Dom Juan Element Tragique

Femmes, le Malade Imaginaire II. La création de Dom Juan a. le contexte En 1664, Tartuffe fait scandale auprès des membres influents de la Cour, comme Anne d'Autriche, car la pièce aborde le sujet des faux dévots. Ce sujet est délicat, car la religion ne peut pas être utilisée en comédie (c'est un sujet "noble"). Malgré le soutien de Louis XIV, la pièce est interdite jusque ne 1669. Molière doit donc créer rapidement une nouvelle pièce. Dom Juan paraît donc en 1665. La pièce est écrite en prose

soutenu la Fronde. La situation de cette fin de pièce s’annonce dramatique, or cette pièce est une comédie. I Un dénouement a priori tragique (scènes 5 et 6) : A) Orgon menacé de prison et obligé de fuir : Antiphrase « par charité pure, il veut vous enlever Tout ce qui vous peut faire obstacle à vous sauver » : Cette scène de dénouement semble a priori tragique puisque ce sont les innocents qui sont punis. Orgon est menacé de prison et obligé de fuir Champ lexical du danger « fuite », « fuyant »

DOM JUAN Cette pièce relate la vie d'un personnage infidèle, séducteur, libertin blasphémateur, être de l'inconstance et du mouvement. Dom Juan, jeune noble vivant en Sicile accompagné de son fidèle valet Sganarelle, accumule les conquêtes amoureuses, séduisant les jeunes filles nobles et les servantes avec le même succès. Seule la séduction l'intéresse et les jeunes femmes sont bafouées et déshonorées après que le beau seigneur en a décidé. Mais l'une d'entre elles, Done Elvire, va lui donner bien

d’un homme complet en « savoir et vertu ». On s’interrogera afin de savoir si on peut caractériser ce programme complet de programme humaniste. Plan : I) La lettre d’un père a son fils II) Un abime de sciences III) Des éléments autres que les connaissances IV) Des circonstances culturelles et historiques Conclusion : Un texte comme la lettre de Gargantua révèle une grande confiance à la fois dans la science et dans la nature humaine, admirée de considérée

des costumes appropriés. Au 17ème siècle, les décors de la comédie et de la tragédie étaient différents. Le personnage commique, par exemple celui d'Arlequin, n'est pas vétu de la même façon et ne se comporte pas de façon similaire à un personnage tragique, qui sera beaucoup plus digne et plus solennel. Avant de commencer à répéter une pièce, il est donc nécessaire d'en faire plusieurs lectures et d'étudier le texte : une réplique qui se termine par un point d'exclamation ne sera pas dite de la même

DOM JUAN OU LE FESTIN DE PIERRE Molière Rapidement rédigé, le Dom Juan de Molière fut représenté pour Ia première fois le dimanche 15 février 1665 au Théâtre du Palais Royal et fut vivement applaudi. Cette pièce fait suite à l’interdiction de Tartuffe, du même auteur. I. STRUCTURE DE LA PIECE – Acte I – Acte II – Acte III – Acte IV – Acte V II. ANALYSE DES PERSONNAGES – Dom Juan – Sganarelle – Done Elvire – Dom Louis III

d'hypocrisie, que ce soit celle du dévot ou celle du libertin. En présentant un libertin foudroyé par la vengeance divine, il espère convaincre les spectateurs et les autorités de la moralité de ses intentions. Certains ont cru voir dans le personnage de Dom Juan un contemporain de Molière ; on cite ainsi Vardes, Lionne, Retz, Henri de Guise, le comte de Guiche ou le comte de Lauzun (amants présumés d’Armande Béjart) et Armand de Conti, mais aucune analyse ne recueille l’unanimité. Réception Frontispice

façon. Il est donc important pour le lecteur de pouvoir faire appel à son imagination qui est en partie guidée par les didascalies. Ensuite, nous allons étudier la fonction informative des didascalies. En effet, elles nous informent sur différents éléments. Elles peuvent nous renseigner sur les mouvements et déplacement des personnages, comme dans l’acte II, de la pièce Rhinocéros, de Eugène Ionesco où il y a beaucoup de didascalies. De plus, il n’est pas nécessaire de voir une pièce de théâtre pour

scène et le spectateur. L’on peut alors se demander si la spécificité du théâtre lui permet une plus grande liberté et une imagination plus débordante, autant à l’écrit qu’à la mise en scène. Pour ce faire, nous analyserons dans un premier temps les éléments qui pourraient nous laisser penser que le théâtre est bien le lieu de la plus grande liberté et de l’imagination la plus folle pour ensuite démontrer, dans un second temps, pourquoi il ne peut en être ainsi. Tout d’abord, voyons en quoi le

un rôle à jouer ? Est-ce l’interprétation de l’œuvre textuel au cas par cas qui crée ces différences ? C’est ce à quoi nous réfléchirons. Commençons alors par la première théorie, selon laquelle l’œuvre resterait la même. Assurément, certains éléments du texte se doivent de rester communs, à commencer par l’intrigue qui restera la même. L’action se déroulera toujours plus ou moins dans le même lieu que l’œuvre originale, prenons l’exemple des mises en scènes de Matthias Ledoux, datant de 1994