Dodo

|Écoute ce qu'on te dis. | |Mange ta soupe, allez, brosse toi les dents | | |Touche pas ça, fais dodo. |Fais pas ci fais pas ça. | |Dis papa, dis maman. |À dada prout prout cadet. | |

augmenté dans la société moderne, ou alors serait-ce plutôt les capacités de production, et de généralisation, en opiums, de ce monde qui ont été multipliées dans la société moderne ? Sans doute les deux. Aujourd’hui l’expression :  « métro, boulot, dodo » est devenu normale. Pour Marx l’opium servait à échapper a la réalité de l’asservissement économique brutal et de l’aliénation. Dans les sociétés modernes riches la violence de l’asservissement est moindre que du temps de Marx mais l’asservissement

Bazouge s’adresse à Gervaise comme à une vraie personne, elle n’es plus anonyme. * Zola utilise le personnage du père Bazouge pour rendre un hommage digne à Gervaise et pour l’accompagner en paix dans une mort heureuse : « va, t’es heureuse. Fais dodo ma belle ! ». Introduction rédigé : Cet extrait est issu d’un Roman naturaliste écrit par Emile Zola , « L’Assommoir ». Le thème de ce texte et le thème de la mort. Tout au long de cet extrait l’auteur décrit la mort lente et humiliante de Gervaise

d’échec - Refuser un sens à la vie ≠ La vie ne mérite pas d’être vécue b. Les murs absurdes - Rapport entre la pensée humaine et la nature? Nature et pensée humaine indépendantes l’une de l’autre - Rapport entre l’Homme et le temps? «Métro, boulot, dodo» - Absurde = unique unificateur entre l’H et la nature - «L'absurde naît de cette confrontation entre l'appel humain et le silence déraisonnable du monde» c. Le suicide philosophique - La notion d’absurde fonde le sentiment d’absurde - Absurde > d’une

communication de bébé 7 Acquisition autonomie 8 Le début de l’autonomie 8 Conclusion mon expérience 9 ANNEXE 10 Présentation Personnel Présentation du lieu d’accueil et de travail Le planning de la journéé 8h aceuiel de tooto 8h30 bibe 9 dodo etc Situation active journalier sur l’éveil Toto qui est un bon bébé de 5kg blond Bébé s'éveille au toucher, il sait différentier malléabilité et dureté. Il aime les cubes en tissus, les jouets à effet sonore et lumineux, les clés à mordiller

temporalités qui s’enchainent qui s’accorde ou se désaccorde. Une temporalité pouvant porter préjudice à une autre ou inversement, deux temps pouvant totalement s’accorder. Notre société est tellement rythmée par un rythme de vie « métro - boulot - dodo » que l’on ne prête même plus attentions aux phénomènes temporelles qui nous entoure, tout s’enchainant naturellement.

apporté, Tous les beaux joujoux que je vois en rêve, Et que je t'ai commandés. Petit papa Noël, Quand tu descendras du ciel, Avec des jouets par milliers, N'oublie pas mon petit soulier. Le marchand de sable est passé, Les enfants vont faire dodo, Et tu vas pouvoir commencer, Avec ta hotte sur le dos, Au son des cloches des églises, Ta distribution de surprises. Petit papa Noël, Quand tu descendras du ciel, Avec des jouets par milliers, N'oublie pas mon petit soulier. Si tu dois

du personnage qui nous explique la déchéance entrainant sa mort. Le CL de la mort y est omniprésent et on a CL péjoratif, une description presque scientifique parfois qui fait appel aux sens du lecteur. 2) (L15 à la fin) de « Justement » à « Fais dodo, ma belle ! ». J’ai nommé cet extrait, La réhabilitation de Gervaise. En effet, par l’intervention du personnage du prêtre, on voit que l’auteur, cherche à réhabilité Gervaise après sa mort, qu’il cherche à la rendre meilleure et lui redonner un aspect

complèxes, surtout dans la description. Le registre de la langue est courant aves es éléments familiers. Annie Ernaux écrit sur la langue du monde ouvrier et paysan normand qui a été le sien jusqu’à ses dix-huit ans. Des éléments familiers : faire dodo, des rouges, prof, cul. Ce sont des éléments utilisés dans la langue parlée et par ces éléments l’écrivaine voulait souligner la nature paysane de ses parents, ils ont gagné tout dans leur vie grâce à ses mains, ils ne voulaient pas que leur fille

salasses et aux jolies bulles satyriques. La voie enfin annoncée, il s’installa sur le pire siège du pire wagon, envahi d’une famille espagnole imbuvable, qui criait pour communiquer, riait et emmerdait tous les voyageurs. Changement de wagon, Ray-Ban, dodo. Déçu d’arriver à Toulouse au crépuscule, de rater l’après-midi ensoleillée tant convoitée, à se prélasser sur les bords de la Garonne, torse nu, une bière et des fraîches pimbêches à portée de main ; mais allègre de retrouver son ami dit « l’aristo