Doigt

on se marie, on s'allie par l'alliance est échangée lors de la cérémonie. Elle se porte sur l'annulaire gauche, ce choix viendrait apparemment après avoir touché les trois premiers doigts « au nom du père, du fils et du saint esprit » d'autres disent que selon la coutume c'est parce que la veine de l'amour relie ce doigt direct au coeur. Il y a la tradition où la mariée est à gauche du marié, cela remonte à l'époque où le mariage se disait « kidnaping » plutot qu un acte consentie par les deux partis

que ces feuilles mortes qui n’en finissent pas de tomber. Pour mieux courir, Mouchette a quitté ses galoches. En les remettant, elle se trompe de pied. Tant pis ! Ce sont les galoches d’Eugène, si larges qu’entre la tige elle peut passer les cinq doigts de sa petite main. L’avantage est qu’en s’appliquant à les balancer au bout des orteils ainsi qu’une paire d’énormes castagnettes, elles font à chaque pas sur le macadam du préau un bruit qui met Madame l’institutrice hors d’ellemême. Mouchette se

vieille grand-mère était là qui pleurait.Nous le déshabillions en silence. Sa bouche, Pâle, s'ouvrait ; la mort noyait son œil farouche ; Ses bras pendants semblaient demander des appuis.Il avait dans sa poche une toupie en buis.On pouvait mettre un doigt dans les trous de ses plaies.Avez-vous vu saigner la mûre dans les haies ?Son crâne était ouvert comme un bois qui se fend.L'aïeule regarda déshabiller l'enfant,Disant : "Comme il est blanc! approchez donc la lampe !Dieu ! ses pauvres cheveux sont

main de l'homme qui est très allongée. Au dernier plan se trouve le visagepenché du guitariste Le vêtement du vieil homme est troué sur l'épaule. A la souffrance et à la maigreur du personnage, l'artiste ajoute la pauvreté. L’homme est maigre etses doigts anormalement longs. Le corps est étiré et déformé par la souffrance. Les couleurs froides de ce tableau sont en harmonie avec le thème. Seules certaineszones du corps de l’homme semblent éclairées d’une lumière blanche certainement lunaire, elle

Vous me dégoûtez tous, avec votre bonheur ! CRÉON. − [...] Marie-toi vite, Antigone, sois heureuse. La vie n'est pas ce que tu crois. C'est une eau que les jeunes gens laissent couler sans lesavoir, entre leurs doigts ouverts. Ferme tes mains, ferme tes mains, vite. Retiens-la. Tu verras, cela deviendra une petite chose dure et simple qu'on grignote, assis au soleil. Ils te diront tout lecontraire parce qu'ils ont besoin de ta force et de ton élan. Ne les écoute pas. Ne m'écoute pas quand je ferai

nuits entière, rien que pour toi. Elle a déjà observé une photo de toi, pendant des heures. Elle rougissait quand tu lui parlais, quand elle avait un message de toi, bavait devant des photos où tu apparais. Elle connaissait ta vie sur le bout des doigts, même mieux que la sienne. Elle souriait bêtement lorsque tu lui parlais. Elle est dingue des tes yeux, de ton regard. Elle ne parle que de toi à ses amis. Elle a écrit ton prénom partout. Vraiment, partout. Elle te reconnaissait dans certaines chansons

bien des pères ...   La neige posait lentement  Ses flocons sur les branches mortes ;  La bise au long gémissement  Pleurait par les fentes des portes Les deux foyers se ressemblaient,  Et devant le feu des broussailles,  Deux mères, dont les doigts tremblaient  Songeaient aux lointaines batailles. Leur esprit voyageait là-bas :  Point de lettre qui les rassure !  Quand les enfants sont au combat !  Pour les mères tout est blessure Et j'entendais, au même instant,  Sur un affreux champ

Rose Ecarlate. Nul n’applaudit ni ne murmura. Nul ne bougea. Tous les yeux se braquèrent sur le centre de ce rideau, d’où commença à émerger une main. Une main pâle. Délicate, avec des doigts longs et un poignet 4 mince. Prodigieuse démonstration de peinture sur corps, un dessin commençait à l’extrémité d’un doigt, sous forme d’une feuille minuscule. Elle se prolongeait par une tige, enroulée autour du poignet. Alors que le bras émergeait à son tour, plus de tige et de feuilles apparurent, accompagnées

leur explique qu’il faudra bien appuyer sur la feuille et de ne surtout pas la bouger quand on va poser l’empreinte pour qu’elle soit bien dessiné. Je les aide ensuite à faire leur empreinte en appuyant un peu au milieu de la main et sur le bout des doigts afin qu’il n’y ai pas de trous. Il est également important d’observer si les enfants sont bien déjà passer une fois car il y en à qui ne font pas attention et veulent passer deux fois où même il y en à qui passe pas du tout. C'est pour cela que

combat dans la vallée, après de grandes batailles, nos ancêtres, se sont imposés en maîtres. Toute la tribu s’est réunie autour des grands menhirs. Après cette prière, les chefs nous ont donné des gorgées d’hydromel pour le courage. Voilà pourquoi mes doigts se sont écartés tout en lâchant mes armes et le long de mes joues se sont mises à couler des larmes. Je n’ai jamais compris pourquoi les dieux m’ont épargné. De ce jour noir de notre histoire que j’ai contée, et j’ai rejoint ma femme, mon fils et