Distraction

plus agréable de lire un livre qui nous amuse et nous fait rire que de rester sans rien faire. La lecture est donc un merveilleux moyen de se détendre, de se vider la tête, de s’évader, de s’amuser et même si le premier effet visible en reste la distraction, on en retire toujours autre chose. La lecture permet de se cultiver. Il suffit d’ouvrir une encyclopédie pour se rendre compte de tout le savoir qu’elle contient. Grace à la lecture on découvre des choses ayant existé mais que l’on a pas vu

chez eux. En effet, la qualité du matériel informatique, la vitesse de l'internet et la disponibilité d'un espace de travail calme peuvent varier considérablement d'une personne à l'autre. Les travailleurs peuvent également être confrontés à des distractions, telles que la présence de jeunes enfants, qui peuvent entraver leur capacité à se concentrer sur leur travail.  De plus, certains travailleurs peuvent avoir été contraints de se mettre au télétravail en raison de la pandémie de COVID-19, sans

Depuis toujours les Hommes ont des distractions qui peuvent se révéler étranges. La mythologie grecque, teinte de monstres, drames familiaux relevant de la malédiction, combats violents fut sans doute la première source d'histoire angoissantes. S'ensuit plus tard dans les arènes, les combats malsains de gladiateurs ou des jetés de chrétiens pour nourrir les lions. Plusieurs siècles après, les drames shakespeariens méritent également d'être soulignés, car empreints de meurtres et de cadavres. De

hardi de saisir intégralement de pareilles réalisations, de les juger et de les ordonner sous ses formules universelles. […] Il est vrai qu'il y a des cas dans lesquels l'art peut être considéré comme un jeu éphémère destiné à l'amusement et à la distraction, comme un ornement qui sert à enjoliver l'aspect extérieur des rapports de la vie ou à mettre en relief, en les ornant, d'autres objets. Sous ce point de vue, il ne s'agit pas d'un art indépendant et libre, mais d'un art asservi. Mais ce que nous

l’indignation du narrateur, et relatant parfois quelques fragments du passé, souvenirs du bonheur trop tôt arraché. Après une première partie dans laquelle se mêlent descriptions de la prison, narrations de la monotonie du quotidien, des courts moments de distractions, et retours sur le déroulement du procès, le jour ultime arrive. Depuis 6 heures du matin, heure d’arrivée geôlier, jusqu’à 16h, heure de l’exécution, le narrateur relate avec précision toutes les épreuves de sa journée. Après un trajet d’une heure

retraite et meurt le 22 décembre 1989. Résumé : Deux hommes, Estragon et Vladimir, se retrouvent pour attendre un autre homme, Godot, qu'ils ne connaissent pas. Ils discutent comme pour combler un silence qui deviendrait pesant. Leur seule distraction est Pozzo et Lucky qui arrivent dans la journée. Un jeune garçon, le soir venu, vient leur dire que Godot ne viendra pas aujourd'hui mais peut-être demain. Le cérémonial se reproduit le lendemain, et Godot ne vient toujours pas. Ils décident alors

réalité. Mais un artiste peut aussi bien écrire une œuvre éthique afin de dénoncer, témoigner ou même s’engager. Chacun a différente raison de s’exprimer, certains jouèrent des rôles important dans l’histoire, d’autre ont des rôles beaucoup plus de distraction.

étudie le droit à Paris. Lors de la guerre franco-prussienne il s'enrôle dans la l'armée. Après la guerre, il quitte la Normandie pour Paris où il travaille pendant dix ans comme commis au Ministère de la Marine. Pendant cette période sa seule distraction était le canotage sur la Seine le dimanche et pendant les vacances. C'est à cette période qu'il rencontre Gustave Flaubert qui le prend sous sa protection le guidant dans ses débuts de journaliste et écrivain. Gustave Flaubert, lui fait rencontrer

bien comme un moyen d’éduquer. [plan] Pour le déterminer, il faudra définir tout d’abord les plaisirs qu’elle offre, avant de considérer quels peuvent être ses moyens d’action. *** En premier lieu, si l’on envisage la littérature comme une distraction, une source de plaisir pour le lecteur, il convient de s’intéresser à son pouvoir d’évasion. Le monde de l’écrit permet en effet de quitter un monde réel souvent décevant, au profit du monde de l’illusion. Tout en reconnaissant qu’il s’agit là d’une

conteur s’insère lui-même dans sa fable pour intervenir en formulant son avis personnel. Les pronoms personnels « nous » et surtout « je » dans la dernière partie de la fable laisse deviner sa présence. Le narrateur admet sa faiblesse quant à la distraction que lui procure un conte et fait référence au conte « Peau d’Ane », que Perrault publiera quelques années plus tard en 1694 dans ses Contes de ma mère l’Oie. Mais avant cette publication, l’expression « Peau d’Ane » désignait toutes ces histoires