pourtant Mac-Mahon s'obstine et nomme comme chef du gouvernement le général de Rochebouët. Les chambres refusent d'entrer en rapport avec lui et Mac-Mahon

1791 n’a pas prévue de mécanisme en cas de crise, de différent entre le roi et la chambre. Le roi n’a en effet aucun moyen de pression sur l’assemblée (peut pas ajourner ni dissoudre). En outre, s’il peut venir à la tribune, il ne peut que lire un discours et doit se retirer immédiatement. Quant aux ministres ils ont la possibilité de prendre la parole mais leur droit de parole est restreint, et ils ne sont pas politiquement responsables devant l’assemblée. Moins d’un an après l’adoption de cette constitution

France, en 1870, est une société paysanne. Elle a néanmoins commencé sa révolution industrielle. Les ouvriers s'engagent dans la vie politique. Ils sont très hostiles au régime impérial. Ils sont assez méfiants envers les républicains modérés dont le discours ne leur est pas adressé mais est adressé aux élites. Ils sont ignorants du blanquisme. Ils se tournent donc vers le socialisme, vers l'association internationale des travailleurs fondée par Karl Marx. L'un des coups de génie de Karl Marx était qu'il

monarchiste : le maréchal Mac Mahon pour contenter les deux parties. En 1876 nouvelles élections législatives ; majorité républicaine. Cette majorité nomme J. Simon à sa tête en tant que 1er ministre. Le 16 mai 1877 Mac Mahon renvoie J. Simon en procédant à la dissolution de l’assemblée. En octobre 1877, nouvelles élections ; majorité républicaine. Les républicains invitent Mac Mahon à se démettre de ses fonctions ou à se soumettre au pouvoir des républicains. Mac Mahon démissionne en 1879 et les deux

« d'instituteur national ». En 1862, Lavisse est diplomé de l'Ecole Normale Supérieure. Durant cette période à Paris il s'attache à lire des auteurs « progressistes et républicains » tels que Victor Hugo ou Jules Michelet. Il fréquente aussi Léon Gambetta et Georges Clemenceau, des hommes politiques hostiles à l'Empire. En 1865 il est agrégé d'Histoire et nommé professeur au lycée Henri IV. Lavisse est alors remarqué par Victor Duruy qui est alors ministre de l'instruction publique depuis 1863

Durant ses années d’études, Clemenceau participe à la création de plusieurs autres revues et écrit de nombreux articles. Après avoir effectué des stages à l'hôpital psychiatrique de Bicêtre, puis à La Pitié, il obtient le doctorat en médecine le 13 mai 1865 avec une thèse intitulée De la génération des éléments anatomiques, sous la direction de Charles Robin, un matérialiste ami d'Auguste Comte [3]. Sa thèse reprend les idées de Robin, qui est un adversaire du catholique bonapartiste Pasteur [3].

pratiques sociales ordinaires. Le droit de suffrage est confronté aux réalités d’une société organique où l’individu n’existe guère (incorporation { une hiérarchie de corps). Le citoyen, individu requis par les institutions nouvelles, célébré par tout le discours révolutionnaire, n’existe pas dans la société réelle, si ce n’est dans les élites pour l’essentiel urbaines qui ont fait avant 1789 l’apprentissage des principes et des pratiques de la sociabilité démocratique. 2 c Premières marginalisations du vote

suffrage   est   confronté   aux   réalités   d’une   société   organique   où   l’individu   n’existe   guère   (incorporation   à   une   hiérarchie de corps). Le citoyen, individu requis par les institutions nouvelles,  célébré  par  tout  le  discours  révolutionnaire,  n’existe  pas  dans  la   société  réelle,  si  ce  n’est  dans  les  élites  pour  l’essentiel  urbaines  qui  ont  fait   avant   1789   l’apprentissage   des   principes   et   des   pratiques   de   la   sociabilité   démocratique

centre gauche ( républicains résignés, personnalités politiques qui acceptent la République faute de mieux ). La moitié de ces élus sont des républicains convaincus. Enfin un petit groupe, « l'union républicaines » sont des républicains passionnés (Gambetta) qui se situerai sur l'échiquier politique quasiment à l'extrême gauche. Ils seront ensuite exclus suite à leur adhésion à la « commune ». Ces députés monarchistes ont élus en raison de leurs convictions pacifistes, et non monarchistes. En effet