Dissertation Bon Personnage Imaginaire Réalité

DU COURS • Des fiches synthétiques •  Les points et définitions clés du programme • Les repères importants DES TEXTES CLÉS • L  es plus grands auteurs • D  es extraits incontournables • D  es citations DES SUJETS DE BAC • 1 9 dissertations commentées • L’analyse des sujets • Les problématiques • Les plans détaillés • Les pièges à éviter pourquoi, à la MAIF, nous créons régulièrement des outils éducatifs qui facilitent sommes convaincus de cette priorité depuis longtemps

je vous parle [en 2006] le sol qui bouge sous moi, j'entends le hurlement qui sort de ma bouche.». De Nice, où il avait un sentiment d'exil, se sentant tout à fait différent, tout à fait étranger, car l’origine de sa famille introduisait dans son imaginaire la dimension de l’ailleurs, et le plaçait au croisement de deux langues et de plusieurs cultures, il allait dire : «J'ai aimé et détesté cette ville plus que tout» - «Quand on vit dans une ville comme celle-là, le seul moyen d’échapper à l’univers

l’influence de Pierre Le Grand (photo ci-contre) qui régna de 1682 à 1725, le pays s’occidentalise et SaintPétersbourg devient la capitale de la Russie. L’aristocratie prend très vite goût aux mœurs et aux plaisirs venus d’Occident. Bientôt il devient de bon ton, du moins à la cour, de connaître une langue étrangère. Ce sera l’allemand puis très vite le français. Le développement de l’imprimerie s’accélère et contribue, par la désacralisation du livre, à la laïcisation de la culture. Le premier journal

Delacroix et le romantisme. 13.09.11 (Dissertation ou oral) * Delacroix, Chevaux arabes se battant dans une écurie, 1860 Delacroix a réalisé des décors : bibliothèque de la chambre des députés avec hémicycle avec Orphée et Attila, décors Sénat, et l’Eglise Saint Supplice avec chapelle des Saints Anges. >Apprécier ses œuvres dans la réalité de la peinture, dans leur dimension. XIXème s. : Delacroix : envergure immense, dans son œuvre il représente un certain nombre des impulsions

tunisiens, eux, ont un double objectif : s’adresser à leur oppresseur français (même s’ils sont fascinés par leur culture) et dénoncer leur oppresseur arabe. En effet, les Juifs sont doublement minoritaires. Dans leur littérature, même s’ils évoquent de bonnes relations avec les Arabes, ils parlent aussi du mépris de ces derniers à leur égard. D’ailleurs, la Hara (quartier juif) est la manifestation de cette mise à l’écart et de cette différence instaurée au sein même de la communauté tunisienne. Néanmoins

lectures 50 2.LE THEATRE EN QUESTION 53 3.LA CREATION POETIQUE 55 CHAPITRE 2 : LES DISCUSSIONS LITTERAIRES 57 1.LA CRITIQUE LITTERAIRE 57 1.1La notion de critique littéraire au XVIIIème siècle 57 1.2Le salon féminin, un tribunal du bon goût ? 58 1.3 Les jugements littéraires 60 2.LES QUERELLES D’ERUDITION 62 2.1 La querelle des Anciens et des Modernes chez Madame de Lambert 62 2.2La querelle de la musique chez Julie de Lespinasse 64 CHAPITRE 3 : LE SALON

l’hommage et de l’adoubement L’hommage d’Édouard Ier, roi d’Angleterre et duc de Guyenne, à Philippe IV, roi de France (voir p. 19). Ce tableau illustre la situation particulière de deux rois, dont l’un se déclare « l’homme » de l’autre : les deux personnages sont pairs comme l’indique l’identité de leurs vêtements (manteaux imprimés de l’emblème royal du lys et couronnes). En tant que roi d’Angleterre, Édouard Ier ne dépendait que de lui-même, mais, en tant que duc de Guyenne, il dépendait du roi

........................................................................13 1. Introduction................................................................................................................................................13 2. Les personnages.........................................................................................................................................14 3. Analyse ..............................................................................................

_____ Le 17 août 1827, à la distribution des prix du collège Henri-IV, alors qu’il était, à l’âge de dix-sept ans, élève en classe de philosophie, il reçut le premier prix de dissertation latine et le deuxième prix de dissertation française. Il obtint la même année, au concours général, le deuxième prix de dissertation latine, ce qui fit pleurer de joie sa mère. Le 23 septembre, à propos de son avenir, il écrivit à son ami et condisciple, Paul Foucher, le beau-frère de Victor Hugo : «Je ne voudrais

courir le risque de découvrir que ce qu’on lui a appris – et que l’Education Nationale attend qu’il enseigne à son tour – n’est pas l’entière vérité historique. Quelle déplaisante situation ! C’était la mienne. Un professeur étant avant tout un ancien bon élève, c’est donc de cette qualité dont je devais me méfier. Il me fallait me rendre compte par moi-même de ce qu’était ce siècle en clair-obscur dans lequel œuvrèrent Pierre Corneille… Jean-Baptiste Poquelin et Molière, le troisième homme. C’est ainsi