Discours De Vautrin

partie du roman, Rastignac, un jeune homme ambitieux fait connaissance du père Goriot dans la pension ou il hébergé + apparition de Vautrin, un ancien condamné aux travaux forcé. PB : Par quels procédés le personnage de Vautrin fait –il réfléchir sur l’argent et la réussite ? I°) LE DISCOUR PERSUASIF D’UN HOMME AMBITIEUX : A°) Une situation d’enseignement : Vautrin (ancien bagnard) est cô un prof => Rastignac son élève, un jeune noble ambitieux. Il donne son expérience à un homme qui débute. Il

organe de synthèse littéraire réunissant en un même discours tout ce qui n’est pas roman. Dans Le Père Goriot plus qu’ailleurs, Balzac met en scène des masques tragiques, les compromet dans des intrigues de vaudevilles et, avec une liberté de poète, suspend son étrange comédie pour exposer à son public des leçons sur la nature humaine. L’étude de ce roman permet donc de dépasser la révision du genre narratif abordé en Seconde : la multiplicité des discours non romanesques – voire non littéraires – conduira

sous le même titre : « La comédie Humaine » (1840). 3. Résumé A la fin de l’année 1819, la Maison-Vauquer, près du Panthéon, à Paris, abrite plusieurs pensionnaires dont certains ont un comportement assez mystérieux. Parmi eux un certain M. Vautrin et un vieillard, le père Goriot. Deux jeunes gens contrastent par leur fraîcheur avec la masse des habitués : Victorine Taillefer, une orpheline et Eugène de Rastignac, un étudiant. C’est Rastignac qui perce le mystère du père Goriot grâce à sa cousine

forte que la passion.« Il faut que je demeure dans l’état où je suis, et dans les résolutions que j’ai prises de n’en sortir jamais ».(Le discours- testament de Mme de Chartres)- Mme de Chartres a bien compris les sentiments de sa fille pour Nemours, mais elle espère qu’elle ne deviendra pas comme les autres filles (et que Mlle de Chartres garde en tête le discours de sa mère).- Elle essaye d’emprisonner sa fille avec du chantage.- Pour elle l’échec de sa fille est un échec personnel.- Mme de Chartres

Ce mot (1) produisit sur Vautrin l’effet de la foudre : il pâlit et chancela, son regard magnétique tomba comme un rayon de soleil sur Mlle Michonneau, à laquelle ce jet de volonté cassa les jarrets. La vieille fille se laissa couler sur une chaise. Poiret s’avança vivement entre elle et Vautrin, comprenant qu’elle était en danger, tant la figure du forçat devint férocement significative en déposant le masque bénin sous lequel se cachait sa vraie nature. Sans rien comprendre encore à ce drame, tous

metteur en scène de ce drame parisien. De cet extrait en particulier, situé au carrefour entre la vie sans ombres menée par Lucien et Esther pendant cinq ans et le futur obscur qui a été façonné par Jacques Collin, il est intéressant de voir en quoi le discours explicatif du narrateur et la focalisation interne sur le personnage d’Esther offrent une anticipation sur la suite des événements et sur la finalité du récit. Trois types d’événements sont présagés à la lumière de cet extrait et constituerons les

maladive, tristesse habituelle, contenance gênée, air pauvre et grêle, Cheveux blond fauve, taille trop mince, yeux gris mélangé de noir 2eme étage (deux appartements) -Poiret : un vieillard, ombre grise, homme ratatiné, face bistré et bulbeuse -Vautrin : perruque noire (film grise) se teint les favoris, épaules larges, buste développé, muscle apparent, mains épaisse et poilu d’un roux ardent, rides prématurés 3eme étage (4 chambres dont 2 pour les étudiants) -Mlle Michonneau : squelette, formes

principal est pour lui un handicap qui lui porte préjudice, et ce dès le début du roman. Les personnages à la situation peu enviable aspirent à la richesse, la popularité et l’ascension sociale. Rastignac vient d’Angoulême, il veut faire fortune. Vautrin lui fait prendre conscience dès le début de sa situation « vous avez saignez vos sœurs ». Cette hyperbole accentue le fait qu’il soit dépendant de sa famille financièrement. Egalement il réduit à néant tout espoir pour lui de réussir honnêtement

dit Poiret. - Vous entendez monsieur, dans le jugement duquel vous paraissez avoir confiance, reprit le faux rentier en s'adressant à mademoiselle Michonneau. Eh bien ! Son Excellence a maintenant la certitude la plus complète que le prétendu Vautrin, logé dans la Maison-Vauquer, est un forçat évadé du bagne de Toulon, où il est connu sous le nom de Trompe-la-Mort . - Ah ! Trompe-la-Mort ! dit Poiret, il est bien heureux, s'il a mérité ce nom-là. - Mais oui, reprit l'agent. Ce sobriquet

personnages de chaque extrait laissent voir un certain indéniable charisme. En effet, Vautrin dans Le Père Goriot, s’adresse à plus jeune que lui, ce qui donne l’image d’un homme plus expérimenté, plus sage. L’apostrophe initiale, « mon petit » adressée à Rastignac est un exemple. Dans une longue réplique , la longueur d'une réplique est une marque du charisme, d’une forme de monopolisation de la parole, Vautrin montre sa perspicacité « J’ai bien réfléchi », « Supposez que », et révèle sa supériorité