Douce nuit, sainte nuit

Oceano Nox Oh ! Combien de marins, combien de capitaines Qui sont partis joyeux pour des courses lointaines, Dans ce morne horizon se sont évanouis ? Combien ont disparu, dure et triste fortune ? Dans une mer sans fond, par une nuit sans lune, Sous l’aveugle océan à jamais enfoui ? Combien de patrons morts avec leurs équipages ? L’ouragan de leur vie a pris toutes les pages Et d’un souffle il a tout dispersé sur les flots ! Nul ne saura leur fin dans l’abîme plongée, Chaque

promotionnel PARTIE 1 : Présentation de l’action I. Identification de l’unité commerciale I. 1 L’enseigne : sœurs Hiridjee sur la voie et leur souffle En 1985, deux sœurs vendent un best-seller dans leur boutique de cadeaux rue Bréa à Saint-Germain des Prés. Un caleçon pour les hommes en coton imprimé et haut en couleurs que les femmes détournent pour elles... Ce succès met les l'idée de créer une lingerie à contre courant de l'offre existante. Elles vont offrir aux femmes des dessous

Et elle fut troublée. Cet homme, au milieu de ces millions d'hommes, était préparé seul pour cet étrange sacrifice. Elle en eut du chagrin. Il échappait aussi à sa douceur. Elle l'avait nourri, veillé et caressé, non pour elle-même, mais pour cette nuit qui allait le prendre. Pour des luttes, pour des angoisses, pour des victoires, dont elle ne connaîtrait rien. Ces mains tendres n'étaient qu'apprivoisées, et leurs vrais travaux étaient obscurs. Elle connaissait les sourires de cet homme, ses précautions

donner une joie que ne t’aurait donnée encore aucun autre. Je ne sais comment te la donner, et pourtant, cette joie, je la possède. Je voudrais m’adresser à toi plus intimement que ne l’a fait encore aucun autre. Je voudrais arriver à cette heure de nuit où tu auras successivement ouvert puis fermé bien des livres cherchant dans chacun d’eux plus qu’il ne t’avait encore révélé ; où tu attends encore ; où ta ferveur va devenir tristesse, de ne pas se sentir soutenue. Je n’écris que pour toi ; je ne

branches et les cheveux évoquent simplement la vie. gustav-klimt-maternite (Peinture de Gustave Klint) La littérature moderne met en avant de mauvaises mères telle vipère au poing d’Hervé Bazin et Genitrix de Mauriac. Qui redéfini l’image lisse douce parfaite que nous avions de la mère. Certes l’enfant est toujours aussi précieux mais on commence à se méfier de la mère. On peut aussi faire une remarque concernant le texte de Simone de Beauvoir intitulé le Deuxième sexe qui en dit déjà long avec

l’envoyer à l’asile de fous de Bicêtre. Un jeune médecin de l’institut des sourds-muets, le docteur Itard, obtient la garde de l’enfant. Dans sa maison, avec le concours de sa gouvernante, Mme Guérin, Itard entreprend de tirer “Victor de l’Aveyron” de sa nuit, de le faire accéder à l’humanité. Analyse Truffaut s’est inspiré d’un mémoire du docteur Itard, publié au début du XIX siècle, pour raconter cette histoire vraie d’un sauvetage moral, d’une pédagogie révolutionnaire pour l’époque. D’un “idiot

brune et l'autre blonde, l'une vive et l'autre douce, avec lesquelles il échangerait toute une correspondance. C'est ainsi que s'ébauche la Nouvelle Héloïse, et que les personnages de Julie, Claire et Saint-Preux s'élaborent. La forme épistolaire permet une multiplication des points de vue et une variété des voix, propres à créer une composition symphonique que devait apprécier Rousseau, par ailleurs auteur d'un opéra. L'héroïne, Julie d'Etanges, aime Saint-Preux, son précepteur. Cet amour est pur et

d’intérêt pour la période médiévale, la naissance du goût pour les paysages d’un orient poétisé et l’évocation de la vie intérieure. Préparé en France dans la deuxième partie du XVIIIème siècle par Diderot, Rousseau et Bernardin de Saint-Pierre, puis sous le premier Empire par Chateaubriand et Madame de Staël, le romantisme produisit son premier chef-d'œuvre avec les Méditations de Lamartine (1820) et connut son apogée dans les vingt années suivantes. Lamartine, Vigny, Hugo, Musset

lecteur, la poésie est un simple fantasme d’un poète, Oh combien isolé et seul, cherchant vainement l’amour avec de simples mots beaux comme nos chères dames. Je vous dirais que vous n’avez ni raison, ni tort. La simple richesse des vers m’est si douce et instructive que mon nantie existence se résume à la lecture et l’analyse de ces textes sacrés. Un poème est beau même dans l’obscénité, musical même dans le mutisme et noble même dans la vulgarité. Mais vous, mes incultes frères, vous ne connaissez

savoureuse et bonne Conseil falot Crimen amoris Croquis parisien Cythère Dans l'interminable ennui de la plaine Dans la grotte Dédicace Dernier espoir Donc, ce sera par un clair jour d'été Ecoutez la chanson bien douce Ecrit sur l'album de Mme N. de V. Effet de nuit En bateau En robe grise et verte avec des ruches En septembre En sourdine Es-tu brune ou blonde ? Et j'ai revu l'enfant unique : il m'a semblé Femme et chatte Green Grotesques Hier, on parlait de choses et d'autres