Drapeau blanc

L’artiste : Né en 1830 aux Antilles , Pissaro vient en France étudier . Il découvre l’exposition universelle de 1855 mais il préfère fréquenter les ateliers des peintres officiels ( C.Monet). Il a peint des paysages ruraux puis des paysages urbains : une série de tableaux représentant les rues de Paris et d’autres villes. Il a réalisé 11 tableaux de cette œuvre. C’est un des maîtres de l’impressionnisme. Il a vécu à Eragny et Pontoise. Il meurt en 1903. Thème de l’œuvre : Paris Description de l’œuvre :

les appelait « les poilus » ? Mais le 11 novembre 1918, les chefs ont décidés d’arrêter de faire la guerre, et ils signèrent un traité de paix : c’est l’armistice ! Les cloches sonnent dans toutes les villes pour dire que la guerre est finie. Le drapeau de la France est suspendu sur toutes les fenêtres et les gens chantent car ils sont contents d’être finalement libres! Malheureusement beaucoup de personnes (8millions dans le monde dont 1 million 500 mille français) sont mortes durant cette guerre

que pour lui. Dans ces deux œuvres, on voit une ou plusieurs femmes tondues, défilant dans les rues sous les railleries de la foule. Aucune personne ne prend leur défense, tout le monde est contre elles. On voit des symboles de la Liberté comme le drapeau français ce qui nous prouve qu'elles représentent la même période. 6 – CONCLUSION Grâce à son court métrage, « eut-elle été criminelle ? », Jean Gabriel Périot s’engage dans la dénonciation de ces crimes humiliants qu’ont été les tontes des femmes

Il porte un brassard avec la croix gammée. Il porte sur la poche de sa chemise une croix de fer, une croix de guerre car Hitler a été soldat pendant la première guerre mondiale et il a été blessé et décoré. Il est représenté portant fièrement le drapeau de l’Allemagne nazie, on a l’impression qu’il avance et va sortir du cadre, il semble avoir un but et s’y diriger. Derrière lui est représentée en plus petit une foule de personnes, des soldats portant des drapeaux nazis avec l’insigne ou levant

d'esclaves. Une de mes élèves était même convaincue que tous les Noirs étaient des descendants d'esclaves et que tous les Blancs avaient, à un moment où à un autre de leur histoire, possédé des esclaves noirs ! Toute tentative d'objection de ma part vis-à-vis de ces allégations fut accueillie par des remarques du type "vous ne voulez pas reconnaître, vous avez la rage parce que vous êtes Blanc !", propos repris par la majorité de la classe, y compris, curieusement, par les élèves maghrébins. Il est bien

Cannibale de Didier Daeninckx Personnages : 1er chap = Caroz → Homme blanc âgé de 75 ans qui a fait de la prison pour avoir défendu Gocéné, c'est aussi un ex ouvrier parisien. Gocéné → Héro de l'histoire. Homme noir âgé de 75 ans qui est né à Canala. Kali → Jeune kanak rebelle. Wathiock → Jeune kanak rebelle. 2eme chap = Chef Boula Joseph Guyon → Adjoint du gouverneur français. Bazit → Kanak albinos de Wé, mort de la malaria pendant le voyage de la Nouvelle-Calédonie à la France

autorisée était la religion chrétienne. Le comte de Gobineau a répertorié dans des ouvrages toutes les races humaines en les classant que ce soit physiquement ou psychologiquement. Il y avait trois grandes catégories : les Hommes jaunes, blancs et noirs, les Hommes blancs étaient bien sur en haut de l’échelle. Il admirait plus particulièrement le peuple juifs qu’il considérait comme habile, libre, fort et intelligent mettant en avant le fait qu’ils vivaient sur une terre fertile et que bon nombre d’entre

Elle est classée à l'extrême droite sur l'échiquier politique américain, mais n'a cependant jamais été un parti politique, mais plutôt une organisation de défense des intérêts et des préjugés des éléments traditionalistes et xénophobes de certains blancs protestants, les « White Anglo-Saxon Protestant (WASP) en tant que communauté « ethnico-religieuse ». Ce sont six jeunes officiers sudistes (J. Calvin Jones, Frank O. McCord, Richard R. Reed, John B. Kennedy, John C. Lester, James R. Crowe) qui sont

Volet 1 : Tableau-synthèse Veuillez remplir les espaces prévus à cet effet. |« Le dormeur du val », de Rimbaud | |Tableau-synthèse

L'Esclavage : L'esclavage au Brésil, de Debret. Description de l'image : Sur cette image, au premier plan, on peut voir un homme blanc en battant à coup de fourche/un fouet un autre homme, un noir. On peut voir que l'homme noir à le main attachées et un bâton coincé entre le pli de ses genoux se qui ne lui permet pas de se défendre ou même de s'enfuir. Il n'a pas d'autres choix que de se recroqueviller sur lui même. Si on regarde de plus près, l'homme noir à le visage crispé, il souffre apparemment