Discours Gorbatchev Démission

communistes (voir séquence 4 chapitre 2 partie A.2). – à l’Ouest les ÉTATS-UNIS remettent en place les gouvernements élus et refusent de reconnaître officiellement la ligne Oder-Neisse comme nouvelle frontière germano-polonaise. Document 6 Le discours de Churchill à Fulton en 1946 « De Stettin, dans la Baltique, à Trieste, dans l’Adriatique, un rideau de fer est descendu à travers le continent. Derrière cette ligne se trouve les capitales de tous les pays de l’Europe orientales : Varsovie, Berlin

mais le Congrès outre le contrôle législatif contrôle l'action présidentielle. Le modèle économique est basé sur le capitalisme libéral, sur une société d'abondance et de consommation qui participe au « rêve américain ». En mars 1946, pendant le discours à l'université de Fulton, Churchill décrit le rideau de fer qui est descendu à travers l'Europe : c'est le symbole d'une partition. Seule l'arme nucléaire est capable de contenir l'impérialisme soviétique. Il n'est pas possible de négocier mais

aéroports, des autoroutes et des voies fluviales. Churchill lors de son célèbre discours en mars 1946, déclare que, «de Stettin sur la Baltique à Trieste sur l’Adriatique, un rideau de fer est descendu à travers le continent européen». La Grande alliance n’existe plus et une coupure idéologique profonde sépare les vainqueurs de la 2nd Guerre Mondial. La guerre froide s’ouvre officiellement l’année suivante avec le discours de Truman et l’aide Marshall qui vont couper l’Europe en deux. 2. Une paix

communistes (voir séquence 4 chapitre 2 partie A.2). – à l’Ouest les ÉTATS-UNIS remettent en place les gouvernements élus et refusent de reconnaître officiellement la ligne Oder-Neisse comme nouvelle frontière germano-polonaise. Document 6 Le discours de Churchill à Fulton en 1946 « De Stettin, dans la Baltique, à Trieste, dans l’Adriatique, un rideau de fer est descendu à travers le continent. Derrière cette ligne se trouve les capitales de tous les pays de l’Europe orientales : Varsovie,

politiques existent entre eux. Les EU incarnent la démocratie : respect des libertés individuelles, pluralisme politique. L’URSS a construit une économie dirigée, avec un parti unique, la suppression des libertés individuelles (le « rideau de fer » : discours de Churchill en 1946). - P. 116 doc 1a : La rupture est consommée en 1947. Le président américain TRUMAN fixe l’objectif américain : contenir l’expansion communiste dans le monde. Les Américains proposent une aide économique à tous les pays « libres

revenons en Europe, où les choses ne s’arrangent guère… 4/Coexistence pacifique et nouvelles crises (19531962) La coexistence pacifique est une doctrine de politique extérieure soviétique. Formulée dès 1952 par Staline, puis reprise dans le discours de Nikita Khrouchtchev en 1956, a pour but de limiter l'affrontement avec les États-Unis pour préserver la possibilité d'une victoire finale soviétique. Elle est grandement favorisée par l'équilibre de la terreur . Par la suite dans les années

Unis libéraux économiquement et politiquement l’URSS qui s’inscrit dans la référence marxiste-léniniste et qui a un fonctionnement totalitaire Cette opposition va être contentement présente dans la Guerre Froide car c’est une guerre de propagande (discours, images…) : chacun diabolise l’autre. Cette guerre est aussi présente verbalement, cela va même parfois jusqu’aux insultes ou à une impossibilité de communiquer. Par ailleurs, il s’agit aussi d’une guerre géopolitique car il est évident de ce sont

emploi à l'Ouest, et 10 000 de l'Ouest perdent leur emploi à Berlin-Est2. Le mur de Berlin est devenu dès sa construction le symbole de la guerre froide et de la séparation du monde en deux camps. Le 26 juin 1963, John Kennedy prononce à Berlin un discours historique. Il déclare « Ich bin ein Berliner » (« Je suis un Berlinois »), marquant la solidarité du Monde libre pour les Berlinois24. De plus, la construction du Mur donne une image très négative du bloc de l'Est et prouve de manière symbolique

le métal fin détenu par les banques centrales, mais sur le dollar US, as good as gold, dont la valeur était garantie par la Réserve fédérale des États-Unis, de même que par la formidable puissance économique des États-Unis. En juin 1947, dans un discours prononcé à l’Université de Harvard, le secrétaire d’État américain George Marshall offrit à l’Europe « une aide fraternelle » afin de vaincre « la faim, le désespoir et le chaos ». Le « plan Marshall » ou plan de Reconstruction européenne (European

désarmé) qui est prescriptible et le crime contre l’humanité (crime contre une population civil en raison de son appartenance) qui est imprescriptible. A Tokyo, l’empereur est maintenu mais les généraux sont jugés. En 1946, Churchill fait son discours où il évoque le rideau de fer qui sépare l’Europe en deux. A ce moment là, Churchill a perdu les élections mais il est reconnu comme vainqueur de la guerre. Il met en garde les américains contre la menace soviétique. On parle alors de Glacis pour