Douaumont

mais est affecté (tardivement) au service auxiliaire, ce qui lui vaudra une blessure par éclat d'obus. Sa première pièce, L'Exil, écrite dès la fin 1914, traite de l'engagement volontaire. En 1919, il devient secrétaire de l’Œuvre de l’ossuaire de Douaumont. Dans les années 1920, il se tourne vers le sport, notamment l'athlétisme et le football, et fréquente les stades, où il renoue avec la fraternité des tranchées et s'exalte à la vue des corps des athlètes (cf. Les Olympiques). Le goût des voyages

français gagnants // allemands morts : Méchants // gentils (représentation) camaraderie et lien inter-soldats tableau : http://www.histoire-image.org/pleincadre/index.php?i=812&id_sel=undefined « Reprise du Fort de Douaumont par l'infanterie française, 1916. » ; « Douaumont, 25 octobre 1916 » /!\ Ne faudrait-il pas rassembler la partie B et la partie C... je crois que ça reviendrait un peu au même. Nous n’avons pas d’œuvre pour la B/ et la B/ est en quelque sorte une explication de la C/

ou sur une place de chaque commune pour honorer et ne pas oublier les personnes qui se sont battus pour leur patrie. C’est pourquoi l’arc de triomphe accueille la dépouille du soldat inconnue qui symbolise tous les morts de la Nation. De plus, à Douaumont, à été créé un ossuaire pour que les générations suivantes n’oublient pas les conséquences effroyables de la guerre. Il y a une volonté de l’Etat de commémorer, c’est ainsi que le 11 novembre est devenu un jour national. Par la suite beaucoup d’anciens

humaine, regroupant front (militaires) et arrière (civils), l'aspect économique, et la propagande. ------------------------------------------------- Militairement[modifier ------------------------------------------------- Cimetières militaires à Douaumont C'est toute l'Europe qui est mobilisée. Il y a mondialisation du conflit par les biais des colonies et l'entrée en guerre des USA (1917) et du Japon (1914). Au-delà de l'aspect mondial de la mobilisation, on assiste à une levée en masse des hommes

premières heures sont effroyables : des obus déferlent en continu sur les positions françaises, prises par surprise et totalement impuissantes. L’infanterie allemande prend rapidement le relais et tente une percée. Elle parvient à prendre le fort de Douaumont. Suite à cet attaque , le général Pétain est nommé au commandement de la bataille : son objectif est de protéger la ville de Verdun.

voter en 1951 et en 1953 deux lois d’amnisties. A la mort de Pétain en 1951, ses partisans tentent de réhabiliter son action en affirmant qu’il a mené «double jeu» pour protéger les Français. Ils réclament que le héros de Verdun soit enterré à Douaumont. En 1953, la France se divise lors du procès de 21 membres de la Division S.S. «Das Reich» qui a massacré les habitants d’Oradour-Sur-Glane. Parmi les accusés, figurent 12 "malgré-nou" alsaciens qui seront condamnés puis amnistiés. En 1956, les

Sur le front, ce sont 1 000 hommes qui meurent chaque jour au combat. Les Allemands possèdent 1 400 canons (dont le fameux mortier de côte de 420mm, surnommé « Dicke Berta »), les Français environ 270. Verdun est un piège à obus : l'ossuaire de Douaumont contient les dépouilles de 130 000 soldats inconnus et 770 000 autres victimes. Entre 1914 et 1917, ce sont 30 millions d'obus qui seront tirés de part et d'autre. Le premier jour de la bataille de Verdun, un million de coups seront tirés ! Durant

guerre. En Allemagne, ce sont les communes et les Eglises qui financent leur construction car l'Etat est endetté. Dans les cimetières européens, ont retrouvent souvent des tombes de soldats appartenant à différentes nations, comme dans l'Ossaire de Douaumont. Cela traduit l'union de tous les pays d'Europe en deuil. Tous le monde essaye de leur hommages en créant des associations qui s'occupent des tombes et d'autres qui s'occupent de la mémoire de ces soldats pour ne pas qu'ils soient oubliés. Pour cela

blessé alors qu’il était soldat et mon père y avait vécu pendant la première guerre mondiale les horreurs d’une lutte funeste. Ce souvenir émouvant nous unissait et a été l’un des mobiles de notre rencontre quelques temps plus tard au fort de Douaumont, où nous nous sommes tendu la main devant un cercueil recouvert des drapeaux français et allemand. Les paroles de Charles Péguy « Mère, voici vos fils qui se sont tant battus » ne prirentelles pas, ce jour-là, un sens nouveau ? A Verdun, François

expliquer la vocation militaire apparue à l’âge de 14 ans * L’épreuve de la grande guerre et de l’entre deux guerre où est présente la hantise du déclin : jeune lieutenant en 1914, il est six fois blessé (à Dinant en 1914, en champagne en 1915, à Douaumont en 1916) * Il est ensuite fait prisonnier et à son actif plusieurs tentatives d’évasion * A la fin de la guerre, il est envoyé comme expert auprès la jeune armée polonaise qui affronte l’armée rouge * Ensuite il suit les cours de l’école