Don Juan Mise En Scène Delcampe

théâtre est tout autant influencer par Zola que le roman. Montrer la réalité telle qu'elle est, dans toutes ses dimensions, ne rien caché de la réalité, montrer la basses de l'homme,sous entendu : comme dans la vie. On va reproduire le plus possible sur scène,le vrai et cela s'oppose au théâtre romantique (Musset). On va aller parfois dans l'excès, c'est-à-dire dans l'excès de laideur, de basses de l'homme. Ce type de théâtre à durer peut de temps car il est tombé très vite dans la caricature et le grotesque

événements ont eu lieu et le moment où l’auteur les raconte font que les souvenirs peuvent être déformés ou incomplets. • Tout n’est pas raconté : l’auteur fait une sélection parmi ses souvenirs. Cette sélection a un sens par rapport à l’image qu’il veut donner de lui-même, à son projet autobiographique. Le rapport au passé • RECIT RETROSPECTIF : Le texte fait alterner récit et analyse. L’auteur reconstitue son passé, il le reconstruit. Il analyse aussi ce qu’il a été : selon les cas, au moment de l’écriture

comique de mot ou de comique de situation. Ces deux formes de comique sont souvent indissociables, la situation mise en scène entraînant un certain type de dialogue. Ces comiques peuvent être complétés par le comique de répétition (répétition de mots, d'expressions ou de situations). Le comique de mot se joint au comique de caractère et au comique de geste lorsque se trouve évoqué ou mis en scène un personnage dont l'aspect et le comportement prêtent à rire (clown, pierrot à la figure enfarinée, Arlequin

CORRIGE TEXTE A. Jean de La Fontaine, « Les obsèques de la Lionne », Fables, VIII, 14, 1678. TEXTE B. Emile Zola, Germinal, IV, 1, 1885. TEXTE C. Alfred Jarry, Ubu roi, acte III, scène 2, 1896. ÉCRITURE I. Après avoir lu les textes du corpus, vous répondrez à la question suivante. Question (4 points) Dans ces trois textes, que veulent dénoncer les auteurs ? Quel registre essentiel chacun de ces textes mobilise-t-il au service de cette visée ? NB. Rappel 2de : les registres

Fleurs du Mal, 1857 : Spleen et IdéalTexte 1 : Correspondances (IV)Texte 2 :Le poison (XLV)Texte 3 : Une charogne (XXVII)Texte 4 :Don Juan aux Enfers (XV) | -Eugène DELACROIX, Naufrage de Don Juan, La Barque du Dante, toiles exposées au Salon de 1841.-Charles BAUDELAIRE, Le Spleen de Paris, Petits poèmes en prose, (1864). | Titre de la séquence 3 : Etude de Dom Juan ou le festin de pierreObjets d’étude :. Le théâtre : texte et représentation. La réécriture d’un mythe. Convaincre, persuader et délibérer :

Séquence TICE 4 : Claude Roy : A la lisière du temps 1S3 février-mars 2005 Objet d’Etude : la poésie Séquence n°3 : Les « fragiles instants d’éternité » de Claude Roy Problématique : Quel(s) sens donner au concept de « poésie moderne » ? CORPUS : 1. Lectures analytiques : un recueil poétique : A la lisière du temps (1984) et le Voyage d’automne (1987), de Claude Roy (collection Poésies Gallimard). Poèmes proposés pour analyses par le professeur

ouvrage ; mais elle, suivant l’usage des femmes et des chats qui ne viennent pas quand on les appelle et qui viennent quand on ne les appelle pas, s’arrêta devant moi et m’adressa la parole : – Compère, me dit-elle à la façon andalouse, veux-tu me donner ta chaîne pour tenir les clefs de mon coffre-fort ? – C’est pour attacher mon épinglette , lui répondis-je. – Ton épinglette ! s’écria-t-elle en riant. Ah ! Monsieur fait de la dentelle, puisqu’il a besoin d’épingles. Tout le monde qui était là

ouvrage ; mais elle, suivant l’usage des femmes et des chats qui ne viennent pas quand on les appelle et qui viennent quand on ne les appelle pas, s’arrêta devant moi et m’adressa la parole : – Compère, me dit-elle à la façon andalouse, veux-tu me donner ta chaîne pour tenir les clefs de mon coffre-fort ? – C’est pour attacher mon épinglette , lui répondis-je. – Ton épinglette ! s’écria-t-elle en riant. Ah ! Monsieur fait de la dentelle, puisqu’il a besoin d’épingles. Tout le monde qui était là se

ouvrage ; mais elle, suivant l’usage des femmes et des chats qui ne viennent pas quand on les appelle et qui viennent quand on ne les appelle pas, s’arrêta devant moi et m’adressa la parole : – Compère, me dit-elle à la façon andalouse, veux-tu me donner ta chaîne pour tenir les clefs de mon coffre-fort ? – C’est pour attacher mon épinglette , lui répondis-je. – Ton épinglette ! s’écria-t-elle en riant. Ah ! Monsieur fait de la dentelle, puisqu’il a besoin d’épingles. Tout le monde qui était là se

renversement général. » Ce « cancer » touche ainsi « la cour » puis « Paris », « les provinces et les armées » avant de mener « à la ruine et au renversement général » ! Les figures d’analogie Deux figures d’analogie permettent à Jean Giono de donner une dimension extraordinaire à son personnage. C’est le cas, tout d’abord, des comparaisons qui permettent de rapprocher deux réalités différentes au moyen d’un outil de comparaison. La fête dans le château est par exemple représentée « comme