Discours Gaston Monnerville

Série STMG Epreuve anticipée d’ETUDE de gestion FICHE DE TRAVAIL quant à la constitution du dossier Session : 2014 PATRONYME du candidat :Cezaire Prénom du candidat :Michelin N° de candidat : Etablissement : Lycée Ville : Kourou Académie : Gaston Monnerville Question choisie par le candidat (délimitation du sujet : définition et limites) : Comment un individu devient -il acteur dans une organisation ? Organisation(s) sélectionnée(s) par le candidat (affinité, intérêt pour la profession, secteur

Kalintino s’appelle en vérité Mathias Semail( il est gay), il est en 1èreS1 au lycée Gaston monnerville et c’est un GROS bisus, il sent la merde et se fais frapper par tout le monde. Quand il essaie d’être gentil, ses camarades de classes lui jettent des cailloux. A chaque cours, il se fait retourné son sac mais il dit rien comme une grosse victime. Même son meilleur ami, Pierre Aziza, il lui crache dessus et quand il en a l’occasion, il lui chie dans la bouche. Le pire, c’est que Mathias, il aime

élevé. En Guadeloupe, il met en pratique son esprit de conciliation dans un contexte social troublé. À l'occasion de la remise solennelle des prix le 1er juillet 1937 au lycée Carnot de Pointe-à-Pitre, il adresse à la jeunesse d'Outre-Mer son célèbre discours « Jouer le jeu » dont voici quelques extraits : « Jouer le jeu, c'est être désintéressé Jouer le jeu, c'est piétiner les préjugés, tous les préjugés et apprendre à baser l'échelle des valeurs sur les critères de l'esprit. Jouer le jeu, c'est mépriser

Constitutionnel COMMENTAIRE DE TEXTE Ce 20 septembre 1962, le Général de Gaulle, s'adresse aux français, par le biais de la télévision. Le héros de la résistance, adopte une toute nouvelle posture, assis devant une bibliothèque de l’Élysée. Loin des grands discours d'après Guerre, de Gaulle optimise ce média en plein essor afin d'annoncer le prochain référendum. à ses yeux capitale pour la pérennité des institutions. Le moment est choisit. Un mois après l'attentat du petit Clamart, de Gaulle prend conscience

depuis 1958 En 1958, De Gaulle savait déjà ce qu’il voulait faire. La preuve se trouve dans le discours de Bayeux « il faut attribuer à une deuxième Assemblée, élue et composée d’une autre manière que la première, la fonction d’examiner publiquement ce que la première a pris en considération. Cette Chambre complètera la première en l’amenant soit à réviser ses projets soit en examiner d’autres ». Ce discours s’inscrit dans la droite ligne de Montesquieu. Dans la Constitution de 1958, on retrouve ces

en 1958. PARODI (J.-L.), « Les Français et leur Président », in HAMON (L.), LOBRICHON (G.) (dir.), L’élection du Chef de l’Etat en France de Hugues Capet à nos jours, Entretiens d’Auxerre (1987), Paris, Beauchesne, 1988, p. 209. 2 DEBRE (M.), Discours devant le Conseil d’Etat, 27 août 1958, retranscrit in DUVERGER (M.), Constitutions et documents politiques, Paris, P.U.F, 14ème éd., 1996, p. 266. 1 1 Pourtant, se trouvait une nouveauté, qui couplée à la réforme de 1962, s’avèrera lourde

plus directement par le peuple. Les chambres devenaient ainsi les seuls organes de l’État désignés par les électeurs et, en tant que tels, les seuls dépositaires de la Souveraineté nationale. 1958 : une élection par un collège élargi Dans son discours prononcé à Bayeux le 16 juin 1946, le général de Gaulle fait part de ses vues institutionnelles au lendemain de l’élection de la seconde Assemblée constituante. Il se prononce pour un renforcement des prérogatives du chef de l’État, sans pour autant

plus directement par le peuple. Les chambres devenaient ainsi les seuls organes de l’État désignés par les électeurs et, en tant que tels, les seuls dépositaires de la Souveraineté nationale. 1958 : une élection par un collège élargi Dans son discours prononcé à Bayeux le 16 juin 1946, le général de Gaulle fait part de ses vues institutionnelles au lendemain de l’élection de la seconde Assemblée constituante. Il se prononce pour un renforcement des prérogatives du chef de l’État, sans pour autant

droite et son évolution. # En 1958, aux élections législatives UNR obtient 20% des suffrages. Il devient donc le partie prédominant de la droite. UNR par son discours unitaire n'arrive pas à convertir les parties de gauches qui reste toujours ancrés dans leur parti. « DROITE GAULLISTE » étatiste #Extrême droite assez puissante, 19,5% discours très antisémite, anti-fiscale ... (Annexe Poujade en 58) Elle soutient l'OAS, qui a marqué énormément les français par leurs attentats. #Centre National

Constitution sur la base de l’article 11, afin de permettre l’élection du Président de la République au suffrage universel direct a nourrit d’importante réflexions. Il a surtout opposé la thèse du général de Gaulle à celle du Président du Sénat, Gaston Monnerville. Qu’en est-il ? Le débat portait sur la conformité tant formelle que matérielle de ce référendum par rapport à la Constitution. La Constitution de 1958 comporte en effet un titre et une disposition dédiés à la révision de la Constitution :