Droit de veto au Conseil de sécurité des Nations unies

les membres de l’Assemblée appelée « Conseil du peuple » (Majlis al--‐Sha’ab) Qui sont élus pour quatre ans n’ont aucune autorité réelle. Le président, élu pour sept ans, est aussi le chef du FNP et le secrétaire--‐général du parti Baas qui détient tous Les postes nécessaires pour conduire la politique de l’Etat et la vie de la société. Dans la réalité, personne ne peut s’opposer légalement au gouvernement et à son président. L’armée et les forces de sécurité sont la clef de voûte du régime. L’appareil

1945) réunit 51 Etats qui adoptent la Charte des Nations Unies. • L’ONU fonctionne à partir du 24 octobre 1945. 2. Le fonctionnement de l’ONU L’ONU se compose de 6 institutions principales. L’Assemblée générale a le pouvoir executif, permanent et restreint (51 membres fondateurs, 1 Etat = 1 voix) • Elle élit le Secrétariat Général (pour 5ans) • Le Conseil de Sécurité (5 membres permanents possédant droit de veto = USA, URSS, France, RU, Chine ainsi que 6 membres

Droit international public c’est un ensemble de normes destinées à régir la société internationale. La société internationale différente de la société interne et présente des particularités par rapport au droit interne. Particularités du droit international par rapport au droit interne ; comparaison ente la société interne et la société internationale. • Différence 1 : dans la composition de chaque société. La société interne est composée d’individus, qui sont égaux. C’est une égalité en droit

organisation des Nations Unies est adopté par 51 Etats vainqueurs de la IIe Guerre mondiale en juin 1945. la Charte de l’ONU indique son objectif principal : maintenir la paix mondiale. L’ONU comprend trois grandes institutions : l’Assemblée générale, le Conseil de sécurité et le Secrétariat général. Au conseil, cinq Etats siègent en permanence et dispose du droit de veto ; France, Etats-Unis, URSS, Royaume- Uni, Chine. En 1948 est adoptée la Déclaration universelle des droits de l’homme. Autre

POUR LE RESPECT DES DROITS DE L’HOMME SANS DROIT D’INGÉRENCE La question du droit d’ingérence est difficile, car il s’agit d’un sujet sensible où la passion le dispute à la controverse. Se trouvent mêlées à ce concept, des considérations d’ordre politique, stratégique, économique, éthique, morale et juridique. L’enchevêtrement est tel que même sur le plan sémantique la notion d’ingérence se confond avec l’intervention. Selon le Petit Robert, s’ingérer : c’est s’introduire indûment, sans en être requis

Etats bien sûr mais aussi les multinationales, les mafias etc... C'est pour cela que cet espace international est plutôt anarchique. C'est à dire qu'il n'existe pas d'autorité supérieure qui peut imposer aux Etats un comportement. L'ONU ou le conseil de sécurité n'est pas un gouvernement international. L'étude des relations internationales concerne les rapports pacifiques, ou belliqueux entre Etats, le rôle des OI, l'influence des forces transnationales, et de l'ensemble des échanges, des activités

plaide pour une « véritable société internationale, où les grandes puissances n’auront pas de droits supérieurs aux petites et aux moyennes nations (…) où la guerre (…) ne dépendra plus des appétits et des doctrines » (l.24-27). Camus fait ici allusion à la création de l’Organisation des Nations Unies, à San Francisco, quelques semaines auparavant (juin 1945). Cette société est l’héritière de la Société des Nations, née en 1919 de la volonté d’éviter la guerre par une négociation permanente entre les Etats

1960 : Khrouchtchev va aux USA et, y devient populaire * Installation du téléphone rouge entre la Maison Blanche et le Kremlin * Amélioration des relations * 1973 : Stabilisation en Europe * Conférence à Helsinki sur la sécurité et la coopération en Europe * Reconnaissance des frontières issues de la Seconde Guerre Mondiale * 1962 : Crise de Cuba (la plus grande depuis 1945) * Découverte d’un navire espion soviétique (on y trouva des rampes de

rapports qui existent entre les abstractions que sont les Etats. Nous allons donc étudier les relations de force entre les Etats mais en aucun cas étudier les individus qui constituent ces Etats ; le rôle du droit international privé est d’analyser les relations interétatique alors qu’il appartient au droit constitutionnel d’analyser les rapports entre le citoyen et l’Etat (ou les Etats). TITRE Préliminaire : Introduction générale Chapitre 1 : Brève présentation de l’histoire des relations internationales

plaide pour une « véritable société internationale, où les grandes puissances n’auront pas de droits supérieurs aux petites et aux moyennes nations (…) où la guerre (…) ne dépendra plus des appétits et des doctrines » (l.24-27). Camus fait ici allusion à la création de l’Organisation des Nations Unies, à San Francisco, quelques semaines auparavant (juin 1945). Cette société est l’héritière de la Société des Nations, née en 1919 de la volonté d’éviter la guerre par une négociation permanente entre les Etats