Drapeau européen

d'octobre 1917, le chef des Bolcheviks. Casquette à la main, il est imposant, il surplombe le peuple en arme. Il va de l'avant et indique la direction à suivre (et le sens de la lecture de l'affiche), celle de l'avenir et du drapeau, dont il fut le fondateur. Sur le drapeau rouge de l'URSS crée en 1922, on retrouve les symboles des communistes: la faucille (des paysans kolkhoziens) et le marteau (des ouvriers), qui dominent un globe (qui rappelle la révolution communiste, qui se veut universelle)

constitutionelle, est favorable au peuple populaire. Ils vont donc s'insurger contre les patriotes et contre la révolution. Ils vont soutenir le Roi. D'ailleurs suite à une rumeur de restauration de la monarchie ne 1792, ils vont brûler le drapeau tricolore et hisser un drapeau blanc, couleur du Roi. Mais les riches arisctocrates vont être obligé de donner des droits aux libres de couleurs. Ce qui est dans leur propres interêt puisqu'il font cela pour avoir des soldats pour combattre l'Assemblée Legislative

popularité, ainsi que ses discours à la Chambre manifestent une certaine inflexion dans sa pensée politique. La Révolution de 1848[modifier | modifier le code] Félix Philippoteaux, Épisode de la Révolution de 1848 : Lamartine repoussant le drapeau rouge à l’Hôtel de Ville, le 25 février 1848, v. 1848. Huile sur toile, 63 × 27,5 cm. Musée Carnavalet, Paris. Alphonse de Lamartine par Théodore Chassériau En 1848, à l'occasion de la chute de Louis-Philippe et de la proclamation de la Seconde

soldat lançant une grenade. Le sportif est donc comparé à un soldat parce qu'ils se battent pour la victoire et le soldat se bat aussi pour sa vie. L'image est construite de façon à ce que le soldat soit l'ombre du sportif. Et en fond, il y a le drapeau de l'Italie avec le logo des Jeux Olympiques en haut à gauche. Le sport ravi tout le monde, nous nous battons pour une bonne cause lors d'un tournoi sportif. La guerre pourrait être montrée, à travers cette affiche, comme le sport : quelque soit

intéressons maintenant aux symboles liées à l’histoire. Les symboles de la république sont des représentations concrètes de la notion de république. L’emblème national est le drapeau tricolore bleu blanc rouge. Il fut crée en 1794. Le bleu et le rouge représentent la ville de Paris. Le blanc lui représente la monarchie. Avant d’être un drapeau, ces couleurs étaient sur la cocarde du peuple parisien. L’hymne national est la Marseillaise. En 1792, le roi d’Autriche déclare la guerre à la France révolutionnaire

il finit par être véritablement incarcéré à Sainte-Pélagie après la caricature des « Blanchisseurs » représentant d’Argout (ministre et gouverneur de la Banque de France), Gisquet (banquier et ministre) et le maréchal de Saxe en train de laver le drapeau tricolore pour en faire disparaître le rouge (légende du dessin : le bleu s’en va, mais ce diable de rouge tient comme du sang.) Honoré Daumier est un observateur à la mémoire visuelle particulièrement développée Sa mémoire visuelle est réputée

la France d’hier : • La première illustre celle du Front Populaire (celle de gauche). Le drapeau rouge et l’utilisation de cette couleur représentent le communisme. L’étoile de David représente les Juifs et les trois points à l’intérieur de l’étoile symbolisent la franc-maçonnerie. • La deuxième illustre la France d’aujourd’hui et de demain (celle de la Révolution Nationale voulue par Pétain). Le drapeau français et les couleurs bleu, blanc, rouge, rappellent que la France va mieux grâce au maréchal

son envol. « Le fleurdelisé à la croix d’argent signifie déjà le rôle qu’a jouer la religion catholique». Pourquoi ne pas garder cet emblème comme patrimoine plutôt que le crucifix? Ce même fleurdelisé nous représente déjà comme symbole sur notre drapeau depuis 1948, pourquoi ne pas continuer à lui attribuer cette fonction qu’il détient déjà? Près de quarante-quatre ans plus tard, la question revient encore sur le sujet. Pourquoi ne sommes-nous pas capable de prendre une décision en fonction

Mistress Branican (1891) Le Château des Carpathes (1892) Claudius Bombarnac (1892) P'tit-Bonhomme (1893), a aussi été republié sous le titre Fils d’Irlande Mirifiques Aventures de maître Antifer (1894) L'Île à hélice (1895) Face au drapeau (1896) Clovis Dardentor (1896) Le Sphinx des glaces (1897) Le Superbe Orénoque (1898) Le Volcan d'or (1899) Le Testament d'un excentrique (1899) Seconde patrie (1900) Le Village aérien (1901), d’abord publié sous le titre La Grande Forêt

 Bretagne ou Breizh Le nom « Bretagne » vient du latin Brittania (à l'époque plus rarement écrit Britannia) qui signifie littéralement « le pays des Bretons ». Le drapeau : Le drapeau de la Bretagne, dans sa version moderne (1923) est le Gwenn ha Du (en français : « Blanc et Noir »). Le quart supérieur gauche reprend les armoiries de Bretagne : un semé d'hermine.. Les bandes blanches et noires, selon l'explication la plus populaire, représentent les pays ou 9 évêchés de Bretagne :