Dom Juan Antigone

: Carmen, Colomba , La Vénus d’Ille - Stendhal : Vanina Vanini, le Rouge et le Noir, La Chartreuse de Parme - Verne : tout - Zola : Au Bonheur des dames, Germinal, Thérèse Raquin IV- XXe S. : - Alain-Fournier : Le grand Meaulnes - Anouilh : Antigone - Aymé : tout ce que vous souhaitez - Barjavel : Ravage, La Nuit des temps… - Beauvoir : Mémoires d’une jeune fille rangée - Bazin : Vipère au poing - Camus : La Peste, L'Etranger - Cohen : Un Livre de ma mère - Gide : La Porte étroite -

Le malade imaginaire Don Juan Antigone Pourquoi les scènes de rupture et de rencontre s'inscrivent-elles dans des moyens de réalisation différentes ? Intro : Olivier Py, dramaturge et metteur en scène français, définit dans Le petit dictionnaire du Théâtre, que, «Au cinéma, ce qui marche bien, ce sont les scènes de rencontre. Au théâtre, ce sont les scènes de rupture ». Genres totalement opposés et d'époques différentes, le théâtre et le cinéma semblent bel et bien présenter des contradictions

personnages mythiques parce qu'ils incarnent un aspect universel de l'humain et renaissent au fil du temps car ils sont admirés, idolâtrer par les générations suivantes. Ils gagnent un tel aspect qu'ils nous semblent être réel comme l' Antigone d'Anouilh au XX ème siècle ; Dom Juan. Ils prennent au plus de force persuasive. La fiction permet l’évasion dans d'autres mondes : les utopies, description d'un monde idéal servant de repoussoir à la société que l'écrivain critique comme Gulliver de Swift. Les

 Le mythe de Dom Juan fait partie de cette légende qui mettait en scène le côté IMPIE et le côtés BLASPHEMATOIRE. Nombreux sont ceux qui se sont inspirés de ce mythe. Il a une particularité : plus il se diversifie plus il s’affaiblit (on passe du séducteur à l’objet qui plait). C’est un mythe qui a été créé par la littérature. C’est la littérature qui créait le mythe. Ce n’est pas le mythe qui a été repris. Côté héroïque : il incarne le courage, l’indomptable, la maitrise de soi. C’est un personnage

DOSSIER PEDAGOGIQUE Dom Juan Molière Distribution Mise en scène : Jean-Marie Villégier Avec Dom Juan : Anthony Audoux Elvire / Mathurine : Sandrine Bonjean Dom Alonse / Le Commandeur / Le Pauvre : Jean-Charles Di Zazzo La Violette / Pierrot / Ragotin : Jonathan Duverger Sganarelle: Christophe Guillon Dom Carlos / Gusman / M. Dimanche : Emmanuel Guillon Charlotte: Sylvie Moussier Dom Louis: Jean-Marie Villégier Collaboration artistique : Jonathan Duverger Assistant à la mise en scène : Jean-Charles

contre l'exi-gence politique, incarnée par Créon. Deux fois, Antigone ensevelit son frère, deux fois, en conséquence, le conflit se concrétise dans un affrontement sur scène entre Antigone et le représentant de l'ordre social. Anouilh, vingt-cinq siècles plus tard, exploite cela sous une autre forme, plus complexe et d'autant plus intéressante que, tout en accomplissant son devoir de roi en lendemain de guerre, Créon veut sauver Antigone (le roi est alors aussi le siège d'une lutte intérieure). Au

choix de mise en scène. Au XVIIe siècle, c’est le cas de Molière qui répond à ce goût du public avec l’intervention de la statue animée du Commandeur dans Dom Juan. De nos jours, si les effets spéciaux du cinéma rendent ce type de fantaisies scéniques obsolètes, à l’époque cette statue servait le dénouement tragique de la pièce en emportant Dom Juan dans les flammes de l’Enfer, semblant annoncer ainsi le dernier mot de Dieu. Enfin, l’acteur également doit répondre, par son jeu, aux attentes des spectateurs

temps ce qu’a fait Auguste. Elle défend alors Cinna : elle a voulue se venger à partir de lui. Auguste honorable : donne Cinna et Maxime leurs postes. Antigone- Anouilh : Filles qui dit non car son frère est jeter et non pas enterrer. Elle n’accepte pas des ordres et injustice, à la fin elle meurt. Tout le monde est mort. Tragi-comédie : Dom Juan- Molière : Evénements comique/satire, critique de l’infidélité. Fin tragique.

théâtres la formule suivante : « c’est ce qui est le plus drôle qui est le plus profond » dans quelles mesures cette formule vous semble-t-elle justifiée? Références : Molière, le Tartuffe, l’avare, le bourgeois gentil homme Brecht, Antigone, Arnoi, Dom Juan, Tartuffe Racine, phedre, britanicus Ionesco, cantatrice chauve Beckett, en attendant Godo Marivaux, jeu de l’amour et du hasard, l’île des esclaves Beaumarchais, le mariage de figaro I] Un oxymore pour commencer • Profond : sérieux

fourbe et malhonnête le seconde est honnête, peu soupçonneux, naïf et faible. | |Fort, malin et malhonnête |Faible, naïf et honnête | |Molière |Dom Juan |M. Dimanche | |La Fontaine |Le lion, le renard, le loup… |L’âne | |Diderot