Divinités olympiennes

opposition entre Nord Inde et Sud Inde (culture diffuse par le biais du commerce maritime / région exempt des invasions musulmans). * Epoque védique (env. 1500-500 av. n.è.) : - Dynastie Maurya, religion royale : bouddhisme dans l’Indus. Pas de divinités clairement établies, le buddha n’est pas figuré, évoqué que par des symboles. * 3 religions : bouddhisme (Bouddha), hindouisme (polythéiste : Shiva et Vishnu, Brahma, Ganesa ou Durga) et jaïnisme (Jina). Les maîtres spirituels sont historiques

faire de mauvaises actions n’est pas intervenu dans aucune de ses décisions lors du tribunal, donc pour lui toutes les choses qu’il a dit devaient être dites, même si cela a entraîné sa mort. Il a confiance en sa divinité, donc il accepte bien le fait qu’il va mourir car c’est sa divinité qui a décidé son sort en ne pas empêchant Socrate de dire se qu’il voulait. Deuxièmement, Socrate se réjouit de sa mort, car pour lui c’est seulement un sommeil profond réduit à une seule nuit. De plus, il sera

- Esclaves affranchis (+ ses enfants) peuvent devenir citoyen si leur maître l’était. -D'après la mythologie : Rome aurait été fondée en 753 av. J.-C. par Romulus et Rémus. Romulus, qui aurait tué son frère, est le descendant de deux divinités : Mars, dieu de la guerre, et Vénus, déesse de la beauté et de l'amour. Cette ville aurait été créée car les dieux le voulaient ainsi. -D'après l'archéologie :le peuple des Etrusques, au Ve siècle av. J.-C. réunissent les villages dans la

représente un moyen à l’atteinte de l’Éveil, c’est-à-dire atteindre le stade religieux le plus supérieur. En effet, dans le tantrisme, l’acte charnel entre l’homme et la femme est une représentation de l’acte créateur de l’univers engendré par les divinités Shiva et Parvati. Cette relation permet à ce qui est divisé d’être uni et de revenir à la représentation du monde qui est, à la base, une totalité indivisée. L’enlacement éternel de Shiva et Parvati évoque un état de contentement de l’être. Ils tentent

Mythes, croyances, système religieux religion et croyances définition de la religion et des grandes religions du monde La religion est l’ensemble des croyances et pratiques qui définissent le rapport de l’être humain avec le sacré ou la divinité Une est définie par les éléments spécifiques d’une communauté de croyants : livres sacré, rite, culte, interdits alimentaire La plupart des religions se sont développées à partir d’une revelation s’appuyant sur l’histoire exemplaire d’un peuple

Apollon Apollon est le dieu de la beauté du soleil, et des arts chez les romains Apollon EST LE dieu de la lumière, de l’agricole, de la musique, de la poésie,… chez les grecs. Biographie Fils de Jupiter et de Léto divinité descendant des titans. On l’appelait également délien du nom de l’îles de sa naissance mais aussi Pythien, pour avoir tué Python. Temple d’apollon à Delphes Cette nymphe, fille du fleuve Pénée, en Thessalie, ou du fleuve Ladon dans la version

punis d'un sort commun:  La convoitise perdit l'un  L'autre périt par l'avarice Tircis et Amarante  J'avais Esope quitté,  Pour être tout à Boccace;  Mais une divinité  Veut revoir sur le Parnasse  Des fables de ma façon.  Or d'aller lui dire "Non",  Sans quelque valable excuse,  Ce n'est pas comme on en use  Avec des divinités,  Surtout quand ce sont de celles  Que la qualité de belles  Fait reines des volontés.  Car, afin que l'on le sache,  C'est Sillery qui s'attache  A vouloir

musulmans 2.2. Le sacrifice chez les chrétiens 3. Pourquoi faire des sacrifices ? Définition Le mot Sacrifice signifie « rendre sacré » en latin. A l’origine ce terme s'emploie pour une variété d'actes. C’est une offrande que l’on fait à une divinité en vue d’obtenir des bienfaits. Donner de la nourriture, de la boisson, des animaux en offrande sont des exemples sacrifices. L’action de sacrifier est pratiquée dans tous les continents et dans presque tous les pays. 1. LES TYPES DE SACRIFICES

elle reflète surtout un profond sens mystique. L’art égyptien est uniquement (à ses débuts du moins) au service des croyances religieuses. Puisque le pharaon n’est pas seulement chef politique et religieux, mais dieu lui-même, le culte rendu à la divinité s’étend aussi à sa personne. Et, parce que les Egyptiens croient à la survie de l’âme près du corps du défunt, ils apportent tous leurs soins à la célébration des morts. Ainsi l’architecture égyptienne est-elle essentiellement funéraire et religieuse

mosquées appartiennent à Allah, n’y invoquez donc personne avec Allah” (al-jinn – 18). Et la preuve que l’invocation vouée à autre que Lui est Sa parole (dans une traduction approximative du sens du verset) : “Et celui qui invoque avec Allah une autre divinité, alors qu’il n’a aucune preuve de son existence, alors son compte revient à son seigneur, et certes les mécréants ne réussissent pas” (al-mu²minûn – 117) Il en est ainsi car l’invocation est une des plus grandes formes d’adoration, comme l’a dit