Discours Sur La Misère 1849

met en avant un programme social. Victor Hugo sera élu député en 1849, il prononce alors de discours pour dénoncer la misère, pour défendre la liberté de l’enseignement. Il est bientôt de tous les combats : contre la déportation, pour le suffrage universel, pour la liberté de la presse et toujours, toujours, contre la peine de mort. Pour dénocer la peine de mort il a écrit «  le dernier jour d’un condamné » et pour dénocer la misère sociale de son siècle il a écrit « Les misérables ». Victor Hugo

Hanté par ce "meurtre judiciaire", il va tenter toute sa vie de faire plier l’opinion en décrivant l’horreur de l’exécution, sa barbarie et sa cruauté, en démontrant l’injustice et l’inefficacité du châtiment. Selon lui, les vrais coupables sont la misère et l’ignorance, et l’exécution a sur le peuple l’effet contraire de celui espéré. Elle le rend cruel, avide de sang et de ce "spectacle" public, bien loin de l'exemple moral, lui enlevant ainsi toute sensibilité. Il s'indigne que la société se permette

d’infléchir l’opinion en décrivant l’horreur de l’exécution, sa barbarie, en démontrant l’injustice (les vrais coupables sont la misère et l’ignorance) et l’inefficacité du châtiment. Utilisant tour à tour sa notoriété d’écrivain et son statut d’homme politique, il met son éloquence au service de cette cause, à travers romans, poèmes, témoignages devant les tribunaux, plaidoiries, discours et votes à la Chambre des pairs, à l’Assemblée puis au Sénat, articles dans la presse européenne et lettres d’intervention

Paris (1831), et plus encore avec Les Misérables (1862). Au théâtre, il expose sa théorie du drame romantique dans sa préface de Cromwell en 18273 et l’illustre principalement avec Hernani en 1830 etRuy Blas en 1838. Son œuvre multiple comprend aussi des discours politiques à la Chambre des pairs, à l'Assemblée constituante et à l'Assemblée législative, notamment sur lapeine de mort, l’école ou l’Europe, des récits de voyages (Le Rhin, 1842, ouChoses vues, posthumes, 1887 et 1890), et une correspondance abondante

septembre par la lecture d'un journal. Il rentre à Paris le 12. Période deuil et de désespoir. Il arrête d'écrire pendant trois ans. -1848 il prononce son premier discours à l'Assemblée le 1er août. Il soutient la candidature de Louis-Napoléon Bonaparte à la présidence de la République. -1849 Il prononce son discours sur la misère. Bien qu'ayant soutenu sa candidature l'année précédente, Il s'oppose à Louis-Napoléon qu'il considère comme un tyran. Il fuit en Belgique. -1852 , Louis-Napoléon

2. Le paysan au travail, entre exactitude et idéalisation A. Les travaux des champs ou l’exaltation du lien à la terre B. Le corps paysan ou la glorification de l’énergie 3. La peinture de la diversité sociale des campagnes A. La misère paysanne B. Le petit propriétaire indépendant C. La société villageoise dans sa diversité chez Gustave Courbet . Conclusion Bibliographie sélective : - M. JUNEJA, Peindre les paysans, 1984 , Paris. - S. GUEGAN, Peintres

15 à 22. « sottise», « étourderie ». En conclusion, au XVIIIe siècle, la vision de l'homme « sauvage » pour Jonathan Swift est pessimiste comme on peut le voir dans ce récit à la limite du comique et du satyrique. Dans le texte B, Discours sur la misère (1849) de Victor Hugo, la vision que porte Victor Hugo sur l'homme est dite indirectement. En effet, l'homme doit être solidaire et complice; sinon il est en crime face à Dieu « que je me sens, moi, qui parle, complice et solidaire, et que de

classe. Complétez avec d’autres exemples) · Le discours ( le plaidoyer ou le réquisitoire ) : Discours sur la misère de Victor Hugo (1849) prononcé à l'Assemblée pr engager les députés à constituer 1 comité destiné à préparer des lois relatives à la prévoyce et à l'assistce publique. L’auteur veut éradiquer la misère décrite cô 1 maladie, il évoque plusieurs cas précis et douloureux d' ♂, de

et plus encore avec Les Misérables (1862). Au théâtre, il expose sa théorie du drame romantique dans sa préface de Cromwell en 1827[3] et l’illustre principalement avec Hernani en 1830 et Ruy Blas en 1838. Son œuvre multiple comprend aussi des discours politiques à la Chambre des pairs, à l'Assemblée constituante et à l'Assemblée législative, notamment sur la peine de mort, l’école ou l’Europe, des récits de voyages (Le Rhin, 1842, ou Choses vues, posthumes, 1887 et 1890), et une correspondance

d’enquêtes minutieuses réalisées sur le terrain comme Zola qui avant décrire Germinal descendra dans une mine. Ils utilisent surtout le style indirect libre, la parole du narrateur est remplacée par celle du personnage sans qu'il n'y ait de marques du discours direct. Les descriptions sont très présentes puisque le narrateur ne fait que retranscrire ce que voient les personnages. Elles sont aussi très précise. Tout est minutieusement décrits comme les lieux ou les personnages. Les réalistes font preuve