Dixieland

cinquante, 20% des Américains vivent en dessous du seuil de pauvreté : ce sont les exclus du rêve américain. La minorité noire reste la plus défavorisée, cumulant à la fois difficultés sociales et exclusion politique : dans les États du vieux Sud (Dixieland) règne un véritable apartheid et les droits civiques des noirs sont ignorés. Il faut attendre les années 60 et les présidences de Kennedy (la « Nouvelle frontière ») et de Johnson (la « Grande Société ») pour que des avancées soient réalisées dans

(sous-représentation de la place des musiques non occidentale). Pour la résumer : 'Classe 1 : Musiques d'influence afro-américaine' • 1.1 Blues dont le Boogie-woogie, etc. • 1.2 Negro spirituals, Gospel • 1.3 Jazz : y compris ragtime, Jazz Nouvelle-Orléans, Dixieland, Swing, jazz classique, Be-bop, Jazz soul, jazz modal, Cool jazz, Free jazz, Open jazz, Jazz-rock fusion, Jazz funk, Acid jazz, Electro-jazz, etc. • 1.4 Rhythm'n'blues, Musique soul : y compris Doo-Wop, P-funk, Disco, Funk, groove, R'n'B, nu-soul

chapeaux aux sacs, en passant par les tapis. Du Mexique, la marijuana voyage jusqu'au sud des Etats-Unis. Les esclaves des plantations de cotons la consomme pour tenter d'adoucir leur condition. Puis c'est au tour des bidonvilles de Louiseville - Dixieland et le swing - de découvrir la fièvre de la marijuana, elle y est connue sous le nom de «reefer». En quelques années, les chansons sur l'herbe font fureur et les clubs de musique fleurissent partout où la communauté noire immigrée s'est établie.

plus populaires que la musique d’orchestre se font de plus en plus fortes. Il devient impossible de soutenir et de financer un orchestre de tournée de 16 musiciens. Vers 1950, Louis Armstrong réduit son groupe à six membres, revenant donc au style Dixieland qui l'a rendu célèbre à ses débuts. Ce groupe est appelé « the Pom pom boys », et des musiciens tels que Barney Bigard, Jack Teagarden, Trummy Young, Arvell Shaw (en), Marty Napoleon (en), Big Sid Catlett ou Barrett Deems (en) y jouent. À cette époque

Springfield. Michigan. Les villes : Detroit. Les paysages : Lacs (Michigan, Huron, Erié). Tenessee. Le patrimoine culturel: Country music (Nashville), Rock et blues (Memphis) Hommage à Elvis Presley - AU SUD. Louisiane. Le patrimoine culturel: Dixieland (Nouvelle-Orléans), Culture cajun. Les villes : La Nouvelle-Orléans, Baton Rouge, Lafayette, Natchitoches. Les paysages : Plantations Mississippi (mini croisières). Mississipi : Le patrimoine culturel: Route 61 Blues (Clarksdale), Maisons coloniales

blues de son époque qu'en 1923 elle enregistre pour la première fois pour la firme (« Dowhearted Blues »). Elle est dès ces premières sessions accompagnée par le pianiste Clarence Williams, manager, entrepreneur, pianiste, et compositeur ès style Dixieland. Ce coup d'essai a toutes les apparences d'un maelström, se vendant à près de 750 000 exemplaires.   Bessie Smith met les années vingt à profit pour enregistrer en compagnie des plus grands noms de l'histoire du jazz, du saxophoniste Coleman Hawkins à

harmoniques. Il est impossible de savoir quand est-ce que cette musique est devenue autonome. La date de début est difficilement identifiable, certain le situe vers 1895 d'autres en 1917, l'année où le mot est rentré dans le langage et où l'Original Dixieland Jazz Band effectua ce qui fut considérer comme les premiers enregistrements de Jazz, un quintette américain formé de musiciens blancs menés par le cornettiste Nick La Rocca, effectua ce qui fut considérer comme les premiers enregistrements de jazz

musiques non occidentale). Pour la résumer : Classe 1  Musiques d'influence afro-américaine • 1.1 Blues dont le Boogie-woogie, etc. • 1.2 Negro spirituals, Gospel • 1.3 Jazz : y compris ragtime, Jazz Nouvelle-Orléans, Dixieland, Swing, jazz classique, Be-bop, Jazz soul, jazz modal, Cool jazz, Free jazz, Open jazz, Jazz-rock fusion, Jazz funk, Acid jazz, Electro-jazz, etc. • 1.4 Rhythm'n'blues, Musique soul : y compris Doo-Wop, P-funk, Disco, Funk, groove, R'n'B, nu-soul

p. 116 Unit 7 A COMMON GROUND p. 134 Unit 8 BORDERLANDS p. 159 Unit 9 A MATTER OF LIFE AND DEATH p. 196 Unit 10 THE POWER OF MONEY p. 233 Unit 11 HIGHER, FASTER, STRONGER p. 250 Unit 12 THE CORRIDORS OF POWER p. 278 Unit 13 DIXIELAND p. 293 Unit 14 BUILDERS AND TITANS p. 311 Unit 15 WESTERN TRAILS p. 336 Fiches d’évaluation (fiches photocopiables) p. 356 Méthodologie (corrigés du manuel) p. 413 Préparation à l’épreuve écrite du Baccalauréat (fiches photocopiables)

lui avais demandé de me le vendre parce que je savais que ça plairait à la môme Phœbé mais il a refusé. C’était un très vieux disque, un disque super que cette chanteuse noire, Estelle Fletcher, a fait il y a vingt ans environ. Elle chante ça très Dixieland et provocant, pas le moins du monde à l’eau de rose. Une Blanche, elle chanterait ça tout sucré, mais la môme Estelle Fletcher, elle connaissait son boulot et c’est un des meilleurs disques que j’aie jamais entendus. Je pensais l’acheter dans un