Drôle de drame

que je trouve parfaite, elle associe si bien la violence absolue, la tragédie humaine à la fantaisie, au rire, au loufoque. J'ai le sentiment que ni l'auteur, ni les personnages ne se prennent au sérieux, il y a une forme de distance par rapport au drame de la vie que je trouve absolument réjouissante. Ce n'est pas pour rien qu'on parle de ce regard d'aigle de Beckett. Il sait qu'à la base de toute relation humaine, il y a un rapport de force, un dominant et un dominé. C'est ce que raconte Fin de partie

psychédéliques, permettent de faire entrer les acteurs à la manière de prestidigitateurs. Pendant quelques instants, l'Ouvrier du Drame pose le cadre rouge qui représentait une petite maison sur son coin et le tient dans cette position : cela m'évoquait le cerceau enflammé que tient le dresseur de fauves dans lequel sautent les lions au cirque. D'ailleurs, cet Ouvrier du Drame a un rôle très important : ses allées et venues pour donner aux acteurs des accessoires ou pour faire et défaire le décor rythment

humoristique délivrait dans Gargantua son utopie de l'éducation. Il a en quelque sorte était appuyé bien plus tard par Jacques Lassalle, metteur en scène contemporain français qui disait que ce qui était plus drôle était le plus profond. En effet, sa phrase invite au questionnement; ce qui est drôle n'est-il pas sensé faire rire pour divertir? La comique servirait-il donc à exprimer quelque chose d'autre que l'amusement? Le comique pourrait-il même faire réfléchir? Si c'est le cas alors nous pouvons nous

fait pour mon chat, et il avait sans doute raison. Trop de sensiblerie ne mène pas à grand-chose, et pour les chiens, c’est sans doute vrai que les bruns sont plus résistants. On n’avait plus grand-chose à se dire, on s’était quittés mais avec une drôle d’impression. Comme si on ne s’était pas tout dit. Pas trop à l’aise. Quelque temps après, c’est moi qui avais appris à Charlie que le Quotidien de la ville ne paraîtrait plus. Il en était resté sur le cul : le journal qu’il ouvrait tous les matins

ancien admirateur, un homme riche pendant son absence en raison de pressions exercées sur elle par sa famille. Tit-Coq est laissé non seulement célibataire, mais en colère et blessé plus de ce qui est arrivé. Le genre de cette pièce de théâtre est un drame réaliste, parce que même si elle contient des affaires sérieuses, il manque une tragédie, mais il comprend également le dialogue comique. Le Tit-Coq contient plusieurs types de dialogue. Cependant, je analyserai acte 1, scène 4. La scène commence

fait pour mon chat, et il avait sans doute raison. Trop de sensiblerie ne mène pas à grand-chose, et pour les chiens, c'est sans doute vrai que les bruns sont plus résistants. On n'avait plus grand-chose à se dire, on s'était quittés mais avec une drôle d'impression. Comme si on ne s'était pas tout dit. Pas trop à l'aise. Quelque temps après, c'est moi qui avais appris à Charlie que le Quotidien de la ville ne paraîtrait plus. Il en était resté sur le cul : le journal qu'il ouvrait tous les matins

tient la jeune femme est d'abord un discours d'autojustification. Elle se cherche en effet toutes sortes de raisons, bonnes ou mauvaises, pour suivre son désir de rester à L’Assommoir : (l.4-5) "Ils iraient au Cirque une autre fois ; ce n'était pas si drôle, des faiseurs de tours qui galopaient sur des chevaux." Elle se persuade en effet que l'évasion par le Cirque n'en est pas une, et que le fait de voir galoper des chevaux semble plutôt bien monotone. De plus, elle se conforte pas un autre argument

l’introduction de la lecture analytique) - Jacques Prévert (1900-1977) = poète français, né avec le XXème siècle mais également parolier (cf. chanson « Les feuilles mortes » interprétée par Yves Montand) + dialoguiste et scénariste pour des films dont Drôle de drame (1937),  Quai des brumes (1938), Les visiteurs du soir (1942), Les enfants du paradis (1945). - Paroles (1946) = son 1er recueil de poèmes qui le fait connaître d’emblée du public et révèle une personnalité à la fois discrète et entière, formée

tragi-comédie de Molière a partir de son interprétation personnel ou il incarne lui même le rôle du libertin Dom Juan. Tel est effectivement le rôle du metteur en scène. Il traite a sa manière le mythe de Dom Juan dans une pièce qui va de la farce au drame. A partir d'une même pièce on peut assister a différente conception du texte. De ce fait, en voyant la représentation de la pièce de Mesguich on peut se demander en quoi le spectateur voit cette mise en scene comme une farce tragique ? La farce qui

Les temps modernes, -réalisateur : Charles Chaplin -scénariste: Charles Chaplin -producteur: Charles Chaplin production -date de sortie : 1936 -lieu de réalisation: Etats Unis -nature: film en noir et blanc, muet -genre: comédie, drame, romance -Acteurs principaux: Charlie Chaplin, Paulette Goddard Description de l’œuvre : -Les temps modernes est une comédie dramatique en noir et blanc. Le film a été écrit, réalisé, mis en musique et produit par Charlie Chaplin chez « United