Donatello

l’une des plus célèbres d’Italie. Elle concentre des édifices civils de toute première importance ainsi que des œuvres de l’art et de l’histoire de la ville. Elle regroupe un certain nombre de sculpture, œuvres parmi les plus grands : Michel-Ange, Donatello, Jean de Bologne et Cellini. Au travers des bâtiments et des sculptures, c’est toute l’histoire de Florence qui est représentée sur cette place. En effet, c’est aujourd'hui une véritable galerie de sculptures. Les statues (ou leurs copies) commémorent

C'est se montrer indigne que de critiquer celui qui est digne de porter un diadème. Ainsi donc, celui qui critique se montrer critiquable». Ce détachement touche aussi le rapport de l'artiste à l'argent, qui est en général assez désintéressé : Donatello a par exemple une caisse commune dans son atelier où tous les travailleurs de l'atelier peuvent piocher ; Michel-Ange, lui, offre les cartons de ses œuvres selon ses sympathies, tandis que Tintoret décore à ses frais une partie de la Scuola di San

n’était pas que pure invention, car les œuvres de la Renaissance s’appuyaient beaucoup sur la culture grecque et romaine. Ce mouvement artistique a été représenté par de nombreux artistes, tel que : Michel-Ange, Léonard de Vinci, Sandro Botticelli, Donatello… De nombreuses œuvres sont encore aujourd’hui le symbole de la Renaissance, tel que : David (représenté à la perfection et placé au centre du monde), La Joconde (chef d’œuvre de Léonard de Vinci)… La Renaissance fut un mouvement artistique très

-influencée par l'Antiquité La Première Renaissance 1400-1450 : elle a pour capitale Florence. Il s'agit de se dégager des principes de la scolastique médiévale en revenant aux modèles antiques. Invention de la perspective en 1409 par Brunelleschi, Donatello et Masaccio. La Haute Renaissance 1450-1520 : elle a pour capitale Rome. C'est l'époque des grands projets et des grandes entreprises menés par Léonard de Vinci, Raphaël, le Vatican et Michel-Ange la chapelle Sixtine, par Bramante coupole de Saint-Pierre

périodes successives : le Trecento (XIVe siècle), le Quattrocento (XVe siècle) et le Cinquecento (XVIe siècle). Dans son ouvrage, Vasari parle de trois âges : celui des précurseurs, Cimabue et Giotto, celui des initiateurs, Masaccio, Brunelleschi et Donatello, et enfin celui des maîtres accomplis, Bramante, Vinci, Raphaël et Michel-Ange, qui selon Vasari égalent et même dépassent ceux de l’Antiquité. Il faudra attendre le XIXesiècle pour que les historiens Michelet et Burckhardt étendent le concept de

humanistes et les artistes cherchent à remettre à jour l'art antique notamment avec la venue de la perspective dans les peintures, ainsi que la peinture à l'huile. La redécouverte de l'Antiquité entraîne à l'apparition du nu, comme le bronze de Donatello, première statue nue depuis l'Antiquité. Une progression vers le savoir se fait ainsi remarquée ; les langues anciennes sont redécouvertes : le latin grâce aux humanistes ré-éditant des manuscrits antiques, et le grec avec la prise de Constantinople

qui aura une influence décisive sur sa formation spirituelle et sur son ambition artistique. Ses premières œuvres sont un Combat des Centaures et des Lapithes et une Vierge à l'escalier, laquelle traduit sa dette envers son grand prédécesseur, Donatello. À partir de 1546, Michel-Ange se consacre surtout à l'architecture. Il est alors, officiellement, le successeur d'Antonio da Sangallo le Jeune : il dessine la fameuse coupole de la basilique Saint-Pierre, mais, se trouvant en butte aux manœuvres

moyens plastiques) Origine du fauvisme : Salon d'automne de 1905, dans la salle VII (où exposent : Derain, Matisse, Vlaminck) → énorme scandale → Louis Vauxcelles critique d'art va donné l'appellation des fauves «  Cette sculpture c'est comme Donatello chez les fauves » C'est un art non instruit, non civilisé pour les critiques. Mais très vite ce mvmt a un effet commercial, des galeries et collectionneurs achètent ces œuvres. D'un côté le fauvisme va être critiqué d'être un art qui brise

constituent la porte, un véritable travail de mise en forme de la perspective. Cependant, la figure dominante reste Donatello, le disciple de Ghiberti. L’artiste allie les expressions héritées de l’art gothique à une poétique de la Renaissance. Ces aspects sont visibles notamment avec son David, qu’il exécute vers 1430-1440, qui est aujourd’hui au Musée Bargello de Florence. Donatello a su se nourrir d’inspiration antique tout en restant dans l’esprit gothique avec son déhanché en –S-. Il parvient

visage caché à l’extrême droite – il s’agit là d’une reprise du tableau de Volterra –, nous avançons que cette femme ébouriffée, qui lui fait pendant du côté opposé, pourrait représenter la Madeleine. Issues directement du répertoire figuratif de Donatello – nous pensons notamment à la Mise au tombeau de Padoue (basilique Saint-Antoine, 1446-1453), aux deux Crucifixions du Bargello (v. 1455) et du Victoria & Albert Museum de Londres (1440-1450) [Figure 2 et 3], et à la Lamentation de la chaire