Doge

révisés avec eux les keures pour pouvoir choisir leur sorts et connaître chaque années l’utilisation des charges remplies durant l’année. 6. durant le début du quatrième siècle, c’est le Doge Gradenigo qui a le pouvoir a Venise car il a installer au grand conseil (l’organe législative) la Serrata qui fait que le doge choisi les membres du grand conseil (les plus riche, de grandes familles) et exclu les citoyens du grand conseille, cela entraine que les institutions urbaine de Venise ne sont dirigées

choisit le prince. Le « commun » a obtenu gain de cause à la suite de plusieurs révoltes populaires. 6) A Venise la réalité du pouvoir est détenue par le doge, en 1310 c'était le doge Gradenigo. La conjuration de 1310 a été provoquée par le doge Gradenigo qui a mis en place un système politique fermée qui ne plaisait pas au peuple. Le doge a été informé de cette menace et a donc renforcé la sécurité en armant les personnes qui l'entourait, ce qui a empêché les rebelles de faire trop de dégâts.

reconnaissent deux espèces distinctes comme calmars des géants. La première, l'Architeuthis un doge, un animal d’aspect (apparence) pareil au calmar commun, mais dont se sont trouvés des exemplaires morts d'à peu près 18 mètres de longueur jusqu'à la pointe des tentacules. Les plus grands exemplaires ont fait une ronde du pèse proche de la tonne. Avec un diamètre de jusqu'à 25 cm, l'Architeuthis un doge est considéré l'animal avec les plus grands yeux, bien que l'on croie que le calmar colossal

Athènes ou à Rome. On a longtemps cru que cette cohésion était dû à l'équilibre des 3 pouvoirs définis par Polybe à propos des Rome: le grand nombre aurait été représenté par le Grand Conseil, la valeur aristocratique par le Sénat et l'unité royal par le doge. Mais est ce que ces trois forces peuvent coexister avec une république? Est ce que ces trois forces étant effectivement présentes à Venise, la ville est encore une république et à ce titre, peut-elle prétendre à être un modèle, rang au quel l'ont

et un conseiller, Virginia, Ludovico, le Doge Action : Galilée se rend à la République de Venise avec une nouvelle invention, la lunette qu’il a perfectionnée et va la montrer à des conseillers et au Doge. Il sera accompagné de sa fille Virginia, d’un ami Sagredo et de Ludovico. Durant la scène Galilée vas avouer à Sagredo que la lune ne brille pas d’elle-même. Le Doge va demander à parlé par l’invention car il en réclame cinq cents écus mais pour le doge il faut un prétexte pour qu’il puisse recevoir

habitants de différentes cités (Trévise, Aquilée, Uderzo) alors soumises à la domination byzantine de Constantinople.A la suite de luttes de différentes factions, c'est finalement à Rivoalto (futur Rialto) que s'opèrera le transfert du gouvernement du Doge Angelo Partecipacio en 811.La naissance de Venise, sous la protection et l'Alliance de Byzance est alors effective.L'arrivée des reliques de l'Evangeliste Saint Marc en 827 renforce l'Etat vénitien naissant, en dépit de sa dépendance à l'empire byzantin

Dossier Littérature et société : Venise 1) Les débuts de Venise : L’histoire de Venise est très intéressante. C’est au cours du 5e siècle que les Vénètes se refugièrent dans les iles de la lagune. Au 7e siècle elle était gouvernée par un doge élu par une assemblé. Venise s’est vite développé en un centre commercial prospère. Au cours de la période suivante, les voies fluviales furent transformées en petites ruelles et on vit apparaitre les premiers édifices : les palafitos. 2) La puissance

d'habitations isolées) puis en 810 à Venise que le centre politique de la lagune se soit déplacé d'Héraclée (où a été nommé le premier doge en 697) à Venise même. Les armées carolingiennes menaçaient, et on jugea que l'îlot du Rivo Alto offrait plus de sécurité. Lagune : Les lagunes sont des plans d'eau littoraux séparés de la mer par un cordon littoral appelé lido. Doge : Premier magistrat, élu comme chef nominal, des anciennes républiques de Gênes et de Venise. La cité marchande À partir de cet

offrait une belle image de l’honneur où ils tenaient la marine. Assez vaste pour enfermer trois bassins où étaient admis tous les vaisseaux, il occupait seul seize mille ouvriers et trente-six mille marins. Cet arsenal était placé sous la surveillance du doge et dirigé par des magistrats responsables de son approvisionnement comme de sa splendeur. Les ouvriers qu’on y employait jouissaient de grands privilèges ; leurs femmes et leurs enfants étaient entretenus aux frais de l’État, et leur fidélité regardée

la création de l’Empire latin d’Orient en 1204. Le livret du Salon de 1841, où le tableau fut présenté, décrit la scène en ces termes : « Baudouin, comte de Flandre, commandait les Français qui avaient donné l’assaut du côté de la terre, et le vieux doge Dandolo, à la tête des Vénitiens et sur les vaisseaux, avait attaqué le port. Les principaux chefs parcourent les divers quartiers de la ville, et les familles éplorées viennent sur leur passage invoquer leur clémence. » Description et personnages