Dom Juan Ruy Blas

pour frapper l’imagination des spectateurs. Il faut étonner, surprendre et même terrifier non seulement Dom Juan, le pécheur endurci, mais aussi le spectateur qui a ri jusque-là des provocations du héros éponyme contre le Ciel. Il faut absolument que la fin de la pièce soit morale, et Molière choisit les grands moyens. Il mobilise des figures venues d’un au-delà auquel ne croit guère Dom Juan («Spectre, fantôme, ou Diable, je veux voir ce que c'est. ») Nous avons un spectre, capable de se transformer

disposition est un extrait de Dom Juan écrit par Molière, le second est L’Île des Esclaves de Marivaux et le troisième est Ruy Blas de Victor Hugo. Dans ces trois extraits est présente la relation maître et valet, cependant, elles ne sont pas toutes identiques. En effet, dans la pièce de Molière, le rôle du valet au début de l'extrait est un rôle de confident, Dom Juan veut connaître l'avis de son valet « Mais encore, quelle est ta pensée là-dessus? » . Cela nous montre que Dom Juan considère l'avis de Sganarelle

du valet. Celui qui est dans le bon sens, c’est le valet ; le maître est souvent dans l’excès. Personnages : Arlequin (valet), Iphicrate (maître d'Arlequin), Euphrosine (maîtresse de Cléanthis), Cléanthis (esclave d'Euphrosine), Trivelin. Dom Juan, ou le Festin de pierre est une comédie de Molière en cinq actes (comportant respectivement trois, cinq, cinq, huit et six scènes) et en prose jouée pour la première fois le 15 février 1665 au Théâtre du Palais-Royal. Pièce tragique en raison de

Le corpus qui nous est proposé se compose de quatre extraits de pièce de théâtre : « Dom Juan » de Molière, « Le mariage de Figaro » de Beaumarchais, « Ruy Blas » de Victor Hugo et « Les bonnes » de Jean Genet. Tout ces textes évoquent l'image des valets et les rapports qu'ils entretiennent avec leurs maîtres. Intéressons-nous aux images que donne chaque auteur. Les auteurs décrivent fidèlement les rapports maître-valet voyons lorsque le serviteur est soumis à son dominateur. Dans le texte de

Mariage de Figaro de Beaumarchais, Le comte cherchant des informations sur la trahison de Suzanne et interroge son valet Figaro. Un autre extrait étant Ruy Blas de Victor Hugo dans lequel le maître Don Salluste sermonne son valet Ruy Blas sur son comportement . Dans le troisième extrait de la pièce de Dom Juan écrite par Molière, le maître Don Juan se retrouve en compagnie avec son valet Sganarelle débattant sur la religion, ainsi qu'un dernier extrait de L'île des esclaves de Marivaux on retrouve

raconter les scènes. On n’attend pas cela de vous ! On pouvait donc montrer que dans les textes A et B. Shakespeare et Molière utilisaient les moyens que leur offre le théâtre et la scène de leur temps pour rendre les morts de Juliette et de Dom Juan spectaculaires. On pouvait insister sur ce mot « spectaculaire » qui signifie « Qui frappe la vue, l'imagination par son caractère remarquable, les émotions, les réflexions suscitées. » http://atilf.atilf.fr/dendien/scripts/tlfiv5/visusel.exe?37;s=467962740;r=2;nat=;sol=1;

lecture analytique du Dom Juan de Molière, joué par une troupe en résidence dans la ville. Mais un PEC nous a permis de bénéficier de la présence, au sein du lycée, d’une troupe (Très tôt en scène) proposant un spectacle autour de la mise en scène de la tirade de Ruy Blas (« Bon appétit, Messieurs… », III, 2), sur le mode parodique. La séquence s’est donc étoffée et a pris pour support un groupement d’extraits mettant en scène le valet de comédie, associé à la lecture cursive de Dom Juan. L’ordre présenté

compte. Ces masques sont très importants pour créer le suspens dans la pièce. Dans un autre registre, le thème du drame romantique avec Ruy Blas de Victor Hugo ou encore Lorenzaccio de Musset, dans lesquels les masques sont très présents. Par exemple, dans l’œuvre de Musset on aperçoit facilement des masques carnavalesques tout au long de la pièce. Dans Ruy Blas, on voit aussi la présence de masques dissimulateurs, notamment lors de la scène 2 de l’acte IV, ou les didascalies de l’auteur nous apprennent

extraits de textes. Antigone de Sophocle, Phèdre de Jean Racine, Ruy Blas de Victor Hugo et Dom Juan de Molière sont tous les quatre des œuvres théâtrales. Les extraits proposés à l’étude traitent tous de la mort, cependant la théâtralisent-t-ils de la même manière ? D’une part, dans le texte de Racine et celui de Victor Hugo, la mort est évoquée de façon très poétique : « De tout l’univers entier je voudrai me bannir » et, dans Ruy Blas: « Si ! C’est du poison. Mais j’ai la joie au cœur », aucune forme

le théâtre peut-être un art réaliste, mais aussi un art irréaliste. Bilan : Ainsi nous avons pu constater tout au long de ce devoir, que le théâtre est majoritairement un art réaliste, mais aussi irréaliste. Par exemple, dans le dénouement de Dom Juan de Molière, Nous avons l’apparition d’un spectre, d’une statue ayant la capacité de parler et une mort plus ou moins surnaturelle. Mais nous avons aussi une histoire tout à fait valable, un Homme jouant avec les sentiments des Femmes, ceci à toujours