Discours De Kennedy

se transforme en certitude lorsque des avions espions américains survolant l’île photographient la création d’aéroports militaires nouveaux et les allées et venues de lourds cargos soviétiques chargés de long cylindres suspects. Le président Kennedy est prévenu de la situation en urgence et décide de réagir avec force. C’est pour lui une pure trahison de la part de Mr K. qui ne respecte pas les principes de la coexistence pacifique. Il convoque les télévisions et annonce, photo à l’appui que

franchir les frontières qu'avec permis spécial, au contraire des habitants de RFA. Paralysés par leur échec de la crise de Cuba en 1962, les États-Unis ne s'impliquent pas dans la crise de berlinoise jusqu'au discours de Kennedy sur la place de l’Hôtel de Ville de Berlin Ouest, le 26 juin 1963 : Kennedy se rend en RDA pour montrer son soutien et sa solidarité avec les Berlinois, il dénonce “un mur de la honte” et prononce sa phrase bien connue de tous : « Ich bin ein Berliner ! » Avec le temps de

d’avoir condamné Tito. On est donc bien dans une détente tant en Asie qu’en Europe. 2ème sous partie : le choc de la déstalinisation Conflit des chefs en URSS. Khrouchtchev remporte la bataille en 1956, nouveau dirigeant et en février 1956 fait un discours spectaculaire devant le 20ème congrès du PCUS. Rapport secret, il y dénonce l’autoritarisme de Staline à l’égard du parti, les purges de 1936-38 et le culte de la personnalité. C’est pourquoi on parle de déstalinisation. Il ne dénonce pas tout :

Sujet: La détente était-elle une illusion ? La doctrine de la coexistence pacifique telle que formulée par Staline et reprise par Nikita Krouchtchev dans son discours de 1956 au XXème congrès du PCUS, impliquait de limiter l’affrontement avec les Etats-Unis. Les relations internationales entre les deux blocs de 1956 à 1962 n’ont pourtant pas cessé d’être marquées par des crises majeures dont le point culminant a été la crise des missiles de Cuba d’octobre 1962. Les deux grandes puissances ont

politiques, économiques et paramilitaires, avec comme axe central, l’organisation, l’entraînement et l’équipement d’exilés cubains qui constitueraient une force d’invasion. Le 3 janvier 1961, Washington rompit ses relations avec La Havane. Le 20, Kennedy prit ses fonctions de président, et 24 heures plus tard, ordonna de poursuivre les plans d’invasion, la CIA transforma le Guatemala en camp d’entraînement principal pour l’opposition cubaine6. B -Déroulement de la crise: une crise en deux temps

| |( à l'OUEST = Churchill dénonce prise de pouvoir des communistes en Eu E. + mise ne place d'un véritable "rideau de fer" entre E/W (discours de| |Fulton, 5 mars 1946). A sa suite, les EU dénoncent le "péril rouge" qui s'étend dans le monde. | |

Le discours «  I have a dream » De Martin Luther King . - Contexte Historique - Martin Luther King - le discours «  I have a dream » L e c o ntex te his to rique dans lequel s'estAprés déroulé le discours l'abolition de l'esclavage, dans le sud des etas Unis, c'est l' Apartheid . C'est à dire , une politique de ségrégation raciale, qui fait vivre un enfer a toutes personnes de couleur . C'est une séparation organisée entre des groupes différenciés par la couleur de peau

Méditerranée comme aux hydrocarbures du Moyen Orient. Staline lui s’inquiète de la suprématie nucléaire américaine et de la politique menée par les Occidentaux en Allemagne. Dès 1946, Churchill, ex-premier ministre de la Grande Bretagne, parle, lors du discours de Fulton, de « Rideau de Fer » pour qualifier la situation de l’Europe, coupée en deux (cf carte ci-contre). On a réellement un monde bipolaire, séparé d’une façon radicale. Seuls quelques pays échappent au système des alliances car ils sont neutres

Berlin-Est pour capitale. 2 éme crise : En 1961, les autorités de la RDA et l’URSS décident de construire un mur. Les occidentaux ne franchissent pas l’escalade et n’interviennent pas militairement, préférant protester par voix de presse. Kennedy dira que c’est l’aveu de l’impuissance de l’URSS ; Les gouvernements de RDA maintiennent l'ordre avec l'aide des forces du Pacte de Varsovie et des chars soviétiques. Lorsque Gorbatchev annonce que l'URSS n'interviendra plus dans les pays de l'Est

des solutions. La prise de décision est un processus clé dans la gestion d'entreprise. Le groupthink est un syndrome qui arrive dans les grosses stuctures. Personnes qui ne peuvent pas exprimer leurs idées, le groupe ne le permet pas. Ici : Kennedy choisit la solution la moins coûteuse. Autre solution, ajuster les solutions aux infos collectées. Dimmension politique de la décision : Le chef contesté par les « experts », militaire. Car ils ont des intérêts différents dans la recherche que