Divinités égyptiennes

Exposé sur Vénus Vénus (de son nom latin) est l’équivalent d’Aphrodite en Grèce et de la déesse étrusque Turan. C’est la fille de Zeus et de Junon mais on raconte aussi qu’elle a été créée a partir du sperme d’Ouranos et de la mer. Elle est la mère de Cupidon (dieu de l’amour) et d’Enée (il est le fils d’Anchise un simple berger qui ignorait la vrai nature de Vénus.). Elle est marié avec Vulcain mais ne l’aime pas (elle ne le trouve pas assez beau pour elle) et le trompe avec Mars, le dieu de

exemples à suivre pour leurs disciples. Et c’est en ce point que la croyance en un supérieur divin est nécessaire pour de nombreuses personnes et est ainsi le garant d’une stabilité dans notre monde actuel. Enfin, il ne suffit pas de croire en une divinité supérieure pour commettre des atrocités. Dans ce cas, ce n’est pas sur la nature de Dieu qu’il faut s’interroger mais essentiellement sur celle de l’être humain. Rousseau résume, dans ce cas admirablement bien cette problématique : « L'excellence

ou de leur mort. En effet, si les hommes se doivent de respecter les rites et coutumes en l’honneur des Dieux, ceux-ci se doivent de les protéger ou de les punir. L’exemple le plus probant de divinité protectrice est sans conteste celui d’Athéna, fille de Zeus qui, dans l’Odyssée devient une sorte de divinité personnelle d’Ulysse en en faisant son protégé – bien qu’elle l’eut châtié dans l’Iliade car il avait dérobé sa statut lors du pillage de Troie : « Athéna leur contait toutes les angoisses d’Ulysse

L’épopée Tradition littéraire vraisemblablement apparue au IIIème millénaire avant J.C , l’épopée répond à plusieurs attentes de l’auditoire : elle a tout d’abord une fonction divertissante qui, en stimulant l’imagination permet d’oublier le quotidien. Elle permet aussi de répondre au besoin de connaître nos origines, notre passé, puisqu’elle fait référence à des événements d’apparence historique. Il faut cependant veiller à ne pas confondre l’Histoire avec l’épopée qui demeure une œuvre littéraire

Saturnalia, ium ,n Toutes les civilisations anciennes célébraient le solstice d'hiver en invoquant des divinités associées à la fertilité et à la lumière. Chez les Romains, Saturne, dieu des semailles et du temps, était représenté avec une faucille et un sablier pour l’occasion et était honoré à cette occasion. se déroulaient du 17 au 24décembre. Le 25 décembre était le jour de « natalis invictis solis » (le jour de naissance du soleil invaincu). Les Saturnales étaient l’occasion de réjouissances

semble posséder aussi une dimension sociale (rituels, célébrations en communauté). I. Tentative de définition du fait religieux 1) La croyance en Dieu Religion semble immédiatement liée à la notion de Dieu. Religare, relier le fidèle à la divinité. Cette croyance, cette foi, se fonde sur un sentiment très fort et très ambigu que l’individu ressent face à l’univers. Rudolf Otto (théologie allemand) appelle « le numineux » ce mélange de frayeur et de reconnaissance devant une totalité à la fois

-De son nom mortel 'Ino' (« Simple femme aux beaux pieds, naguère, aujourd'hui Leucothée » v334), elle s'est jetée à la mer avec autre fils, pour le protéger de son époux Athamas. Les néréïdes la prirent en pitié et elle devint Leucothée, une divinité bienfaisante de la mer. (« Jouissant des honneurs divins » v335) -Elle fait une très brève apparition dans le chant V, vers 333 et le prend de pitié (« lui fit pitié » v336). -Elle l'aide contre la volonté de Poséidon, grâce à « un voile divin »

Un personnage de roman doit-il forcément être un héros pour plaire ? Dans le langage quotidien, on rencontre souvent le mot "héros" pour qualifier le personnage principal d'un roman. Cependant, ce mot a plusieurs sens car il peut aussi désigner une personne accomplissant des actes extraordinaires. Il est alors possible de se demander si il faut attendre du personnage principal qu'il remplisse cette condition. D'une part, il faut d'abord se poser la question de ce qu'est un héros, et d'autre

la nature a donc été écrit dans un contexte pessimiste propice à la mort, la peur, et ainsi à l'antireligion. Cet écrit pose le problème de savoir qu'est-ce qui a poussé l'homme à croire aux dieux. De deux choses l'une : ou bien on estime que les divinités existent réellement, qu'elles ont prouvées leur existence par diverses manières en des temps supposés reculés et donc que leur culte est justifié, ou bien on rejoint l'auteur et on affirme que les hommes ont fabriqué de toute pièce les dieux. Il

groupe à une divinité, un être vivant mythique ou réel, un inanimé ou un phénomène à qui ce groupe reconnaît une dimension « de supériorité, d'excellence ou de sacré ». et attribue des qualités remarquables ou exceptionnelles qui peuvent être considérées comme exemplaires. Le culte est un des éléments des religions. Culte vient du latin cultus, dérivé du verbe colere, qui signifie au sens propre « cultiver » et par extension «rendre culte». On appelle « culte » le fait de croire en une divinité et d'honorer