Doxa

éveillés. Il est difficile de dire ce qu’elle est, elle est impalpable, il n’y a aucune représentat° matérielle, on ne peut pas la localiser ds le cerveau. Pourtant elle est à l’origine de ttes nos product°, nos pensées. • Paradoxal : para = contre ; doxa = opinion, va contre l’opinion que l’on a d’une réalité • Opinion : idée qui n’a pas été examinée, peu rigoureuse, spontanée, qui peut donner naissance aux préjugés Elle est une connaissance qui accompagne nos impress°. C’est elle qui ns permet

jugement purs et solides .Il serait alors dans l'épistémé ( savoir ), c'est à dire penser pas soi, être autonome. Ce concept serait en opposition avec l'enfant qui serait gouverné par ses désirs, donc en absence de savoir, et alors dans le coté de la doxa (opinion). Descartes nous dit alors que l'esprit critique ne va pas de soi, il faut avoir un certain niveau de raison, de savoir pour atteindre cet esprit critique. De plus d'après Bachelard dans la "Philosophie du non" il faudrait entrer en guerre

simplement la raison, une manière de construire la sagesse (p. 39), l’art de construire un dialogue qui permet de convaincre. Rhétorique : C’est juste quand une seule personne parle. En grec : tekhnê, c’est à la fois une technique et un art. Doxa : Ce sont tous les préjugés ou autre que les gens ont. Ce qu’ils pensent savoir, alors qu’ils ignorent. L’essentiel d’un savoir : C’est que qui se trouve « derrière » ce savoir, le but de ce savoir. Les valeurs sont du savoir-être humain, c’est

suite de Socrate qui affirmait l'existence d'une science objective des valeurs et des normes morales, développe une théorie de la connaissance explicitée dans la République et le Théétète. Platon fait en effet la distinction entre la simple opinion (ou doxa, empirique et sans fondement) et le véritable savoir philosophique, qui ne peut être acquis que par un long parcours d'apprentissage des mathématiques, de la dialectique et de ce qu'on appelle la théorie des Idées[31]. Épicure, quant à lui, développe

les avoir habillés en Ulysse, et leurs manière authentique de réagir à leur réalité par eux-mêmes lise le mythe, mieux même, ils le vivent. Ils essayent bien de se coller le masque d’Ulysse, mais le résultat de cette expérience n’est pas ce que la doxa semble suggérer. En fait, nous soutenons que l’aboutissement de la re-appropriation du mythe du Grand Retour dans le roman de Kundera est paradoxal. La résolution du paradoxe cache la leçon sur la lecture du monde. Notre but consiste à la rendre explicite

comporter deux ou trois parties; les relations... Disert Filo L’OPINION A T-ELLE NECESSAIREMENT TORT ? »       La philosophie, en quête de vérité, dès ses débuts, s’est appliquée à rejeter ce qui se présente sous l’apparence du vrai : l’opinion, la « doxa » en grec.   L’opinion vient aussi du latin « opinio » et désigne la pensée primitive la plus brute. L’opinion a diverses acceptions. Ce peut être une pensée immédiate, soumise aux apparences, aux pressions de la foule comme à l’influence des beaux

Première idée donc: le raisonnement peut montrer qu'une croyance n'est qu'une croyance, et non un savoir (comme le fait Kant par exemple), mais ce n'est pas pour autant "en venir à bout". Envisageons tout de même le cas où la croyance s'inscrit dans la doxa: c'est un pur effet du préjugé et de la crédulité. Elle est alors conformiste, liée à un assoupissement de l'esprit critique, à l'ascendant de l'autre qui peut "m'en faire accroire" par son autorité, son charisme, son habileté. Le sophiste cherche

dialogues, comme la République, le Phèdre ou le Sophiste, la distinction entre l'intelligible et le sensible. Les Idées et le devenir établissent deux ordres de réalités qui se dévoilent à deux sortes de connaissances : la science (épistémè) et l'opinion (doxa). Déçue par l'instabilité des choses extérieures et l'incertitude de l'opinion, l'âme (psyché), qui a faim de vérité, se détourne du monde des choses sensibles et découvre celui des Idées (idea, eïdos) comme la patrie perdue dont elle est issue. Toute

paragraphe qui les justifie .A cette fin , il y fait un raisonnement par analogie entre la gouvernance d'un état et celle de la raison , organisé autour du connecteur logique "ainsi".L'argument présenté dans les trois premières lignes appartient plus à la doxa qu'à un fait avéré(NB: on sait qu'il fait référence à Sparte). Pour rendre son raisonnement plus convaincant , il utilise une hyperbole avec "multitude" ligne 1, une antithèse loi/vice ligne 1, renforcé plus loin par "grand nombre de préceptes" opposé

dans le Vote (donc l’opinion). En effet, en politique (et quand tout le monde peut s’exprimer), il n’existe aucune vérité : aussi le débat est fondamental pour avancer. • PLATON critique la démocratie dans le sens où elle est le pouvoir de la doxa (opinion) et non de la raison. ( Le régime idéal est selon lui un régime où « Les philosophes sont rois et les rois sont philosophes ». • La démocratie est également critiquée pour son immobilisme (condamnée au débat !) • CHURCHILL :