Discours De Tocqueville En 1848

Chapitre 2 : La monarchie de Juillet 1830-1848 Les vaincus de ces évènements sont : * les légitimistes. Les royalistes se divisèrent en 2 camps : les légitimistes et les Orléanistes. Cette division durera jusqu’en 1883. Les légitimistes se retirent dans leur domaine et de la vie politique pendant 40 ans. Ils vont commencer la modernisation des campagnes. Les légitimistes sont une perte pour le peuple car, contrairement aux Orléanistes libéraux, ils avaient des idées généreuses en matières

colonies à la fin du XVIIIe, s'interroger sur les ambiguïtés du mouvement abolitionniste (Lamartine, Schœlcher, Tocqueville), expliquer le processus qui donnerait une légitimation républicaine à ce legs de la monarchie qu'était la "conquête de l'Algérie" et excluant les indigènes coloniaux du bénéfice des droits de l'homme. L'invasion de l'Éthiopie à Mussolini en 1935 a placé le discours colonial de penser contradiction, le même les guerres d'Indochine et d'Algérie ont conduit à la remise en cause

devant le Roi et le parlement. C’est une vraie monarchie parlementaire. La gangrène de ce régime est la corruption, d’où la campagne des banquets qui est menée par les réformistes et qui va déclencher révolution de 1848. Paragraphe X : La deuxième république Constitution du 4 novembre 1848. C’est la seule Constitution qui a instauré un véritable régime présidentiel. Un gouvernement provisoire se forme, il se veut républicain avec un slogan liberté, égalité, fraternité. On y trouve Albert d’Ouvrier

Plan détaillé du cours d’Histoire de la France. CHAPITRE 1: Tableau de la France à la veille de la révolution de 1848. I. La situation politique: un calme trompeur. A) L’héritage historique: 1789-1830, rappels. La Révolution: caractères politiques et militaires. Image contrastée en 1847: les deux phases de la Révolution. Le culte de la Terreur et ses conséquences. Le problème de la République. L’Empire: son échec. La résurgence du bonapartisme; Béranger. L’ambiguïté bonapartiste; bonapartisme de

catholicisme, Paris, Flammarion, 2006. Ory Pascal (dir.), Nouvelle Histoire des idées politiques, Paris, Hachette, 1987. Rémond René, L’anticléricalisme en France de 1815 à nos jours, Bruxelles, éditions complexes, 1985. Première partie : 1800-1848 : Liquidation des héritages et entrée dans la modernité L’histoire des idées en France au XIXe siècle est déterminée par un certain nombre d’héritages, le plus proche étant évidemment celui de la Révolution Française : dans la première moitié du

Régime mettait en avant le devoir de solidarité et la mise sous tutelle des pauvres, qu’il fallait contrôler. Les politiques développées dans la prise en charge de la précarité étaient à la fois charitables et policières. Tocqueville notait que l’attribution de biens matériels devait avoir une contrepartie politique . Dès le début du 16ème siècle, la nécessité pour l’Etat, de fournir du travail aux indigents est déjà très prégnante. L’Etat a, à cette époque, un rôle

Enfin les corps intermédiaires sont critiqués au nom de l’égalité (égalité devant la loi), de l’intérêt général (supérieur aux intérêts corporatifs) et surtout d’une conception absolue de la liberté individuelle qui sera définie ainsi par Alexis de Tocqueville: «Chaque homme étant présumé avoir reçu de la nature les lumières nécessaires pour se conduire, apporte en naissant un droit égal et imprescriptible à vivre indépendant pour tout ce qui le regarde, à régler comme il l’entend sa propre destinée»

de la société... La période au cours de laquelle Comte a vécu est très importante. Pour la FR, elle se situe à partir de la période révolutionnaire de 1789, poursuivie par les journées révolutionnaires de 1830, suivies de la révolution ouvrière de 1848. A la même période, on constate la montée en puissance des idées socialistes ainsi que la naissance du capitalisme et le développement de la société industrielle (révolutions industrielles) : une période qui est marquée par de grands bouleversements

principalement par une morale égoïste et par une vie sociale atomisée. Mais qu’ils considèrent le phénomène comme un progrès ou comme le signe d’une décadence, tous les philosophes, qu’ils soient de bords aussi éloignés que Bentham, Coleridge, Tocqueville, Marx, Spencer ou Taine, s’accordaient pour reconnaître la réalité : ce n’était pas le groupe mais l’individu qu’engendrait l’histoire en marche ; pas la corporation mais l’entrepreneur, pas la classe ou l’Etat mais le citoyen ; par la tradition

Le Bonapartisme Entre 1848 et 1870 Le Bonapartisme est un courant de pensée qui, selon les périodes et les têtes de file, peut prendre différentes formes. Sous l’influence de Napoléon Bonaparte, le bonapartisme représente la volonté de l’instauration d’une administration impériale au service du peuple de France d’où le titre d’Empereur DES français que reçoit Napoléon. Fils de Louis Bonaparte (le frère de Napoléon Ier) et d’Hortense de Beauharnais, Charles Louis Napoléon Bonaparte, dit Louis-Napoléon