Douglas Kennedy

fusées seraient capables de transmettre des dégâts considérable dans un rayon de1 800 km. Les grandes métropoles, Miami, La Nouvelle-Orléans et même Washington, pourraient être rayées de la carte. Le 22 octobre 1962, dans un discours télévisé, Kennedy communique l’existence des missiles, photos à l’appui, et annonce que tout navire se présentant sur l’île sera anéantit. Les navires américains sont alors éployés pour construire un blocus naval. À la suite de son discours, il demanda l'enlèvement

à l’âge de 16 ans puis effectua des vols d’attaque en Corée, avant de devenir pilote d’essai de l’avion X-15. 2. Tout se passe en pleine Guerre Froide, les Etats-Unis sont en concurrence permanente avec l’U.R.S.S. sur tous les points. John F. Kennedy est le président en exercice. 3. 24 milliards de dollars et 400.000 personnes furent nécessaires pour réaliser ce projet. 4. Il se sentit comme « dans un train parcourant un tronçon de chemin de fer mal entretenu. Tout bringuebalait et il

Batista et instaure le socialisme à Cuba La crise des missiles de Cuba éclate le 14 octobre 1962 lorsqu’un avion espion américain survole Cuba et photographie la construction de plusieurs sites de missiles nucléaires russe. Le président John F. Kennedy, décident d’agir et consulte les chefs de plusieurs pays pour savoir s’il devait passer à l’action. Il demande alors au gouvernement canadien de mettre l’armée en alerte car l’Amérique du Nord pourrait être en danger d`une guerre nucléaire. Le premier

•Président ; John Fitzgerald Kennedy, jusqu’au 22 novembre, puis Lundon Jonhson. •Vice-Président ; Lyndon Johnson, puis aucun. •Secrétaire d’État ; Dean Rusk •Chambre des représentants ; John Boenher Évènements ; • Janvier ; -14 janvier ; George Wallace est investi gouverneur d’Alabama avec comme programme « la ségrégation pour toujours ». • Février ; -8 février ; les voyages et échanges commerciaux avec Cuba sont déclarés illégaux par l’administration Kennedy • Mars ; 16 mars ; création

l’ironie, par des codes vestimentaires qui permettent d’appuyer le discours et de le rendre, parfois, plus crédible. Le lieu choisi permet également d’accentuer le discours, de lui donner de la puissance ou pas. Par exemple, lorsque John Fitzgerald Kennedy, président des Etat-Unis, a prononcé la phrase « Ich bin ein Berliner » (= Je suis un Berlinois), il a tout fait pour que cette phrase prenne de l’importance. Tout d’abord, pour la dire, il s’est rendu directement à Berlin-Ouest depuis le balcon de

La crise de Cuba (1962) La crise de cuba à était causé principalement par Nikita Khrouchtchev, Fidel Castro, et John Fitzgerald Kennedy. Nikita Khrouchtchev président Fidel Castro meneur d'un guérilla du parti soviétique. Avant de s’allier à l'URSS. John Kennedy président des États-Unis

Arts) 1910 : perfectionne sa technique à l’Art Students League of New-York (George Bridgeman) 1935 : illustre les romans de Mark Twain, Tom Sawyer et Huckleberry Finn Vers 1950 : portraits de Eisenhower (34ème président des E-U), John Fitzgerald Kennedy (35ème président des E-U) et de Gamal Abdel Nasser (ancien président de l’Egypte) et son triple autoportrait. Fin 1960 : travaille pour Look et illustre des thèmes politiques (le + connu : « The problem we all live with ») Hyperréalisme (1950-1960)

élémentaires pour les noirs américains (afros-américains). Il prononce un discours célèbre le 28 août 1963 devant le Lincoln Memorial à Washington durant la marche pour l’emploi et la liberté :« I have a dream » (J’ai un rêve). Il est soutenu par John F. Kennedy dans la lutte contre la discrimination raciale.Martin Luther King devient le plus jeune lauréat du prix Nobel de la paix en 1964. La plupart de ces droits ont été promus par la loi américaine « Civil Rights Act » et le « Voting Rights Act ». Martin

invitées et surtout par le comportement d’une en particulier, qui osait lui demander : « Oh Jolie ! Si je ne savais pas à quel point tu tenais à ce tableau, je te l’aurais acheté à une fortune ! » (Voir tableau de Jamie Wyeth ; John F. Kennedy, 1967)

se mentant les uns aux autres. Ils se classent selon la méthode : guet-apens : on attend le passage de la cible pour déclencher une fusillade afin de l'éliminer, comme dans le cas du Général de Gaulle au Petit-Clamart et du président John F. Kennedy à Dallas. attentat à la bombe : une charge explosive est placée dans l'intention de détruire des biens ou de tuer des personnes ou, plus rarement, simplement pour démontrer la capacité de nuisance de ceux qui l'ont posée. La charge peut être dissimulée