Dracula Stoker Sujets

rend difficile la définition du mot en général. Mais l’amour renvoie la plupart du temps à un profond sentiment de tendresse envers une personne. L’objet de l’amour peut être une personne, le sentiment de l’amour lui-même ou soi-même en tant que sujet de cet amour. L’amour est un terme abordé avec profondeur en philosophie. D’ailleurs, amour et philosophie sont étroitement liés comme l’écrivait Platon dans « Le Banquet ». C’est pourquoi nous nous interrogeons sur la nature même de l’amour et

Le roman et ses personnages ont-ils pour seul but de divertir le lecteur ? Analyse du sujet Mots clefs du sujet : seul but / divertir Formuler la problématique : il s'agira de voir si derrière le divertissement procuré par le roman, celui-ci n'a-t-il pas d'autres fonctions ? Le divertissement : lire un livre comme aller au cinéma, plaisir de lire des histoires inventées ou réelles avec des péripéties...permet de vivre par procuration de nouvelles vies...permet de s'évader / voyager intérieurement/

Seconde Guerre Mondiale, Seven Pillars of Wisdom de T.E. Lawrence ou bien Good-Bye to All That de R. Graves.  Evoquons enfin le journal intime, forme sous laquelle certaines œuvres majeures de la littérature anglophone sont rédigées, comme le Dracula de B. Stoker ou le célèbre Bridget Jones's Diary de H. Fielding. Le journal implique une relation particulière entre l’auteur et le lecteur. Il prétend ne pas avoir de destinataire, ne pas avoir vocation à être publié ; il recueille les impressions et les

l'éducation nationale, en tous cas en France. Tout amateur de cette littérature a connu la surprise de se faire gronder gentiment dans un dîner en ville par un vis-à-vis enseignant parce qu'il parlait naïvement de fantastique au sujet de Dracula ou de La Chute de la maison Usher. Dracula, officiellement, c'est du « merveilleux » et La Chute de la maison Usher, c'est du « fantastique-étrange ». Malheureusement, les fameuses conceptions todoroviennes sont un tissu d'erreurs et de contradictions.

deuxième interrogation, « En quoi l’histoire du personnage étudié, ses aventures, son évolution aident-elles le lecteur à se construire ? » met en évidence le rôle joué par la littérature comme médiation avec le monde réel. Quels que soient les sujets abordés, la littérature et les personnages qu’elle met en scène s’adresse au lecteur avec les codes de la vraisemblance mais non de la vérité. À la fois filtres et passeurs, les personnages littéraires, leurs aventures et leurs émotions permettent

faire peur aux gens et beaucoup d'articles vont paraître. Les pays touchés doivent faire des enquêtes complètes mais des phénomènes resteront inexplicables. L'existence du vampirisme va être officialisée et dans les salons de l'époque il devient un sujet à la mode. Certains auteurs très connus comme Voltaire et Rousseau en parlent : « (...) Ces vampires étaient des morts qui sortaient la nuit de leurs cimetières pour venir sucer le sang des vivants, soit à la gorge ou

tenté de les gommer en les rendent moins intéressants. ( James Joyce , Finnegans Wake (nouveau roman) Types de personnages A. Le personnage principale ( suit l’action au travers de ses yeux. Souvent narrateur. B. Le protagoniste (le sujet) ( meneur de l’action C. Le héros ( combinaison de A + B D. L’antagoniste (ou l’opposant) ( personnage opposé à B E. L’acolyte (ou adjuvant) ( personnage qui soutiens B F. Personnage destinataire ( bénéficie de l’action G. Personnage destinateur

et rien à priori dans son allure ne dénote de son noir intérêt. Pourtant... "Si je me suis penché sur ce sujet, c'est forcément que j'avais de l'attirance pour ce côté sombre. C'est une manière de me connaître un peu moi-même", lance le jeune homme. Mais la frontière est bien floue entre la simple attirance et l'adhésion complète à la philosophie morbide. Benjamin confie que cerner son sujet de maîtrise a été un vrai casse-tête. Acheter un corbillard, s'habiller de noir de la tête aux pieds, dormir

d'horreur, ou film d'épouvante, est un genre cinématographique dont l'objectif est de créer un sentiment de peur et d'angoisse chez le spectateur. Parmi les films d'horreur les plus connus, il est possible de citer : Frankenstein de James Whale, Dracula de Tod Browning, L'Exorciste de William Friedkin, Halloween de John Carpenter, Vendredi 13 de Sean S. Cunningham, La Colline a des Yeux, Les Griffes de la nuit, Scream de Wes Craven, la saga Resident Evil de Paul W.S. Anderson, la Saga des zombies

Helsing, du roman Dracula de Bram Stoker, la figure de la science mise au service du bien de l’humanité contre la science pratiquée pour assouvir les désirs maléfiques de l’individu, représentée par Dracula. L’opposition de ces deux personnages allégoriques offre donc une réflexion sur la fonction de la science pour l’homme. Il est intéressant de noter que la nature des deux personnages reflète de même cette lutte entre le bien et le mal : contrairement à son adversaire, Dracula est un être déjà