Don Juan Champs Lexicaux

d'une sensation de pesanteur. Sa vision du monde est traversée par l'oxymore baroque : "ô pesante légèreté " (I,1). Reprenant une métaphore alchimique, il se dépeint avec "un coeur de plomb" (I,4), comme s'il attendait quelque transmutation. Le champ lexical de la gravité - "mes propres peines pèsent sur un coeur déjà lourd " - l'attache définitivement à la terre. B - Le malaise existentiel. Ce mal - être semble en corrélation avec le question de l'identité : "Je ne sais pas comment te dire qui

à la résistance sous l'occupation dans La Rose et le Réséda - La Diane Française de Louis Aragon, Citation : "Celui qui croyait au ciel et celui qui n'y croyait pas") - émouvoir en faisant partager des émotions communes à travers un certains champ lexical. (ex : Pitié, compation dans L'Albatros - Les Fleurs du Mal de Charles Baudelaire) - exalter, l'auteur en étant inspiré par son angoisse, sa foi ou sa révolte, c'est une recherche du spirituelle, une élévation. (ex : L'angoisse du temps qui

suivante : « écorcher les malades » (l.7). En effet, Argan veut surprendre et faire réagir le médecin en utilise le verbe « écorcher ». Cette hyperbole dénonce également le caractère hypocondriaque de Argan qui peut également être justifier par la présence du champ lexical de la santé : « malades » (l.7) ; « entrailles » (l.5) ; « un julep hépatique,soporatif et somnifères » (l.14).Molière décrit donc le personnage principale en premier pour ensuite laisser place la description des personnages secondaires. En second

autres personnages, et vous indiquez vos choix de mise en scène (décors, déplacements, costumes, musiques…). Vous pouvez vous appuyer sur les textes du corpus suivant : Texte 1 : Aristophane, Les Grenouilles (405 av. J.-C.) Texte 2 : Molière, Dom Juan, acte I, scènes 1 et 2 (1665) Texte 3 : Hugo, Hernani, acte II, scène 2, vers 520-544 (1830) Objet d’étude : Le texte théâtral et sa représentation RAPPEL : Dans l’écriture d’invention, vous devez produire un texte qui témoigne de qualités créatrices

mes dispositions m’y amenèrent. », « son besoin de femmes ». Cécile jette un regard tendre et amusé sur ce père qui « exécutait des mouvements de jambes compliqués pour faire disparaître un début d’estomac incompatible avec ses dispositions de Don Juan. » Sa complicité avec son père se remarque dans ces passages : - « Je n’imagine pas de meilleur ami ni de plus distrayant. » : Raymond est davantage un ami, un complice qu’un père, ce qui contribue à la polémique dans les années 50. - « nous

Philinte. Texte étudié : Alceste Non : elle est générale, et je hais tous les hommes : Les uns, parce qu'ils sont méchants et malfaisants, Et les autres, pour être aux méchants complaisants, Et n'avoir pas pour eux ces haines vigoureuses Que doit donner le vice aux âmes vertueuses. De cette complaisance on voit l'injuste excès Pour le franc scélérat avec qui j'ai procès : Au travers de son masque on voit à plein le traître ; Partout il est connu pour tout ce qu'il peut être ; Et ses roulements

le spectateur de connaître le personnage. Comme dans Tartuffe, qui n’entre que dans l’acte III, et Dom Juan qui n’arrive que la 2ème scène. Corneille veut donner à Alcandre l’image d’un personnage dangereux, puissant, hors du commun, qu’il faut craindre alors que c’est un personnage qu’on désir voir. C’est un mélange de peur et d’admiration. La peur : la création de la peur avec le champ lexical de la mort qui est très présent dans cette scène d’exposition. Ex : « funestes bords » (V11) de la grotte

religion et pouvait prêter à confusion entre les vrais et les faux dévots. Pour combattre l'hypocrisie, Molière a choisi de présenter un faux dévot. Donc, bien que Molière s'en défende, la religion semble être un thème important de la pièce. Le champ lexical emprunte de nombreux termes à la religion : Dieu y est constamment invoqué, on parle de péché, d'enfer, de tentation, de dévotion, de repentir, de pardon, de charité, de conscience et de bénédiction. Cléante, dans la scène V de l'acte I attaque

pour persuader : Les moyens lexicaux * Le lexique appréciatif • Le lexique affectif : cf. peur, joie, indignation,colère, etc. … • Le lexique évaluatif : cf. mots valorisants / dévalorisants • Les connotations péjoratives ou mélioratives • Les registres de langue : soutenu et familier * Les oppositions lexicales par ex. • le champ lexical du passé et celui de l’avenir • le champ lexical de la science et celui de l’émotion • le champ lexical de la raison et celui du sentiment

hiérarchie sociale. D'abord, « Le Prince aux cris s'abandonna » (v.12), puis « On entendit à son exemple / Rugir en leurs patois Messieurs les Courtisans » (vers 15 et 16). On remarque dans ces vers la présence du registre pathétique installé par le champ lexical de la souffrance : « consolation »(v.4), « affliction » (v.5) – on note que ces noms sont mis en valeur par les diérèses ainsi que par leur place à la rime. Et la morale arrive : « Je définis la cour... ». On croirait une histoire avortée. Fausse