Drôle de réveil !

sa semaine de travail, et de l’arrêter le week-end, pour faire de la musique. Il y avait en quelque sorte deux Ray : celui avec haldol et celui sans haldol. Tout comme pour Miguel O. le paradoxe est important : la maladie était nécessaire pour réveiller l’imagination et permettre l'épanouissement personnel. CONCLUSION Au-delà du problème de la définition de la "santé" ou de la "normalité", ces trois cas amènent à s'interroger : est-ce que la maladie peut être plus agréable à vivre que la

revendique le rejet des conventions classiques du théâtre comme la règle des trois unités. Samuel Beckett, grand auteur irlandais, fait partie de ce mouvement dramatique à part entière et, il ne cherche pas à donner l'illusion de la vraie vie mais de réveiller le spectateur et le faire agir. Il crée Oh les beaux en 1961 dans laquelle il partage ses interrogation sur la question essentielle de la condition humaine. Pour cela, il met en scène deux personnages sombrant dans une profonde folie et surtout dans

c'est ça, coulante, belle, gonflée, oh putain ce qu'elle est belle on se dit, alléchante, cette fille est alléchante de partout, de la pointe à la plante, aïe, aïe, aïe, on se dit, pas vrai? C'est pas vrai. C'est le châssis ça, une carcasse, un drôle de châssis, je sais pas, je sais pas. Parfois quand la nuit se fait plus longue que d'habitude et que je suis là comme une conne à m'engouffrer des bouts de pain avec du beurre, du beurre de cacao ou de cacahuète, à tout vider de partout, les frigos

c'est-à-dire le comique de situation, le comique de langage et le comique de gestes. Dans deux des trois textes du Corpus, le comique de situation est présent : dans L'affaire de le rue Lourcine il s'agit de la position incongrue de Lenglumé qui se réveille après une nuit agitée en effet les souvenirs lui revienne dans le désordre avec par exemple  : « Par exemple, mes idées s'embrouillent complètement à partir de la salade ! », ou bien « Était-ce bien l'Odéon ?... Impossible de me rappeler ! » qui

je te réveil ! Il est 4 heures du matin ! Déjà ! Et alors ! Pour moi on est en début de soirée, quand je suis de permanence de nuit ! Comment ça je n’ai pas travaillé cette nuit ? Ça te regarde ? Depuis quand tu m’interrogatoire, tu veux postuler chez nous ? Là comme ça en pleine nuit, tu m’donnes des cours d’orthograves ? Je te rappelle que c’est moi qui ai réussi le concours pour rentrer dans la police ! « 3 heures pour écrire mon nom dans la marge » ! Ah, ah Oui c’est ça, très drôle ! J’ai

la destruction de Voldemort... Mais pourtant, célibataire... Ca vous tente ? 7 heures du matin, mardi. * Pourquoi avons-nous inventé le réveil ? Ce petit objet qui fait tic et tac et qui à une certaine heure émet un bruit désagréable qui dérange nos oreilles endormies… ? * C'est la question que je me pose depuis deux minutes, depuis que le réveil sonne en fait. Je pourrais bouger ma main (ainsi que mon bras d'ailleurs) pour couper ce bruit atroce, mais je n'en n'ai pas le courage… Trop fatiguée

que c’est un garçon mais la mauvaise c’est qu’il est mort. … (tous sont consternés). Mais je vous fais marcher ! C’est un garçon et il va très bien ! (il sort l’échographie qu’Elisabeth lui arrache) Elisabeth : Ce que tu es bête ! Vraiment pas drôle ! (elle s’extasie devant l’écho). Claude : Montre-moi l’héritier ! Si petit et déjà si riche ! Pierre : Il a une grosse tête comme son père ! Claude : Alors est-ce que vous avez des idées de prénom ? Vincent : oui. On en a même une assez précise

Qu’est-ce que c’est que cette chose-là ? L’AVIATEUR Ce n’est pas une chose - il vole. C’est un avion. C’est mon avion LE PETIT PRINCE (Surpris presque en criant) Comment?!! Tu es tombé du ciel ! L’AVIATEUR Oui ! LE PETIT PRINCE Ah! C’est drôle... ah! ah! ah! (Il éclate de rire). LE PETIT PRINCE Alors toi aussi tu viens du ciel ! De quelle planète es-tu ? L’AVIATEUR (comme s’il avait résolu un doute) Tu... viens donc d’une autre planète? LE PETIT PRINCE (Pause... Il ne répond pas. Secouez

déformés, inspirant l’angoisse voire la peur, comme si Man Ray cherchait à provoquer le lecteur. Il s’explique en déclarant « On me traita d’humoriste, mais je n’avais nullement l’intention d’être drôle. Je voulais simplement que le lecteur prît une part active à la création. Et le seul moyen de le réveiller de sa stupeur est de détruire par le choc de la surprise cet engourdissement dans lequel il se confine d’habitude. ». ex : Les yeux stériles (p. 58) : la représentation d’une femme dénudée allongée

comment dire… Instructive… Elle dénonce les défauts de la société en… Michel, interrompant Lea – La comédie aussi ! Prenons, par exemple, la pièce que nous venons de voir… Lea, l’interrompant à son tour – Je me suis endormie, c’est mon mari qui m’a réveillé à la fin. Michel, d’un ton arrogant – Pourtant ça ne vous aurait pas fait  de mal de la voir ! Bref, je disais donc, dans la pièce que je viens de voir, Harpagon est un horrible personnage qui, comme le nom de la pièce l’indique, est un vrai avare