Dogmes chrétiens

NOTIONS DE BASE SUR LE CHRISTIANISME 1 – Étudier le fait religieux Ce n'est pas l'étude d'une religion. C'est un fait que les religions ont joué un rôle majeur dans l'Histoire. En particulier la religion chrétienne dans l'Europe Occidentale des jours fériés, souvent des fêtes religieuses directement liées à Jésus-Christ : Noël : naissance Pâques : résurrection 3 jours après sa crucifixion Ascension : montée au ciel 40 jours après sa résurrection Pentecôte : envoi du Saint-Esprit aux

encore appelé Jésus Christ (venant du grec chrestos signifiant « celui qui a reçu l'onction ») dont la Livre Saint est la Bible. La Bible est composée de deux blocs: l'Ancien et le Nouveau Testament. Cette religion a un intérêt: celui du calendrier Chrétien sachant qu'en réalité la date de naissance précise de Jésus de Nazareth serait entre - 7 à – 4. Section I: L' Histoire du Christianisme: Les origines L'approche religieuse est double: traditionnelle: scientifique (historienne) §1:

qu'il pose à Esaïe reste d'actualité : « Qui enverrai-je, et qui marchera pour nous? » (Esaïe 6,8). Comme chrétiens, nous sommes ambassadeurs pour Christ (2 Corinthiens 5,20 ; les versets 16 à 21 méritent un détour). Nous avons cette dignité et cette autorité de représenter Christ. Le succès n'est pas notre problème : nous devons simplement transmettre le message que nous avons reçu. Tout chrétien est concerné, pour aller dans le monde entier, y compris chez lui (Matthieu 28,19). Il n'y a pas de quoi

religieuses non chrétiennes qui avaient cours lors du solstice d’hiver. Ces fêtes célèbrent en effet le retour du Soleil.
Il s’agissait donc d’une fête de la lumière, d’où nos lumières de Noël. -La bûche de Noël rappelle également celle que l’on faisait brûler toute la nuit durant la veillée de cette nuit la plus longue de l’année. 
 -Dans de nombreuses traditions, on s’offrait déjà des cadeaux lors du solstice d’hiver en signe de réjouissances. Selon les diverses traditions chrétiennes, c’est désormais

Centre de Recherche et d’Action pour la Paix Tél. (225) 22 40 47 20 - Fax (225) 22 44 84 38 Les vendredis du CERAP 15 juillet 2005 Conférence publique sur le thème Chrétiens et musulmans dans une société pluraliste Par Djiguiba CISSE Imam de la grande mosquée du Plateau, directeur de Radio Al Bayan et Serge LOROUGONON, jésuite Les Vendredis du CERAP, 15 juillet 2005 1 I. Contribution de l’Imam Cissé Djiguiba Contribution de l’Imam Cissé Djiguiba Mesdames et messieurs,

marquée par un jeu d'opposition qui dévoile l'image d'une vie après la mort et distingue deux catégories de chrétien : les bons et les mauvais. Judas est un personnage biblique, pour l'auditeur ou le lecteur du XIIe siècle son nom évoque déjà une idée assez précise du personnage. Etant lié à la mort de Jésus, son portrait est bien souvent négatif. Il est en quelques sortes l'image du mauvais chrétien et lui-même, dès les premières lignes de sa présentation rappelle ses crimes : « Jo sui qui mun seignur

com/library/bl/bl_constantine_statue.htm Table des matières I. introduction P.3 1.1 Pourquoi ai-je choisi ce sujet ? 1.2 Qui est Constantin ? 1.3 La tétrarchie qu’est-ce que c’est ? 1.4 Le christianisme à l’époque de Constantin *II. La vie du 1er* empereur Chrétien: Constantin * P.*6 2.1 Son enfance et sa jeunesse 2.2 Ses débuts militaires 2.3 La fuite vers son père et sa 1ère nomination 2.4 Premiers succès militaires 2.5 La bataille du pont de Milvius et la vision de Constantin 2.6 L’édit

puissants et des enjeux sans doute plus graves. Le but de cette dissertation est de voir comment le christianisme est-il venu au pouvoir dans l’empire romain de l’occident, spécialement en Italie et à Rome. Quand l'empire romain est-il devenu chrétien ? Dans un première temps je veux voir le développement de l’Église dans l’empire, et ce qui finalement a conduit à la conversion de Constantin. Puis il faut évoquer le réalités du présence de l’Église à Rome et en Italie pour pouvoir estimer l’importance

: le nazisme, le communisme, le jacobinisme, etc. C'est la religion la plus intolérante et la plus sanglante qui soit. Elle singe le langage judéo-chrétien pour se parer d'une moralité qui lui est étrangère. Mais qu'en est-il de ces "chrétiens" et "juifs" qui disent accepter l'avortement et la contraception ? Ils n'ont en réalité plus rien de chrétien ni de juif, car ils ont dans les faits renié la foi de leurs pères pour être à la mode ; on peut les regrouper dans la catégorie des "libéraux" ou

des fureurs outrées du fanatisme et des craintes imbéciles de la superstition. La religion rend le païen superstitieux et le mahométan fanatique : leurs cultes les conduisent là naturellement (voyez Paganisme, voyez Mahométisme) ; mais lorsque le chrétien s'abandonne à l'un ou à l'autre de ces deux excès, dès lors il agit contre ce que lui prescrit sa religion. En ne croyant rien que ce qui lui est proposé par l'autorité la plus respectable qui soit sur la terre, je veux dire l'Eglise catholique,