Dom Juan Ruy Blas

C'est le cas de Ruy Blas de Victor Hugo. Mais finalement ce n’est qu’illusion… car le théâtre est un moment de détente et un divertissement pour le spectateur, ils n’y vont pas pour voir leurs exactes vies représentées sur scène. C’est pour cela que les dramaturges utilisent l’exagération, la caricature etc. Ces procédés ont pour but de faire rire le spectateur. De plus la présence d'éléments fantastiques ou de situations impossibles, enlèvent à la pièce son réalisme comme dans Dom juan de Molière

Gargantua, Pantagruel - La Pléiade (Ronsart, Du Bellay) Théophile de Viau, Saint-Amant, Tristan L'Hermite Mlle de Scudéry, Mlle de Sablé - Pierre Corneille, Horace, Cinna, Polyeucte - Jean Racine, Andromaque , Britannicus , Phèdre - Molière, Dom Juan,Tartuffe, Le Misanthrope, Le Malade imaginaire - Blaise Pascal , Pensées XVIIIe Les Lumières - lutte contre les abus politiques et sociaux - remise en question fondées sur la « raison éclairée » de l’être humain et sur l’idée de liberté. - combat

Bellay) XVIIe Baroque Théophile de Viau, Saint-Amant, Tristan L'Hermite Préciosité Mlle de Scudéry, Mlle de Sablé Classicisme - Pierre Corneille, Horace, Cinna, Polyeucte - Jean Racine, Andromaque , Britannicus , Phèdre - Molière, Dom Juan,Tartuffe, Le Misanthrope, Le Malade imaginaire - Blaise Pascal , Pensées XVIIIe Les Lumières - lutte contre les abus politiques et sociaux - remise en question fondées sur la « raison éclairée » de l’être humain et sur l’idée de liberté

quelques mots dans une pièce classique du XVIIe siècle (La scène est à Séville pour Le Cid de Pierre Corneille) à des indications scéniques détaillées sur le décor, les lumières, les costumes, les gestes, les déplacements, les intonations..., comme dans Ruy Blas de Victor Hugo ou Rhinocéros d'Eugène Ionesco. On peut même noter le cas limite de Acte sans paroles de Samuel Beckett qui ne comporte que des didascalies. L'œuvre publiée indique également le découpage en scènes, en actes ou en tableaux. Le

universelles et éternelles. La beauté est une et absolue- l’Art doit s’inscrire dans l'éternel et l'universel et ne doit jamais s'en écarter | - Pierre Corneille, Horace, Cinna, Polyeucte- Jean Racine, Andromaque , Britannicus , Phèdre- Molière, Dom Juan,Tartuffe, Le Misanthrope, Le Malade imaginaire- Blaise Pascal , Pensées | XVIIIème siècle | Les Lumières | - lutte contre les abus politiques et sociaux- remise en question fondées sur la « raison éclairée » de l’être humain et sur l’idée de

de la vie quotidienne, car dans le théâtre beaucoup d’exagérations sont mises en valeurs. Les sentiments sont amplifiés (Rhinocéros de Lonesco) ; la gestuelle (dans le Grand Cahier, adaptation théâtrale d’Agata Kristof) ainsi que les paroles (dans Dom Juan de Molière). Dans la dramaturgie du théâtre de l’absurde, l’espace neutre donne l’impression que l’action pourrait se dérouler n’importe où. Les personnages sont interchangeables et n’existent que par leurs paroles : ils parlent beaucoup sans se

XIXe siècle et le théâtre contemporain privilégient la prose, le théâtre a longtemps été écrit en vers. Toutes les tragédies classiques et des drames romantiques comme Ruy Blas de Victor Hugo sont écrits en vers. Dans Cinna, Corneille utilise ce qui est considéré comme le mètre parfait, l’alexandrin, de même Victor Hugo dans Ruy Blas. Cette manière de dialoguer s’écarte grandement du langage quotidien : ainsi les vers engendrent des prononciations particulières, certains « e » muets dans le parler

aspects essentiels : le drame historique, le drame humain et le drame social. Nombre de dramaturges donneront à ce genre ses lettres de noblesse, parmi lesquels Musset (Lorenzaccio, 1834), Vigny (Chatterton, 1835) et bien sûr Hugo (Hernani, 1830; Ruy blas, 1838; préface de Cromwell, 1827). ➢ Le vaudeville se mêlent théâtres et chansons, traite de manière plaisante et satirique certains sujets d’actualités, et parodie volontiers les grands genres. C’est un type de comédie à la mode au XIXe siècle

barbarie. Dom Juan  ou le Festin de pierre de Molière (1665) Libre ? Plus de vivre ses pulsions que de les combattre, alors. Libre d’être à fond ce qu’il est, libre de se laisser aller à sa nature, libre de réaliser tous ses désirs - mais non d’y résister. Pourquoi y résister d’abord puisqu’il a le titre et la fortune qui lui permettent de faire tout ce qu’il veut ? C’est pourtant par là qu’il est risible. Comme ses frères de scène, Argan, Jourdain, Harpagon, Orgon, Arnolphe, Don Juan est esclave

Rabelais, Gargantua, Pantagruel - La Pléiade (Ronsart, Du Bellay) Théophile de Viau, Saint-Amant, Tristan L'Hermite Mlle de Scudéry, Mlle de Sablé - Pierre Corneille, Horace, Cinna, Polyeucte - Jean Racine, Andromaque , Britannicus , Phèdre - Molière, Dom Juan,Tartuffe, Le Misanthrope, Le Malade imaginaire - Blaise Pascal , Pensées - Montesquieu, Lettres persanes, L’Esprit des lois - Voltaire, Candide, Traité sur la tolérance - Marivaux, Le Jeu de l’Amour et - croyance en un monde rationnel, ordonné