Discours De L Abbé Sièyes Sur La Question Du Véto Royal

Sieyès Madame de Staël disait de Sieyès qu’il «  était l’oracle mystérieux des événements qui se préparaient ; il a on ne saurait le nier un esprit de la première force et de la plus grande étendue. » En effet Sieyès, ecclésiastique et homme politique est né à Fréjus en 1748 et mort à Paris en 1836, il est l’un des grands penseurs du 18éme siècle. Les portraits fait de Sieyès le montrent presque tous dépourvu de force physique et suppléant par l’énergie intérieure aux insuffisances de la nature

double par rapport au nombre de député des deux autres ordres. Il veut le vote par tête afin de ne plus être minoritaire. En octobre 1788, une nouvelle assemblée de notable est convoquée par le nouveau contrôleur des finances Necker sur la question du vote pendant la réunion des Etats généraux. Cette assemblée rejette l' idée de doubler le nombre de député et rejette le vote par tête. Cette avis a pour effet d' accentuer le divorce entre aristocrate et tiers état. Dès octobre 1788, le tiers

difficile installation de la république en France. Débute sous les plus mauvais auspices (guerre de Prusse, plus de gouvernement) Bibliographie : Frederic Bluche, Manuel d'histoire politique de la France contemporaine, Paris, PUF Examen : 4 questions de cours parmi lesquelles 3 à choisir pendant 1h30 sur format prédéterminé. PREMIERE PARTIE ERE REVOLUTIONNAIRE (1789-1814) Lorsque la révolution existe, la crise est sous jacente en France depuis le milieu du XVIIIe. La politique et la société

car elle ne disparaît pas à la mort du chef de l’Etat, mais elle se transmet de façon continue à son successeur. Absolu, car le principe souverain n’a pas de restriction. C’est un pouvoir sans limites qui s’impose à tous. Cette théorie du pouvoir royal dégagé en a tiré deux caractères de l’autorité suprême du souverain. L’autorité du roi se veut une et impartageable en France. Le roi détient tous les pouvoirs. Il n’y a pas de séparation de pouvoirs, mais il y a une concentration des pouvoirs.

Les députés sont inquiets, car eux aussi possèdent des châteaux. Ils se demandent alors si il faut rétablir l'ordre rapidement pour sauver les châteaux. Mais cette question est délicate. Forme de risque. Une autre idée apparaît, celle de donner satisfaction aux paysans, afin de les attacher à la cause révolutionnaire. Cette question ne suffira pas, car il faudra abolir totalement les privilèges. Dans la nuit du 4 au 5 aout, les députés réunis dans un café à Versailles, vont prendre une initiative

remontrance du Parlement. 2 août Traité de Cockpit faisant entrer l'empereur Charles VI dans l'alliance. 24 septembre Nomination de l'abbé Dubois au poste de secrétaire d'État aux affaires étrangères. 4 décembre La banque de Law devient banque royale. 29 décembre Arrestation du duc et de la duchesse du Maine impliqués dans le complot du prince de Cellamare, ambassadeur d'Espagne en France. 1719 9 janvier La France et ses alliés déclarent la guerre à Philippe V d'Espagne qui cherche à renverser

Angleterre bien qu’elle n’a jamais eu de constitution écrite. Il dit que le pouvoir le plus important est le pouvoir législatif exercé par deux chambres (Commune et des Lords) en plus du roi qui n’est pas exclu de ce pouvoir disposant d’un droit de veto sur les lois. (Participant d’une manière négative renforçant sa position vu qu’il n’aurait du être que le chef de l’exécutif, cad pas grand-chose). Donc pas vraiment de séparation des pouvoirs que reprendra Montesquieu, considérant qu’aucune des fonctions

clé à la fois de construction et de déconstruction. Jusqu'à 1792, il n'est pas question de renverser la monarchie mais plutôt en monarchie constitutionnelle, de passer d'une société d'ordres à une société d'individus. Pas de classes sociales, ce que la révolution veut d'est d'abord et avant tout mettre en avant l'individu. Individualisme va devenir de rigueur. Dès la période de l'assemblée constituante se pose la question de l'achèvement de la révolution française, nous avons l'impression qu'elle dure

Titre introductif De l’Ancien Régime à la Révolution. Grandeur et décadence de la monarchie absolue, du Grand Siècle au Siècle des Lumières: Chapitre 1 : Puissance et stabilité La puissance fait référence au pouvoir incarné par le chef de l’état royal, le roi parle de sa puissance monarchique. Le terme couvre le pouvoir, et d’autres choses (à la majesté). Le roi règne sur une société parfaitement encadrée qui présente une certaine stabilité. Section 1: La société figée, le carcan des privilèges

du lieutenant général de Paris ou en province l'intendant de province et en 1775 une commission de magistrats est crée qui doit statuer puis requête d’emprisonnement nécessitant signature du roi + contreseing d'un ministre pour authentifier l'ordre royal puis emprisonnement. Celle ci a été prise comme montrant la tyrannie du roi). Les Lois Fondamentales sont des lois d’origine coutumière qui dictent l’accession au trône sont des limites aux pouvoirs absolus du roi. Ces lois ont une valeur quasi-constitutionnelle