Doctrine Brejnev

Série S (2008) Corrigés des sujets de composition Sujet n°1 La guerre froide 1947-1962 Intro définissant le concept de guerre froide / explication des bornes chronologiques/ problématique/ annonce du plan. 1° partie : mise en place des blocs (doctrine Truman et Jdanov) 2° partie : les crises majeures de la guerre froide (Blocus de Berlin / Corée / 2° crise de Berlin / Cuba) 3° partie : la coexistence pacifique avec l’arrivée de Krouchtchev et la déstalinisation dès 1956 (développement du concept)

personnel. c) Sous Brejnev : immobilisme et renforcement de l'autorité. Au départ, le pouvoir et collégial. Trois hommes forment une troïka où en principe les pouvoirs sont partagés. Brejnev est secrétaire général du parti, kossyguine (premier vice-président du Conseil des ministres de l'URSS -chef du gouvernement), Podgorny président du présidium du soviet suprême chef de l'Etat). Progressivement, Brejnev prend l'ascendant sur les autres hommes politiques. Avec Brejnev c'est en quelque sorte

utilisé par les chefs d’états soviétique (Léonid Brejnev) entre le 31 mai et le 1er juin 1978 pour évoquer « l’évolution récente de la situation de retour à la guerre froide sinon a la guerre fraiche », reprise 14 jours plus tard (14 mai 1978) par VGE (Valérie Giscard d'Estaing), chef de l’état français ; en reprenant Mr Brejnev en s’exprimant sur la situation en Afrique : « Je me demande si l’expression « guerre fraiche » employé par Mr Brejnev ne vous semblait pas plus appropries pour décrire

d’analyse des institutions. Il y a là une vision moraliste des institutions. Les tenants de ce droit dénoncent les limites des positivistes. B/Les excès du positivisme pur Le positivisme parait comme une réaction à la doctrine du droit naturel, à cette approche moralisatrice des institutions. Léon DUGU et KELSEN se sont élevés contre le positivisme parce que pour eux, l’étude des institutions doit se faire dans la neutralité et pour garantir une neutralité dans l’analyse

préexistant et la propagation universelle. Le marxisme du XXe siècle est une lecture des travaux de Marx par Lénine, leur réinterprétation par Staline et l’expérience concrète du communisme selon le modèle soviétique. Il ne s’agit donc pas d’une doctrine fixe mais d’une série d’expression données à une pensée de base. L’URSS a longtemps le statut de modèle indiscutable, jusqu’à ses années de zénith 1945-1950. Son antériorité lui donne le statut de primauté, permettant la définition de la politique

l’arme nucléaire. En 1947, le président Truman sort son pays de l’isolationnisme(lexique p.40) en prononçant un discours de rupture devant le Congrès le 12 mars 1947 Doc.p.57 Ce discours définit la doctrine Truman, il s’agit d’une doctrine de « containment » Endiguement(lexique p.40).Cette doctrine vise à mettre à l’avancée communiste, en aidant financièrement la reconstruction des pays européens qui veulent rester »libres ».Pour éviter la pauvreté qui favorise le communisme, les américain lance

déterminée, dans le cas de l’URSS ,5 ans. Grâce à ces plans quinquennaux, couplés à une politique de travail intense des ouvriers (en effet ,Staline voulait réaliser ces plans en quatre années seulement) poussés par une doctrine exaltant les capacités ouvrières , le stakhanovisme,(véritable doctrine de propagande) l’économie soviétique a réussi à se redresser en axant sa reconstruction sur les secteurs militaires et l’industrie, lourde particulièrement. Mais ce productivisme extrême voulu par Staline afin

Staline règne en maître sur les démocraties populaires, à l’exception de la Yougoslavie de Tito. A l’Ouest, au contraire, les seize pays qui acceptent l’aide américaine marquent leur commun attachement aux valeurs libérales et fondent l’OECE. La doctrine Jdanov confirme la bipolarisation du monde en deux camps irréductiblement opposés. Les liens se resserrent entre les partis communistes avec la création du Kominform (octobre 1947). De multiples procès, de Varsovie à Budapest, permettent d’éliminer

ségrégation. (voir pp. 76-77 sur l’assassinat de Kennedy) 2. Les évolutions du modèle soviétique : Chronologie : Jusqu’en 1953 : Staline, régime totalitaire. 1953 – 1964 : période Khrouchtchev, période de déstalinisation 1964 – 1982 : Brejnev, entre conservatisme et stagnation - Staline : (pp. 86 à 89) Régime totalitaire. Pas de division entre chef du gouvernement et secrétaire général du parti communiste. Goulag à son apogée. Culte de la personnalité. Censure. Une police politique

d’Immobilisme de Brejnev a. La gérontocratie Ex : En 1980, la moyenne d’âge au Bureau politique est de 71 ans. 3. Mise en question du modèle soviétique par les démocraties populaires a. « Une souveraineté limitée » Ex : En 1968, l'attitude de la direction du parti tchécoslovaque apparait comme une véritable remise en cause du système imposé par l'URSS aux pays de l'Europe de l'Est. Les chars interviennent le 21 aout 1968 pour rétablir la situation : Brejnev définit alors la