Du Bellay 13

Ton nom Ton programme Analyse du poème « Heureux qui, comme Ulysse, a fait un beau voyage » de Joachim Du Bellay Analyse littéraire présentée à Nom du professeur dans le cadre du cours Écriture et littérature Groupe 00005 Cégep de l'Outaouais Campus Gabrielle-Roy 20 février 2013 Thème: Mal du pays Idée principal 1 : L'idée du retour; beaucoup de références à propos de son village. Idée secondaire 1.1 : Références à des personnages historiques. Idée tertiaire 1.1.1 :

Exemple de préparation à l’analyse Le sonnet IX des Regrets de Joachim Du Bellay Repérage - Personnification de la France - Registre lyrique : plainte du sujet, séparé de la France - Métaphore filée partant de la comparaison entre le sujet et l’agneau ( maintien du registre figuré par la métaphore filée durant tout le texte o  !! pas d’allégorie (pas de maintien permanent des deux niveaux littéral et figuré) mais un transfert dans le registre figuré de la métaphore, registre

d’écriture (13/97) Tle (9/97) TNI (12/97) Verbe (10/97) Éduscol Lettres BNF Dans la même rubrique La réflexion de Jean de Léry sur la nudité des femmes sauvages La poétique des grands rhétoriqueurs L’idéal politique de l’humaniste : le Prince et le Poète selon Ronsard dans L’Institution pour l’adolescence du roi très chrétien Charles IX. 1562 Gargantua et la poétique de Rabelais Les doutes de l’humaniste : Heureux qui comme Ulysse de Du Bellay

de poème appelé Odes paru en 1550. Cassandre est une jeune fille de 13 ans que Ronsard rencontre en avril 1545 dans une réception à la cour de Blois. Elle va devenir l’être « inaccessible » pour lui. Dans ce poème, Ronsard montre les sentiments qu’il éprouve pour Cassandre, ainsi que la fuite du temps et la comparaison de la femme et de la rose. → Lire le poème. Pourquoi est-ce un carpe diem ? Les humanistes, Ronsard et Du Bellay vont chercher chez les anciens des genres et des thèmes littéraires

dans une fête à la cour, Cassandre Salviati, fille d'un banquier italien. Ronsard a 20 ans et Cassandre en a 13. Le lendemain elle quitte la cour et Ronsard en garde un beau souvenir. Ce poème est un exercice de cour plutôt banal mais il reste original par sa vivacité et l'image de l'amour qu'il donne.    Remarques (à ne pas dire) : Ronsard était un poète de cour, contrairement à Du Bellay qui avait refusé. Il écrivait de poèmes de circonstances (pour les autres). François 1er ramenait des artistes

régionales. Vers 1553 plusieurs poètes français créé un mouvement littéraires qu’on appelle la pléiade groupe de 7 poète français parmi eux Pierre de Ronsard (né en septembre 1524 au Vendômois et mort le 27 décembre 1585 en Touraine) Joachim du Bellay (né vers 1522 à Anjou et mort le 1 er janvier 1560 à Paris) C’est 2 poètes cherche a exercer leurs art en Français: (la poésie doit être écrite dans la langue du poète). Ils imposent l’alexandrin l’ode et le sonnet comme les formes poétique majeur

situat° en faveur du cerf. Etape 5 (l.52 à55) : Morale. Le texte commence par une périphrase : octosyllabes. V.2 : périphrase V.3 : s’acquitter = présenter ses condoléances V.10 : placer la compagnie (rang social) différent et organiser V.11 à 13 : Triple rime en « a ». On peut suggérer que c’est les résonnances du lion. V.16 : Langage ambigu qui permet d’atteindre la société des hô à travers les animaux. V.17 : « Je » donc parenthèse de La Fontaine pour montrer le comportement des courtisans

Depuis le Moyen Âge, la poésie a joué un très grand rôle sur l’évolution de l’art. De grands écrivains comme Victor Hugo, Jean Racine, Joachim du Bellay et Alphonse de Lamartine, ont tous joué un rôle important sur cette évolution, mais plus précisément, sur celle de la poésie et la littérature. Les poèmes étaient un aspect très important dans la société entre le XVe siècle et le XIXe siècle. Dans les salons, en France, on se réunissait pour se compter des histoires et pour lire leurs plus récents

qui il compose un recueil de 47 sonnets intitulé Amours , or peu après il manifeste de nouveau une haine contre certaines femmes dans Contr’amours rattaché à l’ode ‘Contre les petrarquistes’ de Du Bellay. Parmi les sonnets de ce recueil qui dénonce la représentation traditionnelle de la femme aimeé, on trouve également quelques sonnets qui ne relèvent pas de la poésie amoureuse, comme c’est le cas de notre sonnet

par les attributs du chevalier (l'armure par exemple) que du Guesclin emporte avec lui dans sa tombe. On voit aussi les pleurs et la nostalgie extrême sur les expressions des visages Heureux qui, comme Ulysse, a fait un beau voyage de Joachim du Bellay Heureux qui, comme Ulysse, a fait un beau voyage,Ou comme cestuy-là qui conquit la toison,Et puis est retourné, plein d'usage et raison,Vivre entre ses parents le reste de son âge !Quand reverrai-je, hélas, de mon petit villageFumer la cheminée