Dorine

discours que tient Tartuffe sont en contradiction avec ses actes. En effet, il prétend ne pas s’intéresser à l’argent. Or, son but est de s’emparer de la fortune d’Orgon. De plus, il tente de séduire Elmire, alors qu’il s’était choqué du décolleté de Dorine (v861) L’hypocrisie religieuse Pour dénoncer l’hypocrisie, Molière à choisit de présenter Tartuffe comme étant un faux dévot. Cependant, le XVII siècle étant un siècle pieu, la pièce fut interdite sous prétexte qu’elle pouvait prêter à confusion

et de ces petits enfants car selon elle les règles instaurées ne sont pas respecté ce qui la contrarie fortement. (Les personnes ne respectent rien, on y parle haut). Après l’intervention de Madame Pernelle, Dorine se permet d’exprimer son ressenti ce qui lui déplait et l’amène à insulter Dorine de dame de compagnie peu compétente et commère. Ce qui amène Damis, son petit-fils à intervenir car il ne peut entendre les propos de sa grand-mère. Sa fille ne manque pas de lui dire qu’il est saut et qu’il

V, son père lui donne raison sur Tartuffe. Mariane, la fille d'Orgon et l'amante de Valère est passive et ne réponds pas à la demande de son père de se marier avec Tartuffe dans la scène 2 de l'acte II. Mariane se laisse guider par sa suivante Dorine qui refuse le mariage de celle ci. A la scène 3 et 4 de l'acte II, Mariane accepte finalement de se marier avec Tartuffe et l'annonce à son amant : Valère, mais sa suivante finit par la convaincre de ne pas épouser Tartuffe. A la fin de l'acte

pernelle, nous avons en plus de leur lien de parenté leur caractères : Mariane et Elmire sont des femmes douces, Cléante un raisonneur, Dorine une servante vive et sarcastique, Orgon et madame Pernelle admirateur de Tartuffe. La présentation de madame pernelle sur tartuffe est une éloge. Laurent le valet est aussi présenté dans cette scene par la tirade de Dorine « a lui, non plus qu’à son Laurent, […] un bon garant. ». la distribution de la parole : c’est madame Pernelle qui parle le plus

temps Intrigue : On osbserve un désaccord envers Tartuffe par les personnages, d’un coté ceux qui ne l’accepte pas(Dorine et Damis) et de l’autre Mme Pernelle. Ont imagine alors la suite de la pièce concentrée sur Tartuffe pour savoir qui a raison, si c’est un brave homme ou bien un hypocrite . Portrait de tartuffe : On nous présente 2 points de vue différents envers Tartuffe : Vu par Mme Pernelle : termes élogieux et mélioratif « contre le pêché que son cœur se courrouce » v.77 « homme de

Pernelle, ont accueilli chez eux et semblent préparés à défendre envers et contre tous. Elmire, la femme d'Orgon, tente de le raisonner, mais rien n'y fait. Cléante, le frère d'Elmire, malgré un sens subtil de l'argumentation, n'y parvient pas mieux. Dorine, la servante, libère toute l'ironie dont Molière est capable... mais son rang ne lui donne aucune influence. A la fin de l'acte, Mariane, fille d'Orgon, a tout lieu de s'inquiéter au sujet de son amant Valère, parce qu'Orgon semble avoir changé d'idée

parole : Orgon se renseigne sur Tartuffe en répétant « le pauvre homme » ▪ Comique de caractère : Madame Pernelle masculinisée B/ Outrance et vraisemblance - Caractère exagéré de la pièce est puisé dans l’héritage de la farce (irruption de Dorine dans une scène sérieuse). Orgon vient du grec orge qui signifie la violence, la colère. - Comique subtile = marque personnelle de Molière. Ce sont des personnages qui évoluent au cours de la pièce. On retrouve une conception lucide de la nature

Acte I Scène 4 et 5. * Portrait indirect d'Orgon. Obsession ? : oui : répétition "et Tartuffe" ainsi que "Le pauvre homme" Orgon préfère Tartuffe à sa famille. Les procédés de répétition et d'inéquation produisent le comique de la scène. Rôle de Dorine : démontrer la folie de son maître. Hypocrisie de Tartuffe : Il est impossible d'avoir une conversation avec lui. Il mange, dors (d'où sa sensualité) et boit. Cette description nous montre à quel point il est un faux dévot, puisqu'il n'est ni ascète

l'hypocrisie du personnage éponyme. Acte II : Orgon annonce à sa fille, Marianne, qu'il veut la marier à Tartuffe. Dorine intervient alors pour remettre en question l'idée de cette alliance. Cette dernière veut rétablir le calme dans la maison en aidant les deux amants, Marianne et Valère. Acte III : Damis se met en colère en apprenant l'alliance entre sa sœur Marianne et Tartuffe. Dorine essaiera de le calmer. Damis écoute la conversation entre Elmire et Tartuffe, caché dans un placard. Profitant

informations sur les personnages et sur les lieux, que le metteur en scène comble néanmoins ; Dorine, Mme Pernelle, Elmire, Cléante ... Tous ces personnages arrivent dans une intrigue déjà en cours. Qui sont-ils ? D’où viennent-ils ? Des interrogations auxquelles l’auteur du texte répond, notamment sur leur attitude, leur jeu scénique familial. Nous en apprenons également plus sur les rapports liant Dorine, une servante, et Mme Pernelle, la maîtresse de maison : un rapport de force verbal et psychologique