Dolmen

avec du sable et de l'eau : développement de l'artisanat, la faucille pour les récoltes, la hache pour défricher la forêt, la céramique pour stocker, des arcs et des flèches pour la chasse, des filets des hameçons pour la pèche... Apparition des dolmens, mégalithes : sépultures collectives car augmentation de la population nouveau rites religieux : culte à des dieux nouvel art : l'art rupestre : dans des abris sous riches peu profonds à la lumière du jour -4 000 -3 500 naissance de l'écriture

poteries) introduite par gpes veant de la vallée du Danube et de l’Europe centrale.  villages avec gdes maisons rectangulaires.  culture céréales.  élevage bovins et porcs. - Régions atlantiques : mégalithisme.  svt attribué aux Celtes ms 1ers dolmens remontent au Vème millénaire.  suppose 1 sté organisée et hierarchisée + sédentarisation.  Ces 3 aires évoluèrent aux IVème et IIIème millénaires sous l’influence d’1 nvelle culture. 1.2 La culture du chasséen Nom vient de Chassey en Saône-et-Loire

avec es coquillage »cardium) ▪ Mégalithisme et spiritualité : L’ humanité crée des territoires ( naissance du mégalithisme = 1ers monuments témoins de l’appropriation de l’espace et de la sédentarisation. Entre le Ive et IIIe millénaire : Dolmens = grands caveaux collectifs + symbolique de l’identité communautaire. Phénomène qui s’étend depuis les régions atlantiques. ( puis d’autres formes de monuments  (toujours avec des grosses pierres) : menhirs, cromlechs (Stonehenge), alignements (Carnac)

ancêtres et certaines forces surnaturelles. En ce qui concerne la dimension religieuse, les hommes du néolithique dressent de grands monuments de pierre : - les menhirs qui sont des pierres levées, isolées, alignées ou disposées en cercle ; - les dolmens, formés d’une ou plusieurs pierres, qui reposent sur des pierres dressées. Les chefs de la communauté doivent également organiser les cérémonies religieuses. Conclusion Le néolithique, si l’on considère l’importance de certaines transformations

Rôde le fantôme d’une fille immolée par son père, démons, sépultures. On raconte aussi l’histoire d’un ogre qui y révéla, pour avoir la vie sauve, la recette du brocciu, célèbre fromage insulaire. Il fut quand même sacrifié, laissant son nom à un dolmen. Et ne dormez pas sur la plage, les cochons sauvages détroussent. A moins qu’il ne s’agisse de bandits. Minotaures, cerbères, assassins. Les déserts sont des vides que l’imaginaire emplit, ainsi que les écrivains et quelques hommes de foi. Rimbaud

"un spectre", métaphore de la mort. Violence de cette expérience : «Me prit» «M'emporta». Hugo raconte son aventure en utilisant un registre fantastique. Mots spatiaux, toponymes: Rosen, CC de lieu «près du dolmen»; «A l'endroit où le cap...»; paysage désolé des îles anglo-normandes. Le dolmen: lieu sacré, ruine du passé, ancien tombeau qui a traversé les âges: pas n'importe quel lieu pour l'apparition de la mort qui "attend" le poète, le guette. Le reste du texte est consacré au discours de la mort

d’appartenance. En outre, les gaulois ne sont que des envahisseur occupant un territoire déjà peuplé avant eux. Ils n’ont ensuite laissé pratiquement aucune trace. En d’autres termes, les gaulois n’intéressent pas notre histoire, et hormis les menhirs, les dolmens, ils n’ont rien laissé de tangible, le seul récit de la conquête étant celui qui nous a laissé Jules César. L’empereur Claude était né à Lyon, et aucune guerre n’a été aussi courte, et suivie d’une paix aussi longue que la guerre des Gaules, suivie

des religions. Des origines de mon peuple, fruit de la rencontre et du métissage de peuplades venues des quatre coins du monde (Celtes, Ibères, Phéniciens, Maures, Suèves, Wisigoths, Romains…), je puis ne pas oublier de regarder les menhirs, les dolmens, les pyramides, les autels, les temples et autres monuments et places sacrés édifiés, grâce au travail rigoureux pour tailler la pierre brute et dans la recherche d’une médiation avec ce qui nous supplante. Cela s’exprime tout particulièrement

feuille, À la goutte de pluie, à la plume, au rayon, Par descendre à ce point dans la création, Cet abîme où frissonne un tremblement farouche, Que je ne fais même plus envoler une mouche… Les Contemplations « Dolmen où m’a parlé la bouche d’ombre » MVH, Inv. 136 © PMVP Du champignon au dolmen, de l’infiniment petit à l’infiniment grand, il semble qu’il n’y ait qu’un pas. Vérité du grotesque « Personnage de profil à gauche » BNF, Mss, N. a. fr. 13342, f° 4 Le réel résulte de la combinaison toute

tribus germaniques croyaient également que l’âme des morts continuait à vivre dans leur pierre tombale. Des dieux en pierre sont érigés et adorés dans les lieux sacrés depuis la plus haute antiquité. Qu’il nous suffise de penser aux ménhirs et aux dolmens qu’on retrouve un peu partout en Europe, en Asie Mineure et en Amérique Centrale et qui remontent à des périodes allant depuis 2350 à 1350 A.C. Les pierres ne se trouvent pas seulement sur la terre : il y en a qui tombent du ciel. Certains de ces