Discours De Poincaré

Corrigé possible Explication d’un document d’histoire Discours d’investiture de Clémenceau 1917 ( A quelles difficultés la France est-elle confrontée au cours de l‘année 1917 ? Au cours de l’année 1917, la France s’est trouvée confrontée à plusieurs difficultés. En premier lieu, alors que la guerre dure depuis trois ans et qu’aucune issue victorieuse ne semble se dessiner, l’État-major décide sur la proposition du général Nivelle, de lancer une grande offensive dont on espère qu’elle sera décisive

l'Empire allemand, l'Empire austro-hongrois et le Royaume d'Italie. Articles détaillés : Triple-Entente et Triplice. Le pacifisme et la loi des trois ans[modifier] Manifestation du 25 mai 1913 au Pré-Saint-Gervais contre la loi des trois ans - discours de Jean Jaurès La Loi des trois ans est votée le 19 juillet 1913. Elle instaure un service militaire de trois ans en vue de préparer l'armée française à une guerre avec l'Allemagne. Les socialistes, menés par Jaurès, se sont battus sans succès

développement de l'esprit critique nécessaire à ce libre examen. Enfin, à travers ces différents questionnements, nous observerons les liens entre école, libre examen et démocratie. Pour ce faire, nous nous inspirerons, tout au long de ce travail, du discours de Martha Nussbaum. Tout d'abord, rappelons la notion d'humanité. Le Larousse en donne la définition suivant : Ensemble des êtres humains, considéré parfois comme un être collectif ou une entité morale. Ou encore disposition à la compréhension

Georges Burdeau qui s’oppose à la démocratie des partis. Démocratie gouvernée car ces hommes de différents horizons élus n’ont pas de réels partis et votent comme ils le souhaitent, ils n’ont pas de consignes de votes contrairement à maintenant. Les discours sont donc très importants à l’époque, ils peuvent tout faire basculer s’ils sont très convaincants. Pas de vote unanime à l’intérieur du Bloc rien n’est donc gagné… Les Chambres n’ont pas élu Clémenceau président mais plutôt Deschanel ; Clémenceau

de la Savoie et Nice à la France (traité de Turin entre la France et le royaume de Piémont-Sardaigne). • 24 novembre : Décret donnant au Corps législatif et au Sénat le droit d'adresse (réponse des Chambres au discours annuel du Trône). 1864 • 11 janvier : Discours d'Adolphe Thiers sur les « Libertés nécessaires ». Opposition parlementaire, fondation du « tiers parti ». • 17 février : Publication du "Manifeste des Soixante" rédigé par Tolain • 25 mai : Loi autorisant

dans l’ensemble assez orthodoxe. La Chambre doit faire face à une forte agitation sociale dans le monde ouvrier (voir les premières grèves) et le monde rural qui comporte une base communiste assez importante. Aux élections présidentielles de 1920, Poincaré refuse un deuxième mandat aux vues de la position symbolique du Président (il y reviendra en 1926) : Clémenceau change d’avis et se présente. C’est un républicain avancé, incisif (voir ses nombreuses phrases assassines et sa propension au duel),

La pensé du Général De Gaulle dans la Constitution du 4 octobre 1958 Il est généralement dit que le discours de Bayeux est un exposé qui forme les grands principes de la Constitution du 4 octobre 1958. Autrement dit, la pensé du Général De Gaulle a joué un rôle important concernant l’établissement des nouvelles institutions pour la Vème République. Le Général De Gaulle est l’instigateur de la Vème République fondée en 1958, il devient le 18ème Président de la République française du 8 janvier

Communards »[18], la révision des lois constitutionnelles de 1875 rédigées par les républicains opportunistes et les orléanistes, la laïcité et, 30 ans avant la loi de 1905, la séparation de l’Église et de l’État. La lutte pour l'amnistie Dès son discours du 16 mai 1876 à la Chambre, il se fait remarquer par son éloquence, qu'il met au service de l’amnistie [19]. Raspail, Lockroy et lui, ainsi que Victor Hugo au Sénat, s'unissent dans ce combat [19], mais ils sont minoritaires face aux Opportunistes

est un vieux routier de la politique, ayant été un ancien ministre sous Louis-Philippe. Il fut profondément contre la guerre franco-prussienne bien avant 1870. Il rassure les monarchistes par son non-choix sur le régime, symbolisé par ses deux discours prononcés le 19 février et 10 mars 1871 : le « pacte de Bordeaux » où il déclare « monarchistes, républicains, ni les uns ni les autres vous ne serez trompés » : manière de ne pas choisir. Les monarchistes, divisés, sont contents, et les républicains

rêves d’unité européenne et trouve en la personne d’Aristide Briand un promoteur de génie. Toute la carrière politique de cet homme d’État le prédispose à soutenir ce projet à Genève. Entre-temps, le 29 juillet 1929, le président du Conseil, Raymond Poincaré, malade, a présenté sa démission ; Gaston Doumergue, président de la République (1924-1931) charge Briand de former son onzième Cabinet. Comme nouveau président du Conseil et ministre des Affaires étrangères, il a toute la liberté nécessaire pour