Discours Express

lecture que se situe le désordre ». Il ne s’agit pas d’une insuffisance de sa composition mais un manque d’attention du lecteur. C’est le lecteur qui se trouve en position d’accusé. Lui parce qu’il prend des libertés, il va pouvoir dire ce qu’est le discours orgueilleux ne peuvent renoncer. Conclusion :Il ne s’agit d’une digression sur la digression Montaigne revendique une liberté d’écriture le droit de faire des digressions et revendique une certaine poésie dans la prose, ce qui montre qu’il maîtrise

Une lettre ( adressée à un auteur de corpus, une lettre à un courrier de lecteurs, lettre d’un personnage fictif à un autre, lettre ouverte, etc…) Un dialogue ( théâtral, philosophique, opposant personnages réels ou fictifs….) Un monologue Un discours Une préface Un essai ( article de dictionnaire philosophique, un plaidoyer, etc…) Une amplification ( prolonger ou développer un texte existant) Une transposition ( une imitation) Respecter les contraintes liées à la forme et au genre littéraire

pas M qui est jugé : dénonciation d'un cérémonial dépourvu de sens II. Absurdité du cérémonial A/ Utilisation de discours rapportés plusieurs sortes de discours : discours rapporté ● direct ● indirect ● indirect libre ● narrativisé l'utilisation de plusieurs discours marque l'ironie de l'auteur stratégie énonciative comme dans un jeu d'échec entre deux monde qui s'opposent B/ Une

et passif. Combat de l’orateur contre indifférence de la foule. Action en 3 étapes : tentatives successives de l’orateur pour réveiller son public. Recours à la force, recours à la ruse = figure de rhétorique puis recours à la fable : passage au discours direct donne plus de vie à la narr. Efficacité foudroyante. Ainsi LF donne dans sont récit un rôle capital à la fable puisque c’est elle qui détermine la situation finale, moyen d’en faire l’apologie. Nécessité de l’apologue : Victoire de la fable

l’argumentation par quelque traits d’universalité. 2. Se baser sur la fiction et l’intérêt que suscite la fiction: elle plait parce qu’elle propose une projection dans l’imaginaire (les parties du corps deviennent autonomes, son t dotées de réflexion, de discours, d’action). 3. Se baser sur la variation: principe dans l’organisation, la forme, la longueur, les personnages, les récits, les thèmes, les thèses, les versifications; différentes d’une fable à l’autre: ici variation à la fiction des Membres s’ajoute

considérées surtout par rapport au discours. I comprend toute suite de paroles prononcées avec une certaine méthode, avec un dessein déterminé, et adressées soit à une assemblée, soit à quelques personnes ou même à une seule On distingue, suivant les circonstances de temps et de lieu, suivant l’auditoire, le sujet ou le but, autant de sortes de discours qu’il y a de genres d’ éloquence. À la tribune, c’est-à-dire à l’éloquence politique se rapportent tous les discours politiques, les harangues, les allocutions

peut difficilement contester. • L’argument ad hominem : on invoque une raison personnelle (vie privée, physique, personnalité) pour attaquer la thèse de l’adversaire. • Les exemples : ils illustrent les arguments concrètement. • La logique du discours argumentatif • La thèse rejetée : pour les besoins de son argumentation, le locuteur peut prendre en compte une thèse contraire à la sienne. La thèse du locuteur est ainsi soutenue par opposition. • La concession : stratégie qui consiste à faire

Barnardo afin de le persuader de rendre les cloches. Au moment ou Janotus s’apprette à faire sa harangue Gargantua a déjà rendu les cloches. Ce qui veut dire qu’il n’a plus aucun objectif et son discours devient un discours inutile. Donc comment cette harangue permet de redéfinir le comique Rabelaisien. I Un discours sérieux a) Le vocabulaire de l’argumentation Les liens et connecteurs logiques extrêmement abondant. Ils permettent de construire et de développer la thèse argumenté. On retrouve également

persuader » problématique : Pourquoi et en quoi peut-on parler de sermon visant à persuader ? annonce du plan un discours oratoire habile 1 la structure ( une démonstration construite sur un jeu entre différents discours (d’une l’impression d’une vie presqu’orale au sermon) et qui utilise deux des cinq parties du discours canonique : • l’exorde (du début à «  le thème de son prêche entier »).L’exorde est ici violent « vous êtes dans le malheur, vous l’avez

beaucoup évalué. Nous sommes passés d’une volonté de modération des peines dans un but de réhabilitation à un durcissement du système pénal. Il y a deux siècles, on voulait changer l'homme coupable pour le réintégrer dans la société. De nos jours, le discours est devenu plus brutal et n'aborde plus le terme de réinsertion. C’est alors que commence l’ascension d’une société de sécurité qui doit répondre à la mutation de la délinquance et à la défaillance de l'État. Aujourd'hui, cette volonté d’une société