Droit Pénal Des Affaires Au Maroc Recel

Hassan CHAMI, Président de la Confédération Générale des Entreprises du Maroc......................................................................................... 12 Discours de M. Abdelaziz AL MECHATT, Président de l'Ordre des Experts Comptables ...................................................... 15 Discours de M. Abdellah ZOUHIR, Président de la Fédération des chambres de Commerce, d'Industrie et Services du Maroc ....................................................... 20 Discours de M

également des commentaires sur le projet d’articles, sera reproduit dans l’Annuaire de la Commission du droit international, 2001, vol. II(2) avec une correction. Copyright © Nations Unies 2005 - 61 - LA RESPONSABILITÉ DE L’ÉTAT POUR FAIT INTERNATIONALEMENT ILLICITE 1) Les présents articles ont pour objet d’énoncer par codification et développement progressif les règles fondamentales du droit international relatives à la responsabilité de l’État pour fait internationalement illicite, en s’attachant

........................................................... 20 II.1.1.3. Promotion des exportations .................................................................................................. 25 II.1.2. Amélioration de l’environnement des affaires ............................................................................. 27 II.1.2.1. Renforcement du cadre institutionnel ................................................................................... 27 II.1.2.2. Mise en œuvre du programme

portez vous bien. Revue de la Trésorerie Générale du Royaume 5 AU CŒUR DES METIERS Présentation du projet de refonte du règlement général de comptabilité publique Introduction M. Rachid AMGHAR M. Abdelkrim GUIRI Chef de la division des affaires juridiques Chef de la Division du Suivi de la Responsabilité des Comptables Mis en place il y a plus de trente sept ans, le règlement général de comptabilité publique répond de moins en moins aux exigences issues de l’évolution de l’environnement

    Price Waterhouse SARL s’est définitivement rétablie dans son droit d’utiliser le nom  PriceWaterhouseCoopers ainsi que le logo y afférent. L’arrêt de la Cour suprême, datant du  30 avril 2008, a mis fin au contentieux qui opposait PWC international à son ancien  partenaire au Maroc.         La plus haute juridiction du pays confirme ainsi la décision de la Cour d’appel de  Casablanca, d’octobre 2007, qui avait reconnu au cabinet marocain le droit de porter la  marque PriceWaterhouseCoopers et d’arborer le logo du réseau malgré le divorce prononcé 

Les personnes La personne est l’être qui joui de la personnalité juridique. Les personnes sont les sujets de droit, sont les titulaires de droits subjectifs. On peut dire que la personne est le titulaire actif et passif des droits subjectifs. Si on définie la personne comme l’être qui jouie de la personnalité juridique il faut définir celle-ci. C’est l’aptitude à être sujet de droit et assujettit à des obligations. Le thème de personne n’a pas toujours eu la même signification. En effet sous

L’IMPLANTATION D’INTERNET AU MAROC : ENJEUX & PERSPECTIVES « Il faut savoir que le recours aux technologies pas un luxe du les plus les ce avancées pays sont les eux n’est plus qui pour monde, pauvres doivent avancer à pas de géant ce qui serait impossible par le seul biais des technologies « appropriées » ou « adaptées ». » El Mehdi EL MANJRA « les une Exploiter méthodes- les technologies d’Internet, de –et devient condition absent compétitivité. revient

Section 1 : Le rôle de l’Union Européenne dans cette lutte 39 1.1 La lutte à l’échelle de l’Union Européenne 39 1.2 Les différentes Directives de l’Union Européenne 41 1.3 Les évolutions attendues 43 Section 2 : La transposition dans le droit français 43 2.1 Le rappel des textes applicables avant 2009 44 2.2 L’évolution liée aux textes adoptés en 2009 45 2.3 Les peines encourues 47 Section 3 : L’évolution du rôle des commissaires aux comptes 48 3.1 De la NEP 240 à la NEP

2 : Il est statué en matière commerciale conformément aux lois, coutumes et usages du commerce, ou au droit civil dans la mesure où il ne contredit pas les principes fondamentaux du droit commercial. Article 3 : Les coutumes et usages spéciaux et locaux priment les coutumes et usages généraux. Article 4 : Lorsque l'acte est commercial pour un contractant et civil pour l'autre, les règles du droit commercial s'appliquent à la partie pour qui l'acte est commercial; elles ne peuvent être opposées à la

RAPPORTEURS Amina BALAFREJ Mohamed AYAD RAPPORT THÉMATIQUE Cinquantenaire de l’Indépendance du Royaume du Maroc Sommaire Introduction 1. RAPPEL DU CONTENU ET DES TERMES DE RÉFÉRENCES RELATIFS AU THÈME 2. LA MÉTHODE ET LA DÉMARCHE RETENUES 7 7 8 II- Les concepts 1. L’EXCLUSION 2. LA PAUVRETÉ 3. DE LA PAUVRETÉ À L'EXCLUSION 9 9 9 11 III- L’état des lieux au Maroc de 1956 à 2004 1. EVOLUTION DE LA SOCIÉTÉ MAROCAINE 1.1. C ONTEXTE GÉNÉRAL DEPUIS L ' INDÉPENDANCE 1.2. D E LA COLLECTIVITÉ