Du Bellay Nouveau Venu Qui Cherches Rome En Rome

----------------------------------   New York   Découvrir Manhattan de la proue d’un steamerTel un pauvre immigrant venu de l’Ancien monde,Saluer la Liberté dressée sur sa rotondeEt percevoir de la Cité l’ample rumeur !Acier, verre et reflets, les fougueux gratte-ciel,Chefs d’œuvre d’équilibre à la fière prestance,Rivalisent d’audace, enivrés d’arrogance,Lorsqu’après une ondée s’ébauche l’arc-en-ciel.Ici l’on cherche, court, invente, crée, se presse.Cependant, Manhattan accueille sans rudesse.Oh ! Le pont de Brooklyn

également partie du registre lyrique. La poésie est en effet souvent reliée à des sentiments mélancoliques ou de désespoir. On en a la preuve dans le poème de Joachim Du Bellay, « Nouveau venu qui cherche Rome en Rome », où le poète nous fait part de son désespoir en découvrant la ville au XVIème siècle. Il est nostalgique de la Rome antique et nous le montre par le biais des jeux de rythmes et de sonorités que lui permet de faire le sonnet. Cependant, la poésie s’exprime à travers d’autres registres

C travail comporte une compilation de dix poèmes sur le thème de la fuite du temps. Chaque poème est précédé d’une introduction expliquant le choix et des éléments biographiques sur l’auteur. Sommaire Page 4: Les Antiquités de Rome de Joachim du Bellay Page 5: Comme on voit sur la branche de Pierre Ronsard Page 6 : Marquise, si mon visage… de Pierre Corneille Page 7: Le lac d’Alphonse de Lamartine: Page 9:L’horloge de Charles Baudelaire : Page 10: Automne malade

Antiquités de Rome, 1558 Nouveau venu, qui cherches Rome en Rome Et rien de Rome en Rome n’aperçois, Ces vieux palais, ces vieux arcs que tu vois, Et ces vieux murs, c’est ce que Rome on nomme. Vois quel orgueil, quelle ruine et comme Celle qui mit le monde sous ses lois, Pour dompter tout, se dompta quelquefois, Et devint proie au temps, qui tout consomme. Rome de Rome est le seul monument, Et Rome Rome a vaincu seulement. Le Tibre seul, qui vers la mer s’enfuit, Reste de Rome. Ô mondaine

ensuite "Au bord des terrasses d’eaux noires où stagnent les livides reflets des globes électriques" : il évoque ici la lumière des réverbères qui reflète sur les flaques d’eau à côté des terrasses des commerces autour de la place sur le macadam nouveau à cette époque. L’adjectif "noires" est la cause du macadam et du peu de luminosité qui donne l’impression que l’eau est noire, encore une fois le mot "livides" est dépréciatif et a pour but de provoquer de l’inquiétude auprès de la mendiante. Les

EXERCICES SONNETS D’AMOUR ET D’EXIL p.861) il est composé de la ville en ruines l’image est donnée que Rome est une vieille ville abandonnée2) DB est représenté d’un trait différent du reste, il semble dessiné de façon plus grossière, il semble étranger au dessin.1° planche : Il découvre Rome. Il est en hauteur pour mieux observer, pour découvrir Rome.2° planche : Il est assis, il tient son manteau dans sa main et il a l’air déçu de ce qu’il voit.2° planche : Il est dessiné 2 fois, il a l’air

Les Antiquités de Rome, 1558 Nouveau venu, qui cherches Rome en RomeEt rien de Rome en Rome n’aperçois,Ces vieux palais, ces vieux arcs que tu vois,Et ces vieux murs, c’est ce que Rome on nomme. Vois quel orgueil, quelle ruine et commeCelle qui mit le monde sous ses lois,Pour dompter tout, se dompta quelquefois,Et devint proie au temps, qui tout consomme. Rome de Rome est le seul monument,Et Rome Rome a vaincu seulement.Le Tibre seul, qui vers la mer s’enfuit, Reste de Rome. Ô mondaine inconstance

il y a quelques mois. 7. ------------------------------------------------- Camus, L’étranger, une scène de demande en mariage peu conventionnelle : I, chap. 5, «Le soir Marie est venue me chercher… nous le ferions dès qu'elle le voudrait.» pp. 69-70 Le soir, Marie est venue me chercher et m'a demandé si je voulais me marier avec elle. J'ai dit que cela m'était égal et que nous pourrions le faire si elle le voulait. Elle a voulu savoir alors si je l'aimais. J'ai répondu comme je

artifices à la prise de Troie que les autres généraux grecs par leur valeur. Il n'y avait que peu de temps qu'il était marié avec la belle et sage Pénélope, lorsqu'il fut question de la guerre de Troie. L'amour qu'il avait pour sa jeune épouse lui fit chercher plusieurs moyens pour ne pas l'abandonner, et pour s'exempter d'aller à cette guerre.Il imagina de contrefaire l'insensé ; et, pour faire croire qu'il avait l'esprit aliéné, il s'avisa de labourer le sable sur le bord de la mer, avec deux bêtes de

Anthologie poétique : La fuite du temps Sommaire Préface………………………………………………………………………………… p 3-4 « Arrivé dedans Rome… » …………………………………………………………….. p 5 Jacques Grévin Sonnet à Marie…………………………………………………………………………. p 6 Pierre de Ronsard « Assieds-toi sur le bord… » ………………………………………………………….. p 7 Jean-Baptiste Chassignet « Hélas ! Qu’est ce de l’homme orgueilleux… » ……………………………… p 8 Jean Auvray A mes amis……………………………………………………………………………… p 9 Evariste de Parny Le ballet des