Distribution d'eau

productions artisanales laisse souvent à désirer sans compter qu’un conditionnement peu fiable entraîne souvent la détérioration rapide des produits séchés. De plus il n’existe pas, dans la plupart des pays d’Afrique, de véritables circuits de distribution : chacun vend où il veut et où il peut ! Pourtant, le séchage demeure l'une des options les moins onéreuses pour conserver les produits agricoles. De nombreuses améliorations ont déjà été apportées aux systèmes de séchage traditionnel afin

marocain : I. Contexte hydrologique marocain : Le contexte hydrologique du Maroc reste principalement influencé par une irrégularité annuelle et une variabilité interannuelle très marquées des précipitations et une hétérogénéité de leur distribution. L’alternance de séquences de forte hydraulicité et de séquences de sécheresse d intensité et de durée variables est également un trait dominant des régimes hydrologiques. Les moyennes annuelles des précipitations atteignent plus de 1000 mm

PBC = qmas * (hC – hL) PBC = 1,257 * (57 – 43) = 17,6 kW. Débit d’eau : qmw = 17,6 /(4,198 * 20) = 0,21 kg/s. L 3 Soit un débit de 0,734 m /h. Débit de vapeur d’eau qmw = qmas * (rH – rL) qmw = 17,6 * (10 – 8,4).10-3 = 28,13.10-3 kg/s = 101 kg/h. Situation été Débit massique d’air soufflé qmas = 4000/(3600 * 0,830) = 1,3387 kgas/s Puissance de la batterie froide : PBC = qmas * (hL – hF) PBC = 1,338 * (43 – 28,5) = 19,4 kW. Débit d’eau condensée : qmw = qmas / (rL – rF) qmw = 1,338 * (8,4 – 7).10-3

2 1– Problèmes quantitatifs. - Notions générales à garder en tête : cycle de l’eau, disponibilité, etc. (1) 1.1- Enormes consommations d’eau. D’abord, ne pas confondre « prélèvement » et « consommation » nette. (2) Les consommations d’eau pour l’agriculture sont très importantes. Illustrations. - En été, dix hectares de maïs irrigué consomment autant d’eau qu’un bourg de 6.000 habitants. (3) (les exploitations de cultures intensives ont souvent des surfaces égales ou supérieures à 100 hectares)

pour cela qu'elles deviennent plus rentable dû à leurs économies d'énergies de plus en plus importantes. Ceci provoquera donc une baisse de la facture de chauffage mais aussi une baisse des rejets de gaz polluants. Entre la tranformation et la distribution du gaz on remarque une perte de chaleur du à l'eau qui part en fumé. Pour éviter un maximum de perte il faut un rendement élevé. En effet plus le rendement se trouve être élevé et plus l'installation optimise l'utilisation du combustible plus

ses affluents – Rognon et Blaise – ainsi que tous les ruisseaux et petites rivières de Haute-Marne, quitteront leur lit paisible pour inonder les champs, les villages et les villes environnantes : du sud haut marnais jusqu’au nord, une immense nappe d’eau envahira pendant quelques jours habitations, caves, jardins, usines, rues, routes et voies de chemin de fer, paralysera une activité économique, mobilisera les politiques et les responsables locaux. 1910 sera l’année des crues! D’autres suivront tout

au sein de l'atmosphère terrestre, phénomène appelé effet de serre. Plus d’une quarantaine de gaz à effet de serre ont été recensés par le Groupe Intergouvernemental d’Experts sur l’Evolution du Climat (GIEC) parmi lesquels figurent : la Vapeur d'eau (H2O), le Dioxyde de carbone (CO2), le Méthane (CH4), l'Ozone (O3), le Protoxyde d'azote (N2O), l'Hydrofluorocarbures (HFC), le Perfluorocarbures (PFC) et l'Hexafluorure de soufre (SF6). Le dioxyde de carbone représente près de 70% des émissions

numéros des services de secours d’urgence, etc. L’entreprise au niveau commerciale : Au niveau du prix : fixés par le gérant par rapport au coût de revient, de la loi de l’offre et la demande et de la durée du chantier Au niveau de la distribution des produits : vendus livré et installés suite en général a l’établissement d’un devis Au niveau de la communication : bouche à oreille, qualité des prestations et relations publiques. Au niveau de la fidélisation de la clientèle : l’entreprise

d’entre elles conduit à exploiter au mieux certains ouvrages issus de son génie : ce sont les grands barrages et leurs retenues d’accumulation. Par leurs capacités, par leur flexibilité, ils offrent un moyen efficace de gérer les débits dans les cours d’eau situés en aval, grâce à la rétention d’importants volumes dans leurs réservoirs. Ils permettent de plus de libérer par avance le volume nécessaire à la protection contre les crues, sans pertes économiques, au moyen des turbines et des organes de vidange

Var (3400 m3/s en novembre 1994), par exemple, est au moins 200 fois plus important que son minimum (15m3/s). L'érosion due aux cours d'eau a sculpté dans le Mercantour un relief violent, fait de fortes pentes et de gorges pittoresques. Le réseau hydrographique du Parc national du Mercantour est aussi caractérisé par un nombre remarquable de lacs et de plans d'eau: on en dénombre 217 sur l'ensemble des zones centrale et périphérique. Les deux-tiers d'entre eux ont une faible surface, inférieure