Don Juan Personnage Malsain

de son vrai nom Jean Baptiste Poquelin, c’était un grand homme de théâtre. Il a été auteur, metteur en scène et acteur. Auteur de nombreuses comédies comme « Tartuffe », « Don Juan », « le malade imaginaire » et évidemment « l’École des femmes », comédie publiée en 1662.

théâtre a cherché à se transformer ; c'est ce qu'on appelle les crises. Tant que le théâtre est en crise, il se porte bien. ». Il est vrai que depuis toujours, le théâtre peint des personnages aux vices et aux vertus communes aux individus de son temps. En effet, pour se rendre intéressant, il met en scène des personnages d'apparence ordinaire, contrôlés par une force apparente et plus ou moins importante qui va fortement ou pas du tout influencer leur choix et décisions. Avant le XVIIIème où les repères

Molière, « Dom Juan », perpétue les critiques en effet elle y dresse le portrait d’un libertin matérialiste et imbu de sa personne, il tourne en dérision le sujet sérieux qu’était le foi en Dieu et franchies toutes les limites. La dernière réplique de cette pièce est des plus significatives : « Voilà par sa mort un chacun satisfait. Ciel offensé, lois violées, filles séduites, famille déshonorées, parents outragés, femmes mises à mal, mais poussés à bout, tous le monde est content » Dom Juan est l’image

d'' « aimer », de « hair » le personnage pour apprécier la lecture d'un roman? Selon Robbe-Grillet, juger, aimer ou haïr un personnage de roman sont des étapes incontournables à la lecture d'un roman et qui justifient, par la suite, l'avis général que le lecteur porte sur l'œuvre. En effet la construction de la psychologie, souvent complexe, d'un personnage de roman nous induit à le juger au fil des pages. De plus, le caractère romanesque et souvent extraordinaire d'un personnage de roman nous oblige à

un passage qui inspire au lecteur des sentiments très fort car il est, comme Rastignac, spectateur de cette fin solitaire du personnage qui a tout sacrifié pour ses filles et qui l’abandonnent. En premier lieu, le personnage de Goriot est victime d’un délire pathétique propre à l’agonie. En effet le monologue a pour but de renforcer le caractère de délire du personnage car il est associé au délire d’un homme seul ; tout comme dans la scène 7 de l’acte IV de l’Avare le monologue d’Harpagon a pour

« Molière ». Mais ses tragédies sont des échecs. En 1645, c’est la faillite. Il fonde avec Madeleine une nouvelle troupe qui tourne en province pendant treize ans. Leurs farces remportent de grands succès. En 1658, la troupe regagne Paris. Son Dom Juan (1665) provoque un nouveau scandale. Le Misanthrope (1666) reçoit un accueil mitigé. Entre 1668 et 1670, l'Avare, Tartuffe et le Bourgeois gentilhomme sont des triomphes. Le Misanthrope est une comédie de caractère et une satire de la société. Mort

Follavoine interroge Rose sur l’emplacement des Hébrides et celle-ci, ne connaissant pas l’existence de ces îles, lui répond en guise d’excuse « ce n’est pas moi qui range ici ». Cette scène est comique par sa situation, mais aussi par le caractère des personnages et par la sorte de quiproquo qui s’en dégage. Rose, quand à elle, ne comprend rien de se qu’il se passe. Elle ne connaît pas les Hébrides, ni ce qu’est une île et se justifie comme elle peut en disant « Y a pas longtemps que je suis à Paris, n’est

moins de fête ». Le fait qu’un homme nous parle et que nous sommes seul à le lire, présente ce livre comme une exécution capitale qui n’a lieu que pour un spectateur, nous. En ne donnant pas de contours nets à son personnage, Hugo refuse d’offrir aux lecteurs le plaisir malsain de n’être qu’un spectateur. Il est alors impossible de se cacher à l’horreur dans la foule en se disant que c’est simplement un spectacle, ou que cette 2 exécution est un acte normal vu que d’autres personnes y

Claire Zahanassian] me conduisit à changer le sexe du personnage principal.La Visite de la vieille dame par le Teatro Malandro avec Omar Porras dans le rôle titre. 1993.La Visite de la vieille dame 2015 – Teatro Malandro6La Visite de la vieille dame 2015 – Teatro Malandro7OMAR PORRASNOTESUn cadavre pour la prospéritéC’est de son Konolfingen natal, de cette petite bourgade du canton de Berne, « propre, vernie, mais truffée de secrets malsains, pareil à du chocolat blême, ou à du gruyère hanté », que

Cordoue et Séville. -Je suis mariée, roi Jean, je suis mariée et non pas veuve, le Maure qui me possède me voulait très grand bien »(1) ………………………………………………………………………………………………………………………… (1)Juan Vernet, Ce que la culture doit aux Arabes d’Espagne, édition Sindbad , traduit par Gabriel Martinez, page 204 Orient, Occident... Quelle place pour la littérature arabe ? Introduction : Le dialogue des cultures est un phénomène ancestral