Divinités olympiennes

où leur sort éternel était scellé. L’ivresse qui domine le texte nous oblige à sentir la présence de Dionysos, divinité qui apporta le vin aux hommes. Sa présence se fait sentir à travers la «vigne» dans la mesure où Dionysos est le maître de cet arbre, le chant du batelier, la danse et les filles qui rappellent la fête considérée comme lieu et moment propice pour célébrer cette divinité et enfin ce chant «râleur» (V. 11) qui rappelle les satyres et le drame satyrique . L’incarnation du mal qui

cet état d'idolâtrie a scellé son destin dans la vie future. Ce n'est pas une opinion, mais un fait proclamé par Dieu dans sa dernière Révélation : {Dieu ne pardonne pas qu’on Lui associe d'autres divinités et Il pardonne les péchés moindres à qui Il veut. Et quiconque associe à Dieu d'autres divinités commet véritablement un énorme péché.} [Coran : chapitre 4, verset 48].

La Religion Romaine (Religio Romana) Introduction : A la fin de l’Empire romain, au Vème siècle, on recense plus de 40000 divinités à Rome ! Dieux publics, dieux privés, dieux d’origine latine ou dieux importés, tous sont tolérés, tant qu’ils supportent que l’empereur ait une place d’honneur dans leur panthéon. Certaines religions sont toutefois interdites par les romains. Présentation de la religion et des activités romaines La religion romaine est une religion polythéiste. Peu soucieux

dieux pour ma finesse et mon astuce » Cependant dans la divinité, il y a des personnes dont la parole n’a pas d’importance aux yeux des Dieux, comme par exemple celle de la Nymphe ou encore la magicienne Circé. Mais toutes deux ont une parole de prophète, leur parole est aussi importante. Dans la divinité, les sirènes ont aussi, par leur parole, le pouvoir d’envouter les marins pour qu’ils s’échouent. Les hommes eux, ne sont pas des divinités mais cela n’empêche pas qu’il y en a qui peuvent avoir

I. Le lyrisme de la souffrance amoureuse. - L’utilisation du « je » est récurrente. En effet, le « je » est extrêmement présent dans ce texte, ce qui rend le poème d’autant plus touchant. En effet, le « je » est impliqué au plus profond du sentiment de souffrance amoureuse qu’il exprime. Ainsi, le narrateur vit pleinement chaque souffrance qu’il exprime. De plus, l’utilisation des pronoms possessifs tels que « mes » au vers 7 et « mon » au vers 10 trahissent l’implication profonde du poète. II

mythologie, catharsis, pathos. 1. La situation tragique • Situation sans issue. • Les personnages se comportent avec héroïsme en acceptant un destin fatal. • Plusieurs entités sont derrière la fatalité : o Intervention d’une divinité ou d’une puissance. o Emprise d’une passion. o Conscience, obligation morale. 2. Le héros tragique • Grandeur d’âme, sens des valeurs (vertu, honneur, devoir, respect, etc.). • Courage et témérité (ne craint pas d’affronter

brûle, extermine, renverse, Il se vante de plaire aux femmes : « je ne suis plus qu’amour, que grâce, que beauté » ;« quand je veux, je charme » ; « selon qu’il ma plait, je remplis tour à tour …. et les femmes d’amour » Il se mesure à des divinités : « trois parques », « Dieu » cupidon, « Mars » ; A des chefs suprêmes, empereurs ou souverains : « grand Sophi de Perse», grand Mogor Il s’octroie des capacité physiques improbables  et invraisemblables: « le seul bruit de mon nom..renverse…défait…gagne… ;

des eaux debout dans la conque d'un coquillage (coquille Saint-Jacques) géant. Elle est entourée à gauche d'un groupe de deux divinités des vents (Zéphyr et Aura[1]). Du ciel, tombent doucement des roses, dont la naissance aurait coïncidé avec celle de Vénus selon une légende antique. À sa droite, elle est reçue par un personnage féminin (Heure, fille de Zeus et divinité du printemps) tentant, malgré le vent, de la couvrir d'un voile rouge parsemé de motifs floraux, pour cacher une nudité déjà bien

empereurs. Les titres, les surnoms, la tenue vestimentaire, les constructions, les fêtes insistent sur la prééminence de ces hommes qui prétendent à la divinisation. Dans le texte étudié, Suétone expose cet orgueil de Caligula à prétendre à la divinité. A l’aide des deux textes, il s’agira d’étudié les prétentions divinisantes de l’empereur Caligula. Pour cela deux axes seront mis en avant. Avant tout, il sera essentiel de revenir sur les fondements de la divinisation de Caligula, puis il faudra

raison, bien que cent fois trompés, l’appellent un présage favorable ou funeste. Qu’il leur arrive maintenant de voir avec grande surprise quelque chose d’insolite, ils croient que c’est un prodige manifestant la colère des Dieux ou de la suprême Divinité ; dès lors ne pas conjurer ce prodige par des sacrifices et des vœux devient une impiété à leurs yeux d’hommes s ujets à la superstition et contraires à la religion. De la sorte ils forgent d’innombrables fictions et, quand ils interprètent la