Dorure

véritable prouesse technique. De plus, elles sont fabriquées par la manufacture du royaume, une formidable revanche sur les manufactures italiennes concurrentes. Tout est splendeur, beauté et raffinement : les lustres, les marbres, les bronzes, les dorures, les tableaux évoquant les victoires françaises. Peut-être ne manque-t-il plus aujourd'hui que ce trône en argent ciselé devant lequel Louis XIV attendait les grands de ce monde et qui comme la plupart des autres meubles du château de l'époque furent

Gautier, Mademoiselle de Maupin, Gallimard, Paris, 1973, p.223. Un élément stylistique : Comparaison des personnages à des divinités « Eclairé bizarrement, moitié par la lune qui se levait, moitié par la lueur des lampes, sous ce costume dont les dorures et les émaux scintillaient brusquement, il ressemblait à Osiris ou plutôt à Typhon ; il descendit les marches d’un pas de statue, et pénétra enfin dans le palais. » Théophile Gautier, Le Roman de la momie, Gallimard, Paris, 1986, p.139. « Ils

d'honneur, rue Neuve-Saint-Augustin. Cette porte, haute et profonde comme un porche d'église, surmontée d'un groupe, l'Industrie et le Commerce se donnant la main au milieu d'une complication d'attributs, était abritée sous une vaste marquise, dont les dorures fraîches semblaient éclairer les trottoirs d'un coup de soleil. À droite, à gauche, les façades, d'une blancheur crue encore, s'allongeaient, faisaient retour sur les rues Monsigny et de la Michodière, occupaient toute l'île sauf le côté de la rue

structure pyramidale de sa sculpture avec notamment la ligne blanche sur la jambe de Michael Jackson. L’artiste évoquera ensuite Toutankhamon et Néfertiti qui étaient respectivement pharaon et épouse royale. Le sarcophage du pharaon rappelle les dorures de la sculpture de la pop star. Les yeux et la bouche des figures de KOONS évoquent un portrait de Néfertiti où elle a le contour des yeux noir. Plus largement, les yeux dans l’antiquité égyptienne étaient représentés ainsi. Ces références visent

lui aussi, s'est travestit. Les costumes portent aussi une valeur symbolique, en déterminant la classe sociale à laquelle un personnage appartient : ils participent à la carte d'identité du personnage. En effet, un vêtement troué ou portant des dorures, des cheveux gris ou bruns, permettront d'identifier un riche, un pauvre, un vieillard ou même un avare. En effet, un costume peut souligner les traits de caractère des personnages, afin de les faire ressortir de façon visuelle, sinon plus difficiles

Cette salle (le foyer) longue de 24 mètres sur 11 mètres de large est utilisée pendant l’avant et l’après spectacle. De cet espace, l’on peut se rendre sur le balcon face à la place. Les tons de la pièce sont le beige et le gris rehaussés de dorures. On trouve aussi dans cette salle un bar contemporain. Maintenant que les portes sont ouvertes, rendons-nous dans la salle de spectacle dite « salle à l’italienne » à cause de son architecture en forme de fer à cheval. Pour se rendre dans la plus

des Templiers comprenait des chevaliers qui devaient tous être nobles, les sergents pris dans la bourgeoisie, les écuyers ou intendants, les clercs qui servaient de chapelains. Ils devaient avoir des armes solides mais dépourvues de tout ornement ou dorure ; sur leur haubert de maille flottait un manteau d’uniforme blanc pour les chevaliers et noir pour les sergents. Une croix blanche fut ajoutée tandis que les hospitaliers avaient un croix rouge. (Doc1) p 75 V-

1er ministre chinois sortie par une porte et Théo le perdit de vue. Après quelque minute de pause la représentation repris tout le monde rejoignit sa place ainsi que le 1er ministre chinois. Le théâtre semblait être illuminé même dans le noir les dorures se comptait par milliers, les anges en or joué de la trompette et les peintures des plafonds nous rappeler l'œuvre de Michel Ange dans la chapelle sixtine. Salle de théâtreL'emblème: le phénix A la fin de le représentation un bal était donné

charlotta et Gaev, d’une pente border de barrière qui sert d’entrée et de sortie a plusieurs des personnages. Une autre porte est située au fond coté jardin. Troisième tableau : une salle de bal. Une pièce richement meublée de siège de velours, de dorures et d’un tableau représentant un homme a favoris dans le renfoncement du coté cour. La scène est coupée en deux par de larges portes de bois qui quand elle s’ouvre laissent apercevoir une salle de bal avec des musiciens et des danseurs. Dans cette

utilisé à la Cour selon des usages très stricts en fonction du rang et du titre de noblesse. Le fauteuil « en gaine », illustré cicontre, est révélateur de l’importance accordée au mobilier d’apparat : très riches sculptures, dimensions imposantes, dorures à la feuille, somptueuses soieries et riches passementeries de finitions. La forme a relativement peu changé par rapport à l’époque précédente, les garnitures sont identiques. D’une manière générale, on peut observer une plus grande inclinaison des