Discours Joseph Chamberlain

  Victor Hugo  (Fragments) Si tu veux la paix, prépare la guerre. (Si vis pacem, para bellum)  Anonyme A une juste guerre, préférons une injuste paix.  Samuel Butler  (Remains) Il est plus facile de faire la guerre que la paix.  Georges Clemenceau  (Discours de paix)   Ressemblons-leur : c'est le moyen d'avoir la paix.  Julien Green  (Adrienne Mesurat) Ce que je maintiens, c'est que la guerre fait joliment bien dans l'histoire, et que la paix fournit une piètre lecture.  Thomas Hardy  (The Dynasts) En

Lueger, élu sur son programme foncièrement antisémite, Hitler a sûrement été largement influencé par l'abondante propagande antijuive de bas étage qui circulait alors, à travers une foule de libelles, de caricatures, de journaux à bas prix et de discours publics. Au printemps 1913, pour éviter son enrôlement dans l’armée de l’Empire austro-hongrois, état multi-ethnique qu’il exècre, il s’enfuit à Munich et vit en vendant ses peintures de paysages. Sa tentative d’échapper à la conscription est remarquée

Le mouvement « radical » s'est développé dans les années 1770 parmi les amis de « Wilkes et [de] la liberté » ; il a trouvé son assise géographique dans le Yorkshire, son appui idéologique parmi des non-conformistes comme John Jebb, Robert Price, Joseph Priestley. Il use du droit ancestral à la pétition, demande une redistribution des sièges, la suppression des « branches pourries » du système qu'avait dénoncées Pitt en 1780 au sein de l'opposition (bourgs pourris, bourgs de poche), une extension

Hindenburg comme président Successeur Karl Dönitz comme président 24e chancelier d'Allemagne 30 janvier 1933 – 30 avril 1945 Président Paul von Hindenburg puis lui-même Gouvernement Cabinet Hitler Prédécesseur Kurt von Schleicher Successeur Joseph Goebbels Biographie Date de naissance 20 avril 1889 Lieu de naissance Braunau am Inn (Autriche-Hongrie) Date de décès 30 avril 1945 (à 56 ans) Lieu de décès Berlin (Allemagne) Nationalité autrichienne jusqu’au 7 avril 19251 allemande à partir

tombée en discrédit, raconte qu’il avait été pris en train de braconner dans le parc de Sir Thomas Lucy, un juge de paix local, et s’était donc enfui pour échapper aux poursuites. Une autre théorie suggère qu’il aurait rejoint la troupe du Lord Chamberlain alors que les comédiens faisaient de Stratford une étape de leur tournée. Le biographe du XVIIe siècle John Aubrey rapporte le témoignage d’un comédien de la troupe de Shakespeare, racontant qu’il aurait passé quelques années en tant qu’instituteur

l’Allemagne et la France ne pourront jamais s’entendre, notamment à cause de la prise de deux provinces : Alsace-Lorraine incorporé au IIème Reich). Bismarck sait qu’un jour la France se relèvera et se vengera, c’est pourquoi Guillaume II et François-Joseph créaient une alliance en 1879 : La Duplice (Allemagne + Autriche-Hongrie), puis la Duplice donne lieu à la Triple Alliance (Triplice) en 1882 avec l’Italie qui rejoint l’Allemagne et l’Autriche-Hongrie. En 1887, l’Allemagne et la Russie signe en secret

au cours de ce siècle, de s’employer à ce que l’ordre ancien s’effondre et que les Etats-Nations puissent se constituer. A/ L’éveil des nationalités Deux concepts de nation s’affrontent. La notion allemande, théorisée par Fichte en 1807 dans Discours à la nation allemande , est une réaction romantique au concept universaliste des Lumières, elle établit la nation comme le jus sanguinis, fondé sur l’enracinement dans le passé. Cette solidité historique, irrévocable, transcende les individus : le

démographiques La colonisation est d’abord liée à la révolution industrielle qui a besoin à la fois de matière première et de débouchés. Cet aspect économique est résumé par Jules Ferry « la politique coloniale est fille de la politique industrielle » , Joseph Chamberlain qui déclare en 1896 «  l’Empire c’est le commerce ».Cet intérêt pour de nouveaux marchés est accentué par le retour au protectionnisme des Etats-Unis après la crise économique qui commence en 1879 c’est ce que critique Lénine en 1916 dans son

assemblées unanimes de l’Albert Hall et de Brazzaville (p. 15) : Durant la guerre, à chaque anniversaire de l’Appel du 18 juin, de Gaulle a prononcé un discours dans le cadre solennel de l’Albert Hall, célèbre salle de concert de Londres. Le 30 janvier 1944, à Brazzaville, capitale du Congo, il a prononcé un important discours sur l’avenir de l’Empire. le « Comac » (p. 17) : Appellation usuelle du Comité d’action militaire, organe créé début 44 pour diriger les Forces françaises

Batsford, 1965. FREEDEN (Michael). The New Liberalism. An Ideology of Social Reform. Oxford, Clarendon Press, 1978, 291p. ***GILBERT (Bentley B.). The Evolution of National Insurance in Britain. The Origins of the Welfare State. London, Michael Joseph, 1966, 497p GOODMAN (Dave). No Thanks to Lloyd George. How the Pension was won. The Forgotten Story. Foreword by Jack Jones. London, Third Age Press, 1998, 94p. HAY (J.R.). The Origins of the Liberal Welfare Reforms, 1906-1914. Prepared for the